SIDERANT

Le 7 janvier, des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés à Bilbao pour exiger le transfert au Pays basque des membres emprisonnés du groupe séparatiste Euskadi Ta Askatasuna (ETA), dissous en 2018.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Paris le 9 octobre pour appeler au rapprochement des 62 prisonniers détenus pour des délits ou crimes en lien avec le terrorisme basque, comme un geste symbolique vers la réconciliation.
Après que l’organisation séparatiste basque ETA a livré aux autorités françaises une liste de huit caches dans le Sud-Ouest de la France, des centaines d’armes et plusieurs centaines de kilos d’explosifs ont été découverts.
Après la remise aux autorités d’une liste de caches d’armes, l’organisation armée séparatiste basque (ETA) appelle à un rassemblement festif ce samedi 8 avril, à Bayonne.
Après la remise aux autorités françaises par l'organisation séparatiste basque espagnole ETA, le 8 avril, d'une liste de caches d'armes, d'importants effectifs de police sont mobilisés les sécuriser les sites, armes et explosifs.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) le 17 décembre après l’interpellation, la veille, dans une opération franco-espagnole contre l’ETA de civils affirmant avoir voulu «détruire» des armes de l'organisation.
Cinq personnes, dont une femme, ont été interpellées lors d'une opération policière franco-espagnole présentée comme «un nouveau coup dur porté à ETA», l'organisation séparatiste basque, à Louhossoa, près de Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Mikel Irastorza, un des chefs de l'organisation séparatiste basque ETA encore en fuite, a été arrêté le 5 novembre en France à Ascain (Pyrénées-Atlantiques) avec la collaboration de la Guardia Civil, a annoncé le ministère espagnol de l'Intérieur.
La police française a mis la main sur un vaste stock d'armes de l'organisation indépendantiste basque dans un bois de l'Oise, au nord de l'Ile-de-France, avec l'aide de la Garde civile espagnole.
Sans s'en douter une seule seconde, la Garde civile espagnole a secouru d’anciens membres du groupe terroriste et séparatiste basque ETA, responsable du meurtre de plus de 200 officiers des forces de l’ordre espagnoles.