SIDERANT

L’Iran a dévoilé son premier missile balistique hypersonique. Baptisé «Fattah», il est présenté comme pouvant déjouer les systèmes de défense anti-aériens des pays de la région.
Pour la deuxième fois en 48 heures, la Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques intercontinentaux en représailles aux manœuvres aériennes conjointes entre Séoul et Washington. Les deux engins sont tombés en mer du Japon.
L'agence publique nord-coréenne a confirmé que Pyongyang avait effectué un «exercice surprise» en tirant un missile Hwasong-15 en mer du Japon, et ce, à quelques jours d'exercices militaires américano-sud-coréens qui s'annoncent sous haute tension.
La Russie a écarté les accusations du département d'Etat américain, selon lequel elle ne respecterait pas les engagements de l'accord encadrant les arsenaux nucléaires, renvoyant Washington à ses responsabilités dans la dégradation de la situation.
Le directeur général de l'entreprise russe NPO Machinostroïenia a confirmé que le missile hypersonique Zircon équiperait la marine russe en 2023. Il a évoqué des «procédures standards» qui resteraient encore à effectuer.
L’Agence centrale de presse coréenne (KCNA) a fait savoir le 16 décembre que la Corée du Nord avait testé avec succès «un moteur à combustible solide de forte poussée» avec l'objectif de développer une nouvelle arme stratégique.
«Idiots», «chiens», «larbins» : Kim Yo-jong, la sœur de Kim Jong-un, a violemment critiqué la politique pro-américaine des dirigeants sud-coréens qui s'apprêtent à sanctionner Pyongyang en raison des récents essais de missiles balistiques.
Le commandant de la Force aérospatiale des Gardiens de la Révolution a annoncé que l'Iran avait fabriqué son premier missile balistique hypersonique. Cette arme évolue à plus de 6000 km/h et constitue un réel défi pour les radars ennemis.
Après de nouvelles salves de missiles de Pyongyang, dont l'un est tombé à proximité de la frontière, Séoul a répliqué en effectuant à son tour des tirs. La Corée du Sud a évoqué une invasion de fait et a promis une réponse «sévère».
Un nouveau missile a été tiré par Pyongyang, qui évoque une «contre-mesure» prise en réaction à des tirs d'artillerie de Séoul. La Corée du Sud a elle accusé son voisin d'avoir violé une «zone tampon» par des bombardements.
Séoul a affirmé que la Corée du Nord avait lancé huit missiles balistiques dans les eaux au large de sa côte orientale, au lendemain de trois jours d'exercices militaires conjoints des armées américaine et sud-coréenne.
Dans un communiqué, l'armée russe a rapporté avoir effectué avec succès un nouveau tir d'essai du missile de croisière hypersonique «Zircon». La cible se trouvait en mer blanche, à 1 000 kilomètres du point de tir.
L'armée sud-coréenne a fait état d'une salve de tirs depuis la capitale nord-coréenne le 25 mai, dont «un missile balistique intercontinental présumé», peu après le départ de la région du président américain, qui a réaffirmé son soutien à Séoul.
L'agence de presse nord-coréenne KCNA a confirmé que le projectile tiré le 24 mars était un missile balistique intercontinental. Kim Jong-un a assuré que son pays était prêt à mener un combat de longue haleine contre les «impérialistes américains».
Le projectile tiré le 24 mars par la Corée du Nord, suspecté d'être un missile balistique intercontinental, est tombé dans la zone économique exclusive maritime du Japon, a annoncé le ministère de la Défense nippon.
«Douze missiles balistiques» ont visé Erbil et le consulat américain dans la capitale du Kurdistan d'Irak, selon les forces de sécurité kurdes. L'armée idéologique d'Iran a revendiqué avoir ciblé un «centre stratégique» israélien.
Pyongyang a assuré le 31 janvier avoir procédé avec succès au tir d'essai de son plus redoutable missile depuis 2017, officiellement pour tester sa capacité à protéger la région de «l'hostilité» des Etats-Unis. Washington appelle au dialogue.
Une reproduction grandeur nature de la centrale nucléaire israélienne de Dimona a été anéantie par 16 missiles balistiques et cinq drones suicides déployés par le Corps des gardiens de la révolution islamique, qui évoque un «avertissement sérieux».
Vladimir Poutine a déclaré le 1er novembre que la Russie réagirait «de manière adéquate» à toute tentative étrangère de «briser la parité stratégique». Il a également annoncé que Moscou continuerait à renforcer ses capacités de défense aérospatiale.
Le département de la Défense américain a fait savoir que ses forces armées avaient procédé avec succès à des tests de prototypes d'armes hypersoniques qui se déplacent dans la haute atmosphère à plus de cinq fois la vitesse du son.