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Séoul a affirmé que la Corée du Nord avait lancé huit missiles balistiques dans les eaux au large de sa côte orientale, au lendemain de trois jours d'exercices militaires conjoints des armées américaine et sud-coréenne.
Dans un communiqué, l'armée russe a rapporté avoir effectué avec succès un nouveau tir d'essai du missile de croisière hypersonique «Zircon». La cible se trouvait en mer blanche, à 1 000 kilomètres du point de tir.
L'armée sud-coréenne a fait état d'une salve de tirs depuis la capitale nord-coréenne le 25 mai, dont «un missile balistique intercontinental présumé», peu après le départ de la région du président américain, qui a réaffirmé son soutien à Séoul.
L'agence de presse nord-coréenne KCNA a confirmé que le projectile tiré le 24 mars était un missile balistique intercontinental. Kim Jong-un a assuré que son pays était prêt à mener un combat de longue haleine contre les «impérialistes américains».
Le projectile tiré le 24 mars par la Corée du Nord, suspecté d'être un missile balistique intercontinental, est tombé dans la zone économique exclusive maritime du Japon, a annoncé le ministère de la Défense nippon.
«Douze missiles balistiques» ont visé Erbil et le consulat américain dans la capitale du Kurdistan d'Irak, selon les forces de sécurité kurdes. L'armée idéologique d'Iran a revendiqué avoir ciblé un «centre stratégique» israélien.
Pyongyang a assuré le 31 janvier avoir procédé avec succès au tir d'essai de son plus redoutable missile depuis 2017, officiellement pour tester sa capacité à protéger la région de «l'hostilité» des Etats-Unis. Washington appelle au dialogue.
Une reproduction grandeur nature de la centrale nucléaire israélienne de Dimona a été anéantie par 16 missiles balistiques et cinq drones suicides déployés par le Corps des gardiens de la révolution islamique, qui évoque un «avertissement sérieux».
Vladimir Poutine a déclaré le 1er novembre que la Russie réagirait «de manière adéquate» à toute tentative étrangère de «briser la parité stratégique». Il a également annoncé que Moscou continuerait à renforcer ses capacités de défense aérospatiale.
Le département de la Défense américain a fait savoir que ses forces armées avaient procédé avec succès à des tests de prototypes d'armes hypersoniques qui se déplacent dans la haute atmosphère à plus de cinq fois la vitesse du son.
L'agence de presse nord-coréenne a annoncé que le pays avait réalisé un essai de ce type de missile naviguant à une vitesse plusieurs fois supérieure à celle du son. Le même jour, la Corée du Sud inaugurait son troisième sous-marin lanceur d'engins.
Pyongyang a affirmé avoir effectué avec succès des tirs d'essai d'un nouveau missile de croisière longue portée, se félicitant de disposer de cette «arme de dissuasion». Le Pentagone s'inquiète quant aux «menaces» sur la communauté internationale.
Dans ce nouvel épisode de La Source, Alain Juillet s’intéresse aux domaines militaires français et allemand.
Un haut responsable nord-coréen a qualifié d'«ingérence» et de «provocation» la condamnation par le président américain Joe Biden de tirs de missiles effectués le 25 mars 2021 par la Corée du Nord.
La Corée du Nord a montré un missile balistique intercontinental géant lors d'un imposant défilé militaire. Le président Kim Jong-un a par ailleurs assuré à la foule qu'aucun cas de Covid-19 n'était recensé dans le pays.
Le président russe a affirmé que son pays était doté des missiles hypersoniques «les plus modernes» du monde. La veille, Donald Trump a accusé la Russie d'avoir développé cet armement après avoir volé des informations à l'administration Obama.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo réclame le maintien de l'embargo sur les ventes d'armes conventionnelles à l'Iran au-delà d'octobre. De son côté, la République islamique a annoncé la mise sur orbite d'un satellite militaire.
Répondant à une lettre commune des pays de l'E3 adressée à Antonio Guterres, dénonçant de possibles violations par l'Iran d'une résolution de l'ONU, Javad Zarif a mis en lumière un «mensonge désespéré» visant à «se plier à l’intimidation américaine».
Défi pour l’économie mondiale, la guerre commerciale entre Séoul et Tokyo représente aussi une réelle menace pour la sécurité régionale. Où en est-on aujourd’hui, près de trois après le début des tensions ?