Le réseau social s'est engagé à appliquer ou à évaluer la faisabilité de 16 des 17 recommandations de son nouveau conseil de surveillance, mais a refusé de changer son approche sur la «désinformation» et le Covid-19.
Le Premier ministre australien a déclaré qu'il ne se «laisserait pas intimider» par la décision de Facebook de bannir les articles de presse, tandis que des tendances comme #DeleteFacebook et #BoycottZuckerberg gagnent en popularité dans le pays.
Des élèves ont demandé que les bâtiments de leur école ne portent plus le nom du célèbre Premier ministre et de l'auteur d'Harry Potter, tous deux considérés comme incompatibles avec la lutte contre l'intolérance et les discriminations.
En janvier, l'application de messagerie cryptée s'est hissée devant ses concurrents comme Whatsapp et Messenger. Cible de critiques insistantes ces derniers temps, Telegram tire-t-elle profit de la politique menée par ses rivaux ?
Baptisé «Birdwatch», soit «l'oiseau qui observe», le nouvel outil mis en place par la firme américaine devrait permettre aux utilisateurs de contribuer à identifier et épingler les informations trompeuses partagées sur Twitter.
Hors service depuis qu'Amazon a décidé de lui couper l'accès à ses serveurs, le réseau social Parler accuse le géant du web d'avoir favorisé le piratage de ses centres de données.
Jack Dorsey a estimé que bannir le président américain de la plateforme était une bonne décision, mais qu'elle constitue cependant un «échec» et «établit un précédent dangereux», compte tenu du pouvoir détenu par les grandes entreprises du net.
Le site d'hébergement de vidéos a suspendu la chaîne du président américain et a supprimé une de ses vidéos pour «incitation à la violence». YouTube devient ainsi, après Twitter et Facebook, le troisième géant du web à bâillonner Donald Trump.
Quelques jours après avoir été banni de Twitter et Facebook, le président américain a sévèrement critiqué les deux plateformes, qu'il accuse d'avoir divisé le pays, mais aussi d'avoir commis une «erreur catastrophique».
A l'instar de plusieurs entreprises, dont des établissements bancaires, Amazon a suspendu ses donations aux membres du Congrès qui, estimant le scrutin marqué par des irrégularités, s'étaient opposés à la certification des résultats de l'élection.
Le réseau social annoncé avoir «suspendu de façon permanente» 70 000 comptes liés à ce mouvement dont les partisans estiment que Donald Trump défend les Etats-Unis contre un vaste complot criminel.
Frédéric Taddeï reçoit Denis Robert, journaliste, Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte, Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, et Drieu Godefridi, philosophe.
Devenu le refuge de certains conservateurs bannis des autres plateformes, le réseau social Parler est hors service ce 11 janvier, au lendemain de la décision d'Amazon de couper l'accès de l'entreprise à ses serveurs.
Evoquant la fermeture du compte Twitter de Donald Trump, le ministre français a mis en garde contre les géants du numérique, qui tenteraient selon lui de se substituer à la justice en vue d'une régulation des contenus numériques.
Purge ou exode massif ? En 24 heures, de nombreux comptes Twitter ont vu leurs abonnés fondre comme neige au soleil. Parmi eux, plusieurs soutiens du président Donald Trump.
Satisfait de la censure de Donald Trump sur les réseaux sociaux, Mozilla fait plusieurs propositions pour «construire un Internet meilleur», où les idées véhiculant «haine, violence et suprématie blanche» n'auraient pas leur place.
Google a annoncé le retrait de sa boutique applicative du réseau social Parler, prisé des partisans de Donald Trump, en raison de la présence de messages «incitant à la violence». Une démarche que pourrait suivre Apple.
Facebook, Twitter et YouTube ont supprimé une vidéo de Donald Trump, dans laquelle il appelait les manifestants du Capitole à rentrer chez eux. Il y avait aussi évoqué une élection «volée».
Les députés russes ont adopté une loi permettant de bloquer des sites tels que Facebook, Twitter ou YouTube, si ces derniers sont reconnus coupables de censure ou de discrimination.
Affublé de l'étiquette «média affilié à un Etat, Russie» sur Twitter depuis septembre 2020, le mensuel français Ruptures, pourtant financé par les dons de ses lecteurs, s'insurge contre les dérives arbitraires et opaques du réseau social.