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Alors que Washington vient de publier un rapport pour s'auto-absoudre d'une frappe qui a fait des dizaines de morts en Syrie en 2019, Damas en rejette les conclusions et demande à ce que Washington paye des réparations.
Le chef du Pentagone a expliqué sa volonté de «voir la Russie affaiblie» à son retour de Kiev, où il a annoncé une aide militaire supplémentaire à l'Ukraine. Pour Moscou, celle-ci «ne contribue pas à la recherche d’une solution diplomatique».
Le Pentagone désire se pencher sur le problème des «dommages collatéraux» des frappes de drones, euphémisme pour parler de la mort de civils. Un «centre de protection des civils» est à l’étude, selon une note du secrétaire étasunien à la Défense.
Washington va envoyer «prochainement» un petit nombre de militaires en Europe de l'Est, «dans les pays de l'OTAN». Le secrétaire américain à la Défense a assuré qu'il n'y aurait pas de troupes envoyées en Ukraine pour des «opérations de combat».
Confronté à un rapport faisant état de milliers de victimes civiles dans des frappes de l'US Air Force, le secrétaire à la Défense a commandé au Pentagone un plan d'action pour faire de la protection des civils un «impératif stratégique et moral».
Comme c'est le cas de manière récurrente ces dernières années, les Etats-Unis se disent inquiets d'une prétendue invasion de l'Ukraine par la Russie. Abordant le sujet, le chef du Pentagone s'est laissé aller à un lapsus... d'un autre temps.
Devant une commission parlementaire, le général Mark Milley a admis que les Etats-Unis avaient perdu la guerre menée pendant 20 ans en Afghanistan. Il s'agit pour lui de «la conséquence d'une série de décisions stratégiques qui remontent à loin».
«Aucune opération n'est jamais parfaite», a reconnu le 1er septembre le chef du Pentagone Lloyd Austin. Au côté du chef d'état-major, le général Mark Milley, il a assuré que les militaires américains «[apprendraient] de cette expérience».
Le général américain Kenneth McKenzie qui dirige le commandement central a annoncé ce 30 août le départ des derniers soldats américains d'Afghanistan. «Nous avons fait l'histoire», s'est réjoui de son côté un responsable taliban.
Ce 3 août, une fusillade a éclaté près du quartier général du département américain de la Défense avant d'être bouclé par la police. Selon le sénateur Mark Warn et plusieurs médias américains, un policier a été tué.
Les Etats-Unis ont procédé à des frappes aériennes à la frontière séparant l'Irak de la Syrie en riposte à des attaques de drones. Des combattants du Hachd al-Chaabi, une organisation paramilitaire chiite, ont été tués dans l'opération.
Une enquête du magazine Newsweek a révélé l'existence d'un programme du Pentagone destiné à fournir de fausses identités numériques à 60 000 de ses militaires et prestataires, notamment pour «influencer et manipuler les réseaux sociaux».
Le président américain a annoncé la création d'un groupe de travail concentré sur la Chine au sein du département de la Défense, symbole de la continuation d'une politique de fermeté à l'égard de l'adversaire stratégique numéro un des Etats-Unis.
Biden a présenté celui qu'il voudrait nommer secrétaire d'Etat à la Défense : le général Austin. Ce choix ferait de ce retraité de l'armée de terre le premier homme noir à la tête du Pentagone. Sur le fond, diffère-t-il de ses prédécesseurs ?
La seconde phase des exercices militaires de l'OTAN Defender-Europe 20, largement perturbés pour cause de coronavirus, a débuté le 11 août à Drawsko Pomorskie en Pologne.
Grâce à un nouvel accord de coopération en matière de défense, les Etats-Unis déploieront par rotations jusqu'à 5 500 soldats en Pologne.
Le Pentagone a annoncé son intention de retirer 11 900 soldats d'Allemagne. 6 300 devraient être rapatriés aux Etats-Unis et 5 600 pourraient être repositionnés en Belgique ou en Italie. Les premiers transferts sont attendus ces prochaines semaines.
Dans le cadre de son opération Atlantic Resolve, l'armée américaine est arrivée à La Rochelle. Le Pentagone souhaitant faire transiter une brigade aéromobile. L'objectif annoncé : renforcer la défense européenne.
Le président américain Donald Trump vient de revenir, le 31 janvier, sur la décision de Barack Obama de se plier partiellement au traité d'interdiction des mines antipersonnel d'Ottawa de 1997, autorisant désormais l'utilisation des mines «avancées».
Le Pentagone a rendu public un nouveau bilan humain des attaques menées début janvier par l'Iran sur plusieurs bases irakiennes dans lesquelles se trouvaient des soldats américains. 34 militaires étasuniens ont finalement été blessés.