Quel est l'intérêt pour Volodymyr Zelensky de se rendre à Paris alors que l'armée russe progresse sur l'ensemble du front ? Ce n'est certainement pas pour négocier la paix, mais pour solliciter davantage d’argent — argent destiné à nourrir la guerre et la corruption en Ukraine, selon Jacques Frantz.
Les médias aux ordres s’en gargarisent. Direct Guerre en Ukraine : Volodymyr Zelensky accueilli à l’Élysée par Emmanuel Macron pour faire le point sur les négociations de paix — titre France Info dans un double mensonge. D’une part, Zelensky s’est toujours appelé Vladimir et pas « Volodymyr », et d’autre part, n’ayant rien à négocier et Macron voulant la guerre à tout prix, il n’est pas venu parler de paix.
En effet, Emmanuel Macron veut que la guerre continue le plus longtemps possible, car que deviendrait l’Occident sans sa guerre en Ukraine ? Que deviendrait Macron sans le chiffon rouge d’une menace russe imaginaire à agiter sous le nez des « mougeons » ? On rappelle que le « mougeon » est un hybride, un astucieux croisement entre un pigeon et le mouton. Il a la taille d’un mouton, il est couvert de laine tant que la macronie ne l’a pas tondu. Il est pourvu d’ailes mais il est incapable de défier les lois de la gravité. Bien entendu, il est doté d’une cervelle de pigeon, très utile pour croire sur parole tout ce que disent les médias aux ordres. Il est également nanti d’un tube digestif exceptionnel lui permettant d’ingérer toutes les conneries diffusées sur BFM, LCI et CNews.
Donc Zelensky était à Paris. Si c’est pour venir aussi souvent, autant demander à la préfecture un permis de séjour, ce qui évitera les frais de voyage. Zelensky est-il venu porter sa lettre au père Noël ? Le mougeon si généreux. Tout cela prêterait à rire si la terre ukrainienne ne buvait pas autant de sang. Parce que le « non-président » (on rappelle qu’il n’a plus de mandat) est venu parler d’un « non-plan de paix ». Car non seulement il n’y a pas de plan de paix, mais les sponsors de Kiev ne veulent pas entendre parler de paix. La seule condition posée par les sponsors de Kiev à la cessation des combats est une capitulation de la Russie qu’ils savent ne pas pouvoir obtenir dans la mesure où la Russie a sur le terrain un avantage sans précédent. Par conséquent, lorsqu’on demande quelque chose qu’on sait ne pas pouvoir obtenir, c’est qu’on ne veut pas que la demande aboutisse. Ni Zelensky ni ceux qui l’ont mis au pouvoir ne veulent que la boucherie s’arrête. Les récentes affaires de corruption sorties fort opportunément ces derniers jours sont là pour le rappeler.
Le « mougeon » qui voit déjà les chars russes sur les Champs-Élysées accepte de se faire tondre et vider les poches qu’il a sous les ailes et sous les yeux car la protection contre Poutine est à ce prix.
Pour faire court, ce lundi 1er décembre, Zelensky est venu chercher du fric en échange d’une poursuite de la guerre « quoi qu’il en coûte ». Et en matière de « quoi qu’il en coûte », à l’Élysée on s’y connaît.
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