Polit’Mag avec Gamal Abina, co-fondateur du mouvement des Droits Civiques, Alexis Troude, chercheur en géographie et géopolitique, spécialiste des Balkans, Michel Fayad, analyste politique et financier et Farid Dms Debah, analyste politique.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a récemment exprimé son soutien à l’adhésion de la Suède à l’OTAN, à une seule condition : l’Union européenne doit en échange rouvrir les négociations d’adhésion de la Turquie. Après plus d’un an de résistance, Erdogan a finalement cédé et l’accepté lors d’une réunion avec le secrétaire général de l’OTAN et le Premier ministre suédois. Cette décision capitale a été saluée comme historique par le secrétaire général de l’OTAN. Cependant, la position de l’UE sur les perspectives d’adhésion de la Turquie a été moins optimiste car l’UE a déclaré en 2020 que les progrès étaient à l’arrêt. Malgré cela, la Turquie reste candidate à l’adhésion à l’UE depuis 1997 et continue d’affirmer sa volonté de se rapprocher de l’UE. Débat.