Attentat de Conflans : «La liberté d'expression n'existe plus en France», réagit Noam Anouar

Noam Anouar réagit à la décapitation d'un professeur de collège qui avait montré récemment des caricatures de Mahomet en cours. Pour le délégué syndical Vigi Police, «il faut se rendre à l'évidence, la liberté d'expression n'existe plus».
Le délégué syndical Vigi-Police, Noam Anouar, a évoqué sur RT France, la barbarie du 16 octobre qui a vu la mort d'un enseignant, Samuel Paty, décapité quelques jours après avoir montré des caricatures de Mahomet en classe.
«On est dans un pays aujourd'hui où il faut se rendre à l'évidence, la liberté d'expression n'existe plus», s'alarme Noam Anouar.
Il estime par ailleurs que «l'islamisme a gagné de longue date», considérant que «des post-adolescents terrorisent la France».
Selon Le Parisien et BFM TV, le suspect s'appellerait Aboulakh A., serait âgé de 18 ans et d'origine tchétchène. Né à Moscou, il serait domicilié dans les Yvelines. L'ambassade de Russie à Paris a demandé le 16 octobre aux autorités françaises des informations sur l'assaillant présumé. «Pour le moment, nous n'avons aucune information sur la citoyenneté du suspect», a déclaré, selon l’agence TASS, Sergueï Parinov, un porte-parole de l'ambassade russe. Les enquêteurs attendent une identification formelle.
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