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La Russie a attesté qu'un échange de captifs avec l'Ukraine avait eu lieu le 29 juin, la plupart des personnes libérées étant gravement blessées. Kiev affirme qu'une partie des captifs appartenait au régiment Azov, ce que Moscou n'a pas confirmé.
L'armée russe a fait savoir que les combattants ukrainiens retranchés dans l'usine Azovstal, dont des membres du bataillon Azov, continuaient à se rendre. Les blessés nécessitant une prise en charge médicale ont été transférés vers un hôpital.
Selon le chef de la mission de surveillance des droits de l'homme de l'ONU en Ukraine, des mauvais traitements allant jusqu'à la torture ont été infligés par les forces ukrainiennes à des prisonniers russes, confirmant d'autres témoignages.
Une opération d'évacuation des civils présents dans l'usine Azovstal assiégée à Marioupol est envisagée pour le 29 avril, selon la présidence ukrainienne. Le Kremlin explique depuis plusieurs jours que les civils peuvent déjà partir en sécurité.
Tandis que des images d'exactions dont s'accusent les deux camps circulent sur les réseaux sociaux, le quotidien américain rapporte, sur base d'une analyse vidéo, que les forces ukrainiennes auraient abattu des soldats russes faits prisonniers.
L'ONG de défense des droits de l'Homme a appelé les autorités ukrainiennes à enquêter sur de potentielles exactions commises à l'encontre de soldats russes capturés, après la diffusion de vidéos montrant des passages à tabac et des tirs aux jambes.
Des vidéos, dont RT France n'est pas en mesure de garantir l'authenticité et qui montreraient, en Ukraine, des prisonniers se faire tirer dans les jambes par des combattants, ont été diffusées. Moscou a dit enquêter sur ces faits.
Selon le quotidien britannique The Independent, des groupes d'experts britanniques examinent la remise en liberté anticipée de 92 détenus pour actes de terrorisme. Parmi eux figurent des auteurs d'attentats, des djihadistes et un néo-nazi.
Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste libanais a été condamné, en 1987, à la perpétuité pour complicité dans l'assassinat de deux diplomates. Ses soutiens le considèrent comme un prisonnier politique et ont manifesté pour sa libération.
Détenu à la maison d'arrêt de Corbas, Mehdi F. alias Many GT s'est filmé depuis sa cellule pour un clip intitulé Les Daltons 2. Mise en ligne le 11 septembre, la vidéo qui fait l'apologie des rodéos urbains et des armes cumule des milliers de vues.
Les manifestations de soutien aux détenus se multiplient en Cisjordanie après l'évasion de six prisonniers palestiniens d'une prison de haute sécurité israélienne. 60 manifestants ont été blessés près de Naplouse, selon le Croissant-Rouge.
Evelyne Sire-Marin, magistrate, répond dans La Grosse Question.
Le Nigeria a connu une évasion massive de détenus emprisonnés dans l'Etat d'Imo dans le sud-est du pays. Plus de 1 800 personnes se sont évadées après l'attaque d'un centre pénitentiaire par des hommes armés.
Le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti a annoncé la création d'un contrat de travail pour les détenus travailleurs. Un projet de loi portant sur l'institution judiciaire devrait être présenté en conseil des ministres à la mi-avril.
Selon la police équatorienne, de violentes mutineries ont éclaté le 23 février dans les prisons de Guayaquil, Cuenca et Latacunga. Un bilan provisoire fait état d'au moins 67 morts parmi les prisonniers.
Les autorités israéliennes et syriennes ont annoncé le 18 février un échange de prisonniers entre les deux pays grace à une médiation de Moscou. Pour le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, il s'agissait d'une affaire «sensible».
Un millier de manifestants ont défilé à Erevan pour réclamer que soient recherchés plusieurs centaines de soldats portés disparus depuis la fin du conflit.
Affirmant vouloir protester contre l'«arbitraire de la justice russe», Pavel Krissevitch a simulé sa propre crucifixion devant le siège du FSB. Il a été condamné à 15 jours de détention administrative pour avoir désobéi aux injonctions de la police.
Lors d'une marche baptisée «Pour la liberté des prisonniers politiques», des dizaines de milliers d'opposants au président Loukachenko se sont rassemblés dans le centre de Minsk. La police a déployé un canon à eau et procédé à plusieurs arrestations.
En 1993, Jerome devait passer du bon temps lors d'une soirée d'anniversaire. Sa simple présence a fini par l'envoyer derrière les barreaux à 17 ans pour un meurtre qu'il n'a pas commis.