SIDERANT

Avant de nommer un ambassadeur à Stockholm, l'Iran appelle la Suède a engager des actions concrètes pour éviter la profanation du Coran. Téhéran exige également la libération d'un ancien gardien d'une prison iranienne.
Une médiation qatarie a permis l'échange de cinq prisonniers américains contre cinq détenus iraniens, avec le déblocage de 6 milliards de fonds appartenant à Téhéran. Les négociations ont duré plus de 19 mois.
Le médiatique avocat franco-espagnol Juan Branco a été libéré par les autorités sénégalaises après une brève incarcération. De retour à Paris ce 8 août, il s’était rendu en Afrique de l’Ouest pour défendre son client, l’opposant Ousmane Sonko.
Après avoir récupéré trois prisonniers ukrainiens en Hongrie, Kiev attaque ouvertement Budapest, l'accusant de faire le jeu «de la partie russe et de la propagande russe». Malgré les démentis de la partie hongroise, l'UE demande plus d'informations.
Les services de sécurité russes ont annoncé l'arrestation d'Evan Gershkovich, correspondant du bureau moscovite du Wall Street Journal. Le journaliste, selon le FSB, avait collecté des données sensibles en Russie «sur ordre des Etats-Unis».
Le nombre de détenus en France a de nouveau atteint un niveau record, à 72 836 personnes incarcérées en décembre, après un précédent historique en novembre, selon les données statistiques du ministère de la Justice.
D'après les statistiques du ministère de la Justice pour le mois de novembre, 72 809 personnes sont actuellement détenues en prison dans l'Hexagone, soit un record absolu, constituant une densité carcérale de 120%.
Les autorités russes et ukrainiennes ont procédé à un nouvel échange de prisonniers. En contrepartie de la libération de 110 Russes dont 72 marins civils détenus depuis février, Moscou a renvoyé en Ukraine 108 femmes soldats ukrainiennes.
Neuf individus se sont évadés du centre de rétention de Oissel en Seine-Maritime après avoir «brisé un mur». Les recherches ont débuté dans la nuit du 14 au 15 octobre, mais la forêt aux abords du centre complique la tâche des forces de l'ordre.
Suite à un accord entre les deux parties, 55 prisonniers russes ont été libérés, ainsi que l'opposant politique ukrainien arrêté en avril par les forces de sécurité du pays. Selon Kiev, 215 captifs ukrainiens ont été relâchés au cours de l'échange.
Une douzaine d'individus se sont échappés du centre de rétention administrative de Metz-Queuleu le 14 septembre. Si l'une d'entre elle, blessée, a pu être appréhendée, personne d'autre n'a été interpellé selon l'adjoint au procureur de la République.
Selon un responsable russe, Viktor Bout – qui purge une peine de prison de 25 ans aux Etats-Unis – fait partie des négociations autour d'un échange de prisonniers avec Washington, qui veut de son côté la libération de Brittney Griner et Paul Whelan.
La Russie a attesté qu'un échange de captifs avec l'Ukraine avait eu lieu le 29 juin, la plupart des personnes libérées étant gravement blessées. Kiev affirme qu'une partie des captifs appartenait au régiment Azov, ce que Moscou n'a pas confirmé.
L'armée russe a fait savoir que les combattants ukrainiens retranchés dans l'usine Azovstal, dont des membres du bataillon Azov, continuaient à se rendre. Les blessés nécessitant une prise en charge médicale ont été transférés vers un hôpital.
Selon le chef de la mission de surveillance des droits de l'homme de l'ONU en Ukraine, des mauvais traitements allant jusqu'à la torture ont été infligés par les forces ukrainiennes à des prisonniers russes, confirmant d'autres témoignages.
Une opération d'évacuation des civils présents dans l'usine Azovstal assiégée à Marioupol est envisagée pour le 29 avril, selon la présidence ukrainienne. Le Kremlin explique depuis plusieurs jours que les civils peuvent déjà partir en sécurité.
Tandis que des images d'exactions dont s'accusent les deux camps circulent sur les réseaux sociaux, le quotidien américain rapporte, sur base d'une analyse vidéo, que les forces ukrainiennes auraient abattu des soldats russes faits prisonniers.
L'ONG de défense des droits de l'Homme a appelé les autorités ukrainiennes à enquêter sur de potentielles exactions commises à l'encontre de soldats russes capturés, après la diffusion de vidéos montrant des passages à tabac et des tirs aux jambes.
Des vidéos, dont RT France n'est pas en mesure de garantir l'authenticité et qui montreraient, en Ukraine, des prisonniers se faire tirer dans les jambes par des combattants, ont été diffusées. Moscou a dit enquêter sur ces faits.
Selon le quotidien britannique The Independent, des groupes d'experts britanniques examinent la remise en liberté anticipée de 92 détenus pour actes de terrorisme. Parmi eux figurent des auteurs d'attentats, des djihadistes et un néo-nazi.