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Les autorités de la République populaire de Donetsk ont indiqué qu'une maternité de la capitale avait été frappée par des tirs d'artillerie, un acte dénoncé par les Nations unies. Le bilan humain des tirs sur un marché s'est par ailleurs alourdi.
Le 13 juin, un bombardement des forces armées ukrainiennes contre un marché de Donetsk a tué quatre personnes et blessé 22 autres, rapportent les autorités de la république populaire, qui ont mis en cause «des pièces d'artillerie de l'OTAN».
Trois ONG ont porté plainte pour «complicité de crimes de guerre» contre Dassault, Thalès et MBDA France, accusées d'avoir vendu à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis des armes utilisées contre des civils dans le conflit au Yémen.
Les autorités syriennes ont rapporté ce 21 mai une attaque de missiles menée par Israël dans le sud de la capitale dans un contexte où plusieurs incidents similaires se sont produits au cours des dernières semaines. Trois personnes seraient décédées.
Les forces israéliennes ont blessé plusieurs Palestiniens et ont pilonné une maison située dans le camp de réfugiés de Jénine en Cisjordanie occupée, sur fond de fortes tensions liées à la mort de la journaliste d'al-Jazeera Shireen Abu Akleh.
La Défense russe a annoncé que les frappes sur des cibles dans la capitale ukrainienne allaient être intensifiées, en réponse à des attaques menées sur le sol russe, que Moscou attribue à l'Ukraine. Kiev dément en être responsable.
Une trentaine de personnes ont été tuées après des tirs de missiles sur la gare de Kramatorsk, attribués à un Totchka-U ukrainien par la République de Donetsk et Moscou. Kiev accuse pour sa part la Russie d'avoir mené cette frappe.
Un important incendie s'est déclaré sur le site pétrolier russe de Belgorod, à proximité de la frontière avec l'Ukraine. Selon un porte-parole de la Défense russe, l'incendie a été provoqué par des missiles tirés par des hélicoptères ukrainiens.
Un aumônier militaire a été tué par des tirs de roquettes ukrainiennes dans un village du côté russe de la frontière, situé non loin de la ville de Kharkiv. Il s'agit du premier décès en territoire russe suite à des tirs ukrainiens.
La destruction d'une maternité à Marioupol, qui a fait trois morts selon les autorités, a été qualifiée de crime de guerre par l'Ukraine. Selon Moscou, le bâtiment n'abritait plus aucun civil et servait de base à des groupes extrémistes ukrainiens.
Kiev aurait mené des frappes pendant près de trois heures sur le territoire de la République populaire autoproclamée de Donetsk. Un pic de violations du cessez-le-feu a été enregistré dans la région, chaque camp s'accusant mutuellement.
Alors que l'Ukraine demeure dans la tourmente et au cœur des tensions entre Washington et Moscou, RT France est allée à la rencontre des habitants de l'est du pays qui ont refusé de suivre Kiev après la révolution de 2014.
Les hostilités s'intensifient au Yémen où l'Arabie saoudite lance une opération «à grande échelle» après une attaque de rebelles houthis faisant deux mort. La coalition dirigée par Ryad a immédiatement mené une frappe qui a fait trois morts au Yémen.
Le port de Lattaquié en Syrie a été visé par des frappes israéliennes dans la nuit du 6 au 7 décembre, selon l'agence de presse syrienne Sana, sans toutefois provoquer de blessés. Israël a déjà mené des centaines de frappes similaires dans le pays.
Dans la soirée du 6 septembre, l'armée israélienne a effectué un nouveau raid aérien dans le sud de la bande de Gaza. Elle affirme ainsi répondre notamment à des ballons incendiaires qui auraient été lancés depuis l'enclave palestinienne.
Peu après le lancement de plus de 10 projectiles par le mouvement chiite en direction de l'Etat hébreu en réaction à des frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban, Tsahal a répliqué en menant de nouvelles frappes sur le territoire libanais.
«Environ 500 kilos de munitions et de composants pour la fabrication d'explosifs» ont été détruits, a expliqué le ministère russe de la Défense, qui décrit la zone ciblée comme une «base camouflée» utilisée pour former des «groupes terroristes».
Le procès des trois pilotes, biélorusse et ivoiriens, mis en cause dans le bombardement de Bouaké du 6 novembre 2004 s'est ouvert à Paris. Le rôle de Paris dans ce drame qui a fait dix morts dont neuf soldats français, suscite des interrogations.
D'après l'agence de presse syrienne Sana, des missiles ont été tirés en direction de Damas par l'armée israélienne depuis le plateau du Golan. Une grande partie d'entre eux aurait été interceptée et aucune victime n'est à déplorer.
Deux civils, dont un enfant, ont été blessés légèrement par des frappes israéliennes sur Gaza le 26 décembre 2020, selon des sources médicales citées par l'AFP. Selon Israël, ces frappes ont été effectuées en représailles à des tirs de roquettes.