SIDERANT

Des manifestants ainsi que des salariés de Netflix reprochent à la plateforme de diffuser un spectacle du comique Dave Chappelle où figurent des remarques jugées transphobes. Netflix dit comprendre «la profonde blessure qui a été causée».
Frédéric Taddeï reçoit Jean-Baptiste Thoret, historien et réalisateur, Chloé Delaporte, chercheuse en cinéma à l’université Paul Valery, et Pascal Lechevallier, consultant chez What’s Hot Media.
Serge Regourd, professeur de droit, auteur du livre «S.O.S culture», chez Indigène éditions, répond dans La Grosse Question.
Eric Neuhoff, critique de cinéma et écrivain, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
La plateforme de streaming est visée par la justice texane pour avoir produit un visuel du film français Mignonnes accusé d'hypersexualiser des petites filles. Inculpé par un grand jury, Netflix a fustigé une accusation «sans fondement».
Netflix est sous le feu des critiques après la diffusion du film Mignonnes, qui montre des jeunes filles de 11 ans danser lascivement, mimant des actes sexuels. La plateforme assure que l'œuvre vise à dénoncer la sexualisation des enfants.
Netflix a présenté ses excuses après avoir été accusé par des internautes d'«hypersexualiser» des enfants de 11 ans dans un visuel utilisé pour le film français «Mignonnes», que la plateforme diffuse en dehors de l'Hexagone.
La plateforme américaine Netflix n'a pas confirmé que la production d'une de ses séries avait été censurée par Ankara, mais la scénariste Ece Yörenc a assuré que c'était le cas «parce qu'elle mettait en scène un personnage gay».
Killer Mike à propos du président Trump, de la réforme des prisons et des élections de 2020