BRAS DE FER

Le 25 mai, les ministres de la Défense russe et biélorusse se sont rencontrés à Minsk pour signer des documents relatifs au déploiement d'armes nucléaires tactiques russes en Biélorussie.
En réaction à la fourniture par Londres à Kiev d'obus à l'uranium appauvri, la Russie prévoit le déploiement d'armes nucléaires tactiques en Biélorussie. Vladimir Poutine a rappelé que Washington faisait de même avec ses alliés.
Alors que les Etats-Unis et la Corée du Sud multiplient les manœuvres conjointes, Kim Jong-un a supervisé des exercices militaires de deux jours simulant une contre-attaque nucléaire contre Washington et Séoul.
Pour la deuxième fois en 48 heures, la Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques intercontinentaux en représailles aux manœuvres aériennes conjointes entre Séoul et Washington. Les deux engins sont tombés en mer du Japon.
La Corée du Nord a fait savoir qu'elle répondrait avec force aux nouveaux exercices conjoints entre Séoul et Washington. Pyongyang considère ces manœuvres militaires comme des répétitions en vue d'une future invasion.
La Corée du Nord a accusé les Etats-Unis et la Corée du Sud d'entraîner la péninsule vers une «confrontation totale» après la tenue d'exercices militaires conjoints impliquant des bombardiers lourds au-dessus de la mer Jaune.
Le monde vacille au bord de l'abîme en raison du risque croissant de guerre nucléaire et de l'incapacité à relever les défis environnementaux selon Noam Chomsky. Des menaces qu'il devient difficile de traiter en raison de l'impossibilité de débattre.
L’Agence centrale de presse coréenne (KCNA) a fait savoir le 16 décembre que la Corée du Nord avait testé avec succès «un moteur à combustible solide de forte poussée» avec l'objectif de développer une nouvelle arme stratégique.
Le chef d'Etat russe a évoqué, ce 7 décembre, la menace globale d'un conflit nucléaire. Estimant que les risques d'une telle guerre prenaient de l'ampleur, le dirigeant a tenu à souligner que la stratégie de Moscou en la matière était défensive.
Le dirigeant nord-coréen a organisé une cérémonie pour célébrer le lancement d'un nouveau missile intercontinental. A cette occasion, il a réaffirmé son engagement dans le nucléaire militaire et assuré vouloir bâtir «la plus forte armée du monde».
Xavier Moreau et Philippe Migault, directeur du CEAS, reviennent sur les différentes doctrines nucléaires de par le monde à l’heure où la question de l’utilisation de l’arme nucléaire revient sur le devant de l’actualité avec le conflit en Ukraine.
Alors qu’ils pourraient prochainement faire leur entrée dans l’Otan, la Finlande et la Suède n’entendent «fermer aucune porte» aux demandes de l'Alliance, y compris celle d’un déploiement sur leur sol d’armes nucléaires étrangères.
Alors que les Etats-Unis ont à nouveau exprimé leurs craintes de voir la Russie recourir à des armes atomiques, celle-ci a réaffirmé le caractère défensif de sa doctrine, et appelé à éviter tout conflit entre puissances nucléaires.
Après de nouvelles salves de missiles de Pyongyang, dont l'un est tombé à proximité de la frontière, Séoul a répliqué en effectuant à son tour des tirs. La Corée du Sud a évoqué une invasion de fait et a promis une réponse «sévère».
Le Kremlin a mobilisé ses forces de dissuasion, dont un sous-marin et des bombardiers stratégiques, pour un entraînement, après en avoir averti les Etats-Unis. Des exercices comparables de l'OTAN ont lieu jusqu'au 30 octobre.
La disgression du président américain sur le Pakistan, «l'une des nations les plus dangereuses au monde», n'a pas été du goût d'Islamabad qui a décidé de convoquer le 15 octobre l'ambassadeur des Etats-Unis pour s'expliquer.
Un nouveau missile a été tiré par Pyongyang, qui évoque une «contre-mesure» prise en réaction à des tirs d'artillerie de Séoul. La Corée du Sud a elle accusé son voisin d'avoir violé une «zone tampon» par des bombardements.
Le vice-président de la Commission européenne a assuré que si Moscou utilisait des armes nucléaires contre l'Ukraine, la réponse militaire de l'OTAN ne serait pas nucléaire, mais si puissante que l'armée russe serait «anéantie».
La Corée du Nord a poursuivi ses tests de lancements de missiles, avec deux nouveaux tirs le 12 octobre, selon les médias nord-coréens. Les tirs, qui ont parcouru 2 000 km au-dessus de la mer Jaune, ont été supervisés par Kim Jong Un.
L'ex-parlementaire américaine Tulsi Gabbard a annoncé son départ du Parti démocrate. Elle reproche notamment à son ancienne famille politique d'être contrôlée par des «va-t-en-guerre» baignant dans le complexe militaro-industriel étasunien.