Mediapart révèle le 14 février un rapport diplomatique datant de 1994, révélant que la France a décidé de laisser s'échapper les responsables du génocide au Rwanda qui a fait environ 800 000 morts en 1994.
Un ancien candidat américain au prix Nobel de la paix a déposé auprès de la Cour pénale internationale une plainte contre le chef de l'OMS, accusé d'avoir supervisé «le meurtre et la torture» d'Ethiopiens quand il était ministre.
La question du traitement des Ouïghours dans le Xinjiang fait l'objet d'un phénomène médiatique qui a récemment pris de l'ampleur. Témoignages et études d'ONG accablent Pékin de lourdes responsabilités. RT France décortique le sujet.
A l'appel du Collectif du 10 novembre contre l’islamophobie, une centaine de personnes se sont réunies près de l'ambassade de Chine à Paris. Les manifestants dénoncent un «génocide» des Ouïghours, une accusation vigoureusement niée par la Chine.
Plus de 20 ans après l'attentat déclencheur du génocide au Rwanda, la cour d'appel de Paris a confirmé l'abandon des poursuites contre le président rwandais. Les avocats des parties civiles vont former un pourvoi en cassation.
L'homme d'affaire rwandais Félicien Kabuga a été arrêté en France pour son implication dans le génocide du Rwanda, qui a coûté la vie à près de 800 000 personnes en 1994. Il a été placé en détention et devrait être extradé vers la Haye.
Un pied de nez à Ankara en pleine guerre de positions contre l'armée turque ? Les députés syriens ont en effet voté ce 13 février la reconnaissance par Damas du génocide arménien. Une question délicate pour Recep Tayyip Erdogan.
Au cours de son intervention à Jérusalem, le président russe est revenu sur la Shoah et le rôle clé de l'Armée rouge durant la guerre. Pour Vladimir Poutine, «c’est avant tout le peuple soviétique qui mit fin aux projets barbares» des nazis.
Un conflit sanglant ravage actuellement la région de l'Ituri, en République démocratique du Congo. Selon l'ONU, les actes qui y sont perpétrés pourraient être assimilés à des «crimes contre l'humanité», voire à un «génocide».
Un Rwandais réfugié en Belgique risque actuellement trente ans de prison pour sa participation aux massacres de 1994. Sa condamnation constituerait une première pour la Belgique.
Ankara a décidé de convoquer l'ambassadeur américain en Turquie, après la reconnaissance formelle du génocide arménien par la chambre basse du Congrès américain. Un nouveau sujet de tensions entre les deux alliés de l'OTAN.
La dernière campagne d'affichage de l'association antispéciste 269 Life établit, en images, un comparatif direct entre les abattoirs d'animaux et les camps d'extermination nazis.
Deux journalistes de la chaîne Al Jazeera ont été suspendus pour une vidéo destinée aux réseaux sociaux dans laquelle il était notamment affirmé qu'Israël avait tiré profit du génocide juif de la Seconde guerre mondiale.
Des centaines de personnes ont marché dans les rues de différentes villes en mémoire du génocide arménien et pour demander que soit reconnue cette tragédie, qui s'est déroulée de 1915 à 1923.
Le président déchu a été transféré dans une prison de la capitale soudanaise Khartoum après avoir été destitué par l'armée le 11 avril dernier. L'avenir réservé à l'ancien dirigeant reste cependant en suspens.
Le ministre de la Défense soudanais a annoncé la destitution et la mise en détention d'Omar el-Béchir. Une décision prise sous la pression populaire qui pose question quant au devenir du chef d'Etat déchu.
L'incident diplomatique n'était pas loin. Lors des commémorations au mémorial du génocide rwandais à Kigali, Jean-Claude Juncker a mal maîtrisé la trajectoire de son flambeau, qui a failli toucher la main du président Paul Kagame.
Emmanuel Macron a annoncé vouloir faire du 7 avril «une journée de commémoration du génocide des Tutsi», en ce jour où le Rwanda se remémore, 25 ans après, le massacre d'au moins 800 000 personnes.
Une campagne visant à dénoncer «les complicités françaises» dans le génocide au Rwanda en 1994, a été lancée le 4 avril par l’association Survie. En l'absence d'une déclassification des archives, le rôle joué par Paris à l'époque demeure controversé.
La Serbie commémore les frappes aériennes de l'OTAN qui avaient contraint Belgrade à retirer ses troupes du Kosovo en 1999. Sans l'aval des Nations unies, l'intervention de l'Alliance atlantique avait constitué une première contre un Etat souverain.