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Des juges d'instruction parisiens ont ordonné un non-lieu général dans l'enquête sur l'inaction reprochée à l'armée française lors des massacres de Bisesero fin juin 1994, pendant le génocide des Tutsi au Rwanda.
Le président russe a évoqué le bombardement de la Yougoslavie par l'OTAN comme précédent dangereux dans l'histoire européenne. Le chancelier Olaf Scholz a relativisé le parallèle en disant que le bombardement de Belgrade avait prévenu un génocide.
L'actrice Whoopi Goldberg s'est publiquement excusée sur Twitter d'avoir tenu des propos sur la nature de l'Holocauste en affirmant que ce n'était pas «une histoire de race», sur fond de censure du roman graphique Maus des écoles étasuniennes.
L'Assemblée nationale a adopté un texte condamnant des «violences perpétrées par les autorités chinoises contre les Ouïghours constitutives de crimes contre l'humanité». Pékin a dénoncé «une diffamation et une stigmatisation délibérées».
Dans La Grande interview, Estelle Farge reçoit Michèle Audette, conseillère principale à la réconciliation - Université Laval (Canada), sur le thème : «Pensionnats autochtones : le passé génocidaire du Canada».
SI l'Allemagne a reconnu le 28 mai avoir commis «un génocide» contre les ethnies Hereros et Namas en Namibie pendant l'ère coloniale, son gouvernement refuse de verser une réparation financière en faisant valoir son plan d'aide au développement.
Après le discours, salué par Jean-Luc Mélenchon, d'Emmanuel Macron au Rwanda qui a reconnu des «responsabilités» de la France mais pas sa «complicité» dans le génocide des Tutsi, Marine Le Pen a dénoncé une repentance mal venue.
Le président français a tenu un discours depuis le Mémorial du génocide de Kigali. Ayant promis «une page nouvelle de notre relation avec le Rwanda et l’Afrique», Emmanuel Macron a expliqué venir «reconnaître» les «responsabilités» de la France.
Après 15 ans de présidence de Pierre Nkurunziza, une nouvelle page se tourne dans l’histoire du Burundi, du moins dans le domaine diplomatique. A quoi ressemble le Burundi de l’après Nkurunziza ?
Ce 3 mai, le parquet de Paris a requis un non-lieu dans l'enquête sur l'inaction reprochée à l'armée française lors des massacres de Tutsi fin juin 1994. Les cinq hauts gradés français dans le collimateur de la justice n'ont pas été mis en examen.
Le 24 avril, Joe Biden a reconnu le génocide arménien, devenant le premier président des États-Unis à qualifier ainsi la mort d'un million et demi d'Arméniens massacrés par l'Empire ottoman en 1915.
A Paris s'est déroulée la commémoration du génocide arménien de 1915. Plusieurs milliers de personnes, dont Emmanuel Macron et Anne Hidalgo, se sont rassemblées pour rendre hommage aux victimes.
Joe Biden a reconnu ce 24 avril le génocide arménien. Cette reconnaissance, a tenu à préciser une haute responsable américaine citée par l'AFP, ne vise pas à «accabler» la Turquie. Recep Tayyip Erdogan a exprimé sa colère.
Le gouvernement rwandais a reçu un rapport sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi qui conclut que le pouvoir français porte des «responsabilités lourdes et accablantes» dans la tragédie de 1994.
Alors que ce 7 avril marque les 27 ans du début du génocide rwandais, les autorités françaises ont décidé d'ouvrir au public des archives de François Mitterrand et de son Premier ministre Edouard Balladur allant de 1990 à 1994.
Mediapart révèle le 14 février un rapport diplomatique datant de 1994, révélant que la France a décidé de laisser s'échapper les responsables du génocide au Rwanda qui a fait environ 800 000 morts en 1994.
Un ancien candidat américain au prix Nobel de la paix a déposé auprès de la Cour pénale internationale une plainte contre le chef de l'OMS, accusé d'avoir supervisé «le meurtre et la torture» d'Ethiopiens quand il était ministre.
La question du traitement des Ouïghours dans le Xinjiang fait l'objet d'un phénomène médiatique qui a récemment pris de l'ampleur. Témoignages et études d'ONG accablent Pékin de lourdes responsabilités. RT France décortique le sujet.
A l'appel du Collectif du 10 novembre contre l’islamophobie, une centaine de personnes se sont réunies près de l'ambassade de Chine à Paris. Les manifestants dénoncent un «génocide» des Ouïghours, une accusation vigoureusement niée par la Chine.
Plus de 20 ans après l'attentat déclencheur du génocide au Rwanda, la cour d'appel de Paris a confirmé l'abandon des poursuites contre le président rwandais. Les avocats des parties civiles vont former un pourvoi en cassation.