Présent au cœur de l'affaire Navalny, Bellingcat affirme être un média indépendant. Ses liens avec l'Atlantic Council et le gouvernement britannique, ses sujets traités, toujours en droite ligne des positions de l'OTAN, permettent d'en douter.
Les délégations de 27 pays participent les 11 et 12 novembre à une conférence à Damas sur le retour des réfugiés syriens. Selon le président Bachar el-Assad, des millions de ses compatriotes voudraient rentrer chez eux mais font face à des obstacles.
La Russie, avec la participation de l'Iran et de la Turquie, a pratiquement détruit le foyer du terrorisme international en Syrie, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors d'une visioconférence avec son homologue syrien Bachar el-Assad.
L'agence syrienne Sana a fait état ce 22 octobre de la mort du mufti de Damas et de sa banlieue, Mohammad Adnan Afiouni, dans «l’explosion d’une charge plantée par les terroristes dans sa voiture».
Selon l'analyste politique et chercheur en philosophie politique Bruno Guigue, le jeu trouble des Occidentaux à l'égard de forces djihadistes en Syrie a non seulement contribué à prolonger la guerre, mais pourrait également se retourner contre eux.
Frédéric Taddeï reçoit Emmanuel Todd, historien, politologue, anthropologue, Marc Endeweld, journaliste, et Frédéric Encel, géopolitologue.
La président syrien Bachar el-Assad a annoncé que la Syrie attendait une mise en circulation du vaccin Spoutnik V pour s'en procurer en quantité. D'après lui, «beaucoup de Syriens» suivent l'actualité autour du vaccin russe.
Le président syrien Bachar el-Assad a dans une interview accusé Recep Tayyip Erdogan d'être le «le principal instigateur» du conflit au Haut-Karabagh, et jugé crédible l'envoi de «terroristes» étrangers par Ankara dans cette région depuis la Syrie.
Dans une interview sur Fox News, le président américain Donald Trump a affirmé avoir pensé à «éliminer» le président syrien Bachar el-Assad en 2017. Son ancien secrétaire d'Etat à la Défense, Jim Mattis, s'y serait alors opposé.
Selon Damas, des hélicoptères américains ont attaqué un checkpoint, tuant un militaire syrien près de Kameshli (nord-est de la Syrie). Les soldats syriens auraient précédemment empêché le passage d'une patrouille américaine.
Les Syriens se rendent le 19 juillet 2020 aux urnes afin d'élire leurs députés dans un pays fragilisé par neuf ans de guerre et confronté à une crise économique aggravée par les sanctions occidentales.
Le représentant spécial des Etats-Unis pour la Syrie James Jeffrey a déclaré lors d'une téléconférence que le départ de Bachar el-Assad du pouvoir en Syrie n'était pas un préalable à la résolution de la crise syrienne.
Le chef du Hezbollah a fustigé les nouvelles sanctions américaines prévues par la loi César. Il a affirmé que le mouvement chiite libanais n'abandonnerait pas la Syrie face à la guerre économique à venir.
A la tête d'un empire immobilier en Europe évalué à 800 millions d'euros, Rifaat el-Assad a été condamné à quatre ans de prison. Il aurait ainsi bâti son empire en détournant des fonds publics syriens. Son patrimoine français est confisqué.
L'agence Sana a fait état de plusieurs raids de l'armée israélienne contre une cible militaire en Syrie. Elle a annoncé des «dégâts matériels sans pertes humaines» alors que l'OSDH, ONG controversée, a évoqué la mort de neuf soldats.
Au moment où la pandémie du coronavirus se propage à travers le monde, certains pays vont devoir gérer cette crise sanitaire dans des situations déjà compliquées. De fait, le CoviD-19 pourrait frapper des zones déjà ravagées par la guerre. Exemples.
Les dirigeants européens versent des larmes de crocodile sur le drame des réfugiés, mais portent une écrasante responsabilité dans la guerre déclenchée il y a neuf ans, relève Pierre Lévy, du mensuel Ruptures.
Les responsables turcs et russes ont convenu des détails concernant l'accord de cessez-le-feu dans la région syrienne d'Idleb, au troisième jour des discussions entre les deux pays. Un accord pour des patrouilles russo-turques a été trouvé.
Soucieux de préserver la relation russo-turque, Vladimir Poutine et Recep Erdogan se rencontrent afin d'avoir une «discussion directe» suite au regain de tensions à Idleb, où l'armée syrienne poursuit son avancée.
Le chef de file de LFI a eu des mots durs contre le «détestable régime turc», qu'il a accusé de soutenir le terrorisme en Syrie. Le député a, en outre, appelé à «accueillir raisonnablement et correctement» les migrants venus de Turquie.