SIDERANT

Jean-Marc Berthon, ambassadeur pour les droits des personnes LGBT, devait effectuer une visite au Cameroun du 27 juin au 1er juillet. Yaoundé s'y est opposé, selon des sources locales.
Xavier Moreau et Morgan Palmer, président de Global télévision, discutent de la possibilité que Paul Biya se représente pour le prochain mandat présidentiel et des véritables chances pour Maurice Kamto de gagner l’élection présidentielle en 2025.
Samantha Ramsamy reçoit Edith Kahbang Wallah, présidente du Cameroon People’s party (CPP) et Viviane Tathi Yende, coordinatrice exécutive de l’Association Sourires de femmes et membre du collectif stop féminicides 237.
L'international camerounais Gael Ondoua, qui a grandi en Russie, s'est attiré les foudres de certains en raison du drapeau russe qu'il arbore discrètement sur ses chaussures de foot, au côté des couleurs camerounaises.
Trois ressortissants américains d'origine camerounaise ont été inculpés par les Etats-Unis. Ils sont accusés d'avoir aidé financièrement le groupe armé séparatiste de l'Ambazonie, dans le nord-ouest du Cameroun.
Dans Africonnect, Samantha Ramsamy reçoit Jean-Paul Gourévitch, écrivain, universitaire et essayiste, et François Ndengwe, éditorialiste aux magazines Hommes d'Afrique et Femmes d'Afrique.
Un collectif regroupant plusieurs partis politiques camerounais a appelé le président français à reconnaître les «crimes de la France coloniale», alors qu'Emmanuel Macron débute sa tournée en Afrique par une rencontre avec le président Paul Biya.
Sur le continent africain, 31 pays condamnent et répriment l’homosexualité avec des peines allant de l’emprisonnement à la mise à mort par lapidation.
Après 39 ans de mandat, il est difficile pour le Cameroun d’imaginer un avenir post-Paul Biya. Elu pour la dernière fois en 2018, le président camerounais a-t-il l’intention de se représenter ?
Huit personnes sont mortes et des dizaines d'autres ont été blessées dans un mouvement de foule lors du 8e de finale de la Coupe d'Afrique des Nations. Le président camerounais Paul Biya a ordonné une enquête sur les circonstances de l'incident.
«Je tiens à m'excuser si les gens ont mal compris, mais en aucun cas je ne peux critiquer un pays d'Afrique», a déclaré l'ex-star camerounaise, après avoir déclenché une polémique en accusant certains pays de compliquer l'organisation de la CAN.
Interviewé avant le début de la Coupe d'Afrique des nations au Cameroun, l'ancien attaquant vedette Roger Milla a lancé des piques contre les pays du Maghreb et l'Egypte, accusés d'avoir mis le «désordre» avant le début de la compétition.
Délocalisée au Qatar ? Reportée à l'an prochain ? Le doute plane toujours sur la tenue de la CAN 2022 au Cameroun.
Certains chefs d'Etats africains semblent avoir signé un contrat à durée indéterminée. Quitte à en perdre la vie, ou à se faire déloger du pouvoir à la faveur d'un putsch militaire.
Un scandale financier secoue le Cameroun après la fuite d'un dossier de la Cour des comptes qui suspecterait de graves malversations financières au sommet de l'Etat dans l'attribution de fonds destinés à endiguer l'épidémiede Covid-19.
Après la mort de six membres de l'ONG française Acted, leur chauffeur et leur guide nigérien au Niger, l'Organisation des Nations unies alerte quant à la hausse inquiétante du nombre d'agressions de travailleurs humanitaires.
Le groupe islamiste a tué sept civils camerounais, dont deux adolescents, en menant un double attentat-suicide à Amchidé, dans le nord du Cameroun. Après plus de dix ans d'existence, Boko Haram continue de semer le trouble dans la région.
Plusieurs pays, dont le Yémen, la Syrie ou les Philippines, mais aussi des groupes rebelles tels que l'ELN en Colombie ou le Socadef au Cameroun, ont répondu favorablement à l'appel de cessez-le-feu lancé par l'ONU face à la pandémie de Covid-19.
Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais, parti au pouvoir de Paul Biya, a très largement remporté les législatives du 9 février, avec 139 sièges sur 180, selon des résultats partiels rendus publics par le Conseil constitutionnel.
Entre 400 et 600 jeunes Camerounais, partisans de Paul Biya, sont descendus dans la rue ce 24 février pour protester contre les propos d'Emmanuel Macron, qui a promis de mettre «le maximum de pression» sur le président camerounais.