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Le président italien Sergio Mattarella a été réélu au cours d'un vote qui a mis à jour les grandes divisions politique italiennes. L'intéressé avait pourtant rejeté une telle éventualité.
Le milliardaire de 85 ans faisait campagne en coulisses depuis des semaines pour remplacer le président sortant Sergio Mattarella. Il a finalement demandé à ses soutiens de retirer son nom, au motif que «l'Italie a besoin d'unité».
L’élection présidentielle en Italie aura lieu le 24 janvier. Si Mario Draghi est volontiers présenté comme le successeur de Mattarella, le rapport de force entre les partis italiens pourrait aussi permettre l’accès au Quirinal à… Silvio Berlusconi.
Silvio Berlusconi a fait la proposition le 15 juin de créer un parti de centre-droit unique en Italie, qui comprendrait son parti Forza Italia et celui de ses alliés. Mais ces derniers lui ont opposé une fin de non-recevoir.
L'ancien chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a été testé positif au nouveau coronavirus, ont annoncé les médias italiens citant des sources de son parti, Forza Italia. L'homme politique a par la suite confirmé cette information.
Après l'éclatement de la coalition en Italie entre le M5S et la Ligue, déclenché par Matteo Salvini, l’ancien président du Conseil des ministres italien Matteo Renzi est sorti du bois. Objectif : éviter coûte que coûte des élections anticipées.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban s'est confié sur ses alliances en Europe. Le dirigeant du Fidesz est revenu sur ses liens avec le Rassemblement nationale, mais aussi sur sa vision politique à l'approche des élections européennes.
Décidément, la mode est aux gilets et aux codes couleurs pour exprimer la contestation politique. Après les Gilets jaunes, les Foulards rouges, les Gyros bleus et les Stylos rouges, voici les derniers arrivés, en Italie : les Gilets bleus.
La composition de la nouvelle équipe gouvernementale italienne, formée par la Ligue et le Mouvement 5 étoiles, a été présentée au président italien Sergio Mattarella. Auparavant, Bruxelles avait fait part de son inquiétude.
L'UE espérait et appuyait la formation d'un gouvernement droite-gauche en Italie. Finalement, les nationalistes de la Ligue et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles s'apprêtent à diriger le pays. Bruxelles s'inquiète et les marchés sont fébriles.
Condamné en août 2013 pour fraude fiscale à six ans d'inéligibilité, le chef du parti Forza Italia Silvio Berlusconi a été réhabilité un an avant la fin prévue de sa peine. L'ex-Cavaliere peut désormais se présenter de nouveau à des élections.
Alors que Silvio Berlusconi a laissé le champ libre pour une alliance entre la Ligue et le Mouvement 5 étoiles pour former une coalition gouvernementale en italie, Ludmila Acone assure que «les deux partis sont très différents».
Silvio Berlusconi a donné son feu vert le 9 mai à un éventuel accord gouvernemental entre son alliée la Ligue (droite anti-immigration) et le Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), une démarche susceptible de mettre fin au blocage politique.
Plus d'un mois après des élections désastreuses pour les partis traditionnels, ne réussissant pas à s'entendre avec la Ligue, le Mouvement 5 étoiles envisage désormais de proposer un accord au Parti démocrate, pourtant grand perdant des élections.
Le 24 mars, un accord entre le Mouvement 5 étoiles et la coalition de droite a été signé pour les présidences de la Chambre des députés et le Sénat en Italie. La signature prochaine d'un accord gouvernemental s'annonce en revanche plus compliquée.
Tony Iwobi, un Italien d'origine nigériane arrivé dans le pays en 1976, a été élu sénateur dans la province de Bergame au sein de la Ligue. Une première dans l'histoire italienne pour une personne de couleur.
Si Bruxelles s'est offert un moment de répit avec les résultats en Allemagne, l'Italie pourrait lui donner des sueurs froides. Les élections s'y sont en effet soldées par une percée des formations eurosceptiques, anti-immigration, voire antisystème.
Selon des résultats partiels, la coalition formée par Forza Italia, dominée en terme de voix par le parti anti-immigration la Ligue, arrive en tête (37%). Le parti antisystème Mouvement 5 étoiles est le premier du pays en terme de voix (32%).
Les Italiens se rendent aux urnes ce 4 mars pour une élection indécise. De retour en politique, l'ancien chef du gouvernement, inquiété pour corruption et pour un scandale sexuel, a fait face à une militante féministe qui a fait irruption devant lui.
Sur fond de crise migratoire, bancaire et économique, les Italiens, naguère parmi les plus euro-enthousiastes, se rendent au urnes pour élire députés et sénateurs. Mais les enjeux de ce scrutin dépassent largement les limites de la Péninsule.