Après l'éclatement de la coalition en Italie entre le M5S et la Ligue, déclenché par Matteo Salvini, l’ancien président du Conseil des ministres italien Matteo Renzi est sorti du bois. Objectif : éviter coûte que coûte des élections anticipées.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban s'est confié sur ses alliances en Europe. Le dirigeant du Fidesz est revenu sur ses liens avec le Rassemblement nationale, mais aussi sur sa vision politique à l'approche des élections européennes.
Décidément, la mode est aux gilets et aux codes couleurs pour exprimer la contestation politique. Après les Gilets jaunes, les Foulards rouges, les Gyros bleus et les Stylos rouges, voici les derniers arrivés, en Italie : les Gilets bleus.
La composition de la nouvelle équipe gouvernementale italienne, formée par la Ligue et le Mouvement 5 étoiles, a été présentée au président italien Sergio Mattarella. Auparavant, Bruxelles avait fait part de son inquiétude.
L'UE espérait et appuyait la formation d'un gouvernement droite-gauche en Italie. Finalement, les nationalistes de la Ligue et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles s'apprêtent à diriger le pays. Bruxelles s'inquiète et les marchés sont fébriles.
Condamné en août 2013 pour fraude fiscale à six ans d'inéligibilité, le chef du parti Forza Italia Silvio Berlusconi a été réhabilité un an avant la fin prévue de sa peine. L'ex-Cavaliere peut désormais se présenter de nouveau à des élections.
Alors que Silvio Berlusconi a laissé le champ libre pour une alliance entre la Ligue et le Mouvement 5 étoiles pour former une coalition gouvernementale en italie, Ludmila Acone assure que «les deux partis sont très différents».
Silvio Berlusconi a donné son feu vert le 9 mai à un éventuel accord gouvernemental entre son alliée la Ligue (droite anti-immigration) et le Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), une démarche susceptible de mettre fin au blocage politique.
Plus d'un mois après des élections désastreuses pour les partis traditionnels, ne réussissant pas à s'entendre avec la Ligue, le Mouvement 5 étoiles envisage désormais de proposer un accord au Parti démocrate, pourtant grand perdant des élections.
Le 24 mars, un accord entre le Mouvement 5 étoiles et la coalition de droite a été signé pour les présidences de la Chambre des députés et le Sénat en Italie. La signature prochaine d'un accord gouvernemental s'annonce en revanche plus compliquée.
Tony Iwobi, un Italien d'origine nigériane arrivé dans le pays en 1976, a été élu sénateur dans la province de Bergame au sein de la Ligue. Une première dans l'histoire italienne pour une personne de couleur.
Si Bruxelles s'est offert un moment de répit avec les résultats en Allemagne, l'Italie pourrait lui donner des sueurs froides. Les élections s'y sont en effet soldées par une percée des formations eurosceptiques, anti-immigration, voire antisystème.
Selon des résultats partiels, la coalition formée par Forza Italia, dominée en terme de voix par le parti anti-immigration la Ligue, arrive en tête (37%). Le parti antisystème Mouvement 5 étoiles est le premier du pays en terme de voix (32%).
Les Italiens se rendent aux urnes ce 4 mars pour une élection indécise. De retour en politique, l'ancien chef du gouvernement, inquiété pour corruption et pour un scandale sexuel, a fait face à une militante féministe qui a fait irruption devant lui.
Sur fond de crise migratoire, bancaire et économique, les Italiens, naguère parmi les plus euro-enthousiastes, se rendent au urnes pour élire députés et sénateurs. Mais les enjeux de ce scrutin dépassent largement les limites de la Péninsule.
Si aucune coalition majoritaire ne sort des élections législatives du 4 mars en Italie, l'UE pourrait connaître une période de turbulences. Renzi, di Maio, Salvini ou encore Berlusconi, de retour à 81 ans... qui sont les protagonistes de ce scrutin ?
L'ancien chef du gouvernement italien poursuit son retour en politique, optant la fermeté sur la question migratoire dans l'intention de recueillir le plus de voix possible aux législatives de mars. Il promet l'expulsion de 600 000 migrants.
Les élections générales se tiendront début mars en Italie : le secrétaire fédéral de la Ligue du Nord Matteo Salvini assure que, s'il est élu, il mettra un terme au «désordre» semé par les migrants et en expulsera un demi-million en cinq ans.
L'ancien chef du gouvernement italien a salué la tribune co-signée par Catherine Deneuve, qui prône pour les hommes la «liberté d’importuner» les femmes. Une tribune qui prend le contre-pied des campagnes #MeToo ou #BalanceTonPorc.
L'ancien président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, fait l'objet d'une enquête. Il est soupçonné d'être lié à trois attentats perpétrés par la mafia au début des années 1990 et ayant fait six morts.