Près d’une banque allemande sur quatre applique désormais des taux de rémunération négatifs aux comptes épargne au-delà de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Mais une petite banque coopérative bavaroise vient de franchir un nouveau cap.
Le passage de témoin à la tête de la Banque centrale européenne va se faire dans un contexte de menace déflationniste et de croissance atone. Mais surtout, il n’y a plus de consensus pour faire repartir l’économie européenne.
Répondant aux questions du Parlement européen, Christine Lagarde a dit vouloir maintenir à la BCE la politique de soutien à l'économie de la zone euro imposée par Mario Draghi, malgré les réserves de l’Allemagne et des Pays-Bas.
Les politiques français n'ont pas tardé à réagir à l'annonce du choix des personnalités qui occuperont, durant la prochaine législature, les postes clefs de l'Union européenne. Si la gauche française se montre sceptique, LREM et LR semblent ravis.
Le président des Etats-Unis a de nouveau mis en cause la politique de la Banque centrale européenne qu’il accuse de manipuler l’euro pour obtenir un avantage concurrentiel contre les Etats-Unis. Mais il vise en réalité le gouverneur de la Fed.
Entre le monde enchanté que veut bâtir la liste Renaissance et ce que peut vraiment le Parlement européen, il y a une distance. Quant aux enjeux réels des élections comme le choix de la prochaine commission européenne, pas un mot.
A quatre mois de son départ, le président de la Commission européenne est interviewé sur son mandat. Il constate une faible solidarité entre les économies européennes, responsable selon lui de la lenteur de la réforme de la zone euro.
En mars dernier, Mario Draghi avait annoncé l’arrêt, d’ici la fin 2018, de la politique de création monétaire de la BCE, mais sous réserve d’une confirmation des prévisions d’inflation. Avec un taux de 2% constaté en juin, c’est chose faite.
Dans une tribune publiée par un des principaux quotidiens allemands, des économistes plaident pour une Europe de la rigueur et dénoncent le projet de réforme de l’euro du président français. Ils recommandent même une procédure de sortie de l'euro.
Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a estimé que la voix des anti-euro, qui portait très loin il y a un an, après le Brexit, s'était réduite à «des chuchotements».
La Banque centrale européenne (BCE) est devenue trop puissante, notamment à cause du rôle de plus en plus politique que lui accordent les gouvernements, a critiqué le 15 mai l'une des principales conseillères économiques de Berlin.
Le président de la Banque Centrale Européenne (BCE) Mario Draghi a annoncé que les aides d'urgence de la Grèce seraient relevées de 900 millions d'euros.