HISTOIRE

L'Assemblée nationale a approuvé le recours à la vidéosurveillance dite «intelligente», basée sur des algorithmes, que l'exécutif veut expérimenter avant et pendant les JO-2024 malgré les craintes de dérives sécuritaires de la gauche.
La Russie a dénoncé l'appel à bannir les sportifs russes des JO 2024, au lendemain d'une réunion où le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé à une telle mesure. La maire de la ville hôte s’est elle-même prononcée pour l’exclusion.
Des responsables politiques de différents bords ont exprimé leur opposition à l'exclusion des athlètes russes aux Jeux olympiques de Paris en 2024, réclamée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Dans un rapport obtenu par l'AFP, la Cour des comptes pointe la sécurité et les transports comme «risques à circonscrire» pour les JO de Paris et presse aussi le comité d'organisation des JO d'accélérer la signature de certains contrats.
Le ministre de l'Intérieur a affirmé qu'une «attaque par des drones» était «la menace terroriste principale» pour les prochains événements sportifs qui auront lieu en France, notamment la Coupe du monde de rugby en 2023 et les JO en 2024.
Plusieurs personnalités se sont émues d'apprendre que les mascottes de l'événement sportif, censées «incarner l'esprit français» selon le comité d'organisation des Jeux, seront produites essentiellement par l'industrie chinoise.
Invoquant la neutralité politique du sport, la Fédération internationale de boxe a plaidé pour la réintégration des sportifs russes et biélorusses dans les compétitions internationales, bannis sur recommandation du Comité international olympique.
Une enquête a été ouverte à la suite du recensement en mars de sept travailleurs sans-papiers sur le chantier du village des athlètes des JO de Paris 2024. La brigade de répression de la délinquance contre la personne a été saisie.
Frédéric Taddeï reçoit Armand de Rendinger et Marc Perelman.
La ministre déléguée chargée des Sports, Roxana Maracineanu, ne se rendra pas aux Jeux olympiques d'hiver à Pékin après avoir été testée positive au Covid-19. Aucun officiel français n'assistera à la cérémonie de clôture.
Testée positive au Covid-19 à la veille d'un match, la joueuse australienne de curling Tahli Gill a finalement été autorisée par les autorités à participer à la fin du tournoi, les analyses révélant un faible taux de contagiosité.
Le pays ne sera pas représenté lors de la cérémonie d'ouverture des JO d'hiver de Pékin, dénonçant la participation d'un militaire impliqué dans les affrontements frontaliers de 2020 entre la Chine et l'Inde au relais de la flamme olympique.
Le milliardaire hongro-étasunien a comparé le 31 janvier les Jeux olympiques de Pékin à venir avec ceux de 1936 à Berlin organisés par l'Allemagne nazie, y voyant un risque que la Chine utilise «ce spectacle comme propagande pour son régime».
Le ministre de l'Education et des Sports a fait savoir que l'Hexagone ne se joindrait pas au boycott diplomatique de l’événement sportif décidé par les Etats-Unis. La France se différencie, par ce choix, du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie.
La Chine avait prévenu qu'elle prendrait des «contre-mesures» si les Etats-Unis appelaient à un boycott des JO de Pékin en 2022. Le Comité international olympique a de son côté déclaré «respecter pleinement» la décision américaine.
La Maison Blanche a annoncé le 6 décembre que les Etats-Unis n'enverraient aucun représentant diplomatique aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin de 2022, invoquant le «génocide et des crimes contre l'humanité en cours au Xinjiang».
Avec une fréquentation attendue de 12 millions de personnes, les JO de Paris en 2024 constituent un défi sans précédent qui pourrait amener à penser différemment la sécurité intérieure à la française. Un cheval de Troie pour le secteur privé ?
Alors que la charte olympique promeut le principe de neutralité politique, le sport se transforme souvent en un terrain de bataille diplomatique et économique. Comment la politique se mêle-t-elle au sport ?
Le ministre de l'Education nationale n'a pas hésité à lier le succès des sportifs français à Tokyo, notamment en sports collectifs, aux cours d'EPS à l'école. Des propos qui ont suscité l'ironie, voire parfois la colère, des athlètes.
Des milliers de personnes à Paris se sont rassemblées près de la tour Eiffel le 8 août à l'occasion de la cérémonie de passation du flambeau olympique de Tokyo à Paris, survolée par la patrouille de France.