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Le président américain a promulgué une loi d'initiative républicaine permettant de rendre publiques des informations relatives à l'origine de la pandémie, sous réserve de ne pas porter atteinte à la «sécurité nationale».
Soulignant la moindre gravité de l'épidémie de coronavirus, l'agence onusienne envisage de ne plus classer celle-ci comme une urgence sanitaire mondiale, sans que le virus ne disparaisse pour autant. La variole du singe devrait suivre le même chemin.
Un rapport consacré à la gestion de la pandémie réaffirme que l'hypothèse d'un virus échappé d'un laboratoire reste plausible et regrette que les Etats-Unis, comme la Chine, n'aient pas fourni d'informations détaillées sur leurs recherches.
L'ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a été nommée conseillère maître à la Cour des comptes après son passage à l'OMS. Elle est mise en examen depuis fin 2021 pour «mise en danger de la vie d'autrui» pour sa gestion de l'épidémie de Covid-19.
L'Espagne et le Brésil ont annoncé la mort de personnes atteintes par la variole du singe, mais il n'est pas possible d'affirmer que le virus est directement responsable des décès, au moins une personne ayant des comorbidités graves.
L'OMS a décidé de déclencher le 23 juillet son plus haut niveau d'alerte pour tenter d'endiguer la variole du singe dont les contaminations frappent près de 17 000 personnes dans le monde. L'OMS n'y a recouru que sept fois depuis 2009.
Deux cas de la maladie à virus de Marburg – une fièvre hémorragique – ont été enregistrés au Ghana, les tout premiers dans le pays, selon les autorités sanitaires. Les 98 personnes identifiées comme cas contacts sont actuellement en quarantaine.
La Haute autorité de santé a recommandé, le 13 juillet, d'élargir la 2e dose de vaccin anti-Covid aux femmes enceintes et aux adultes de moins de 60 ans avec des comorbidités. L'OMS en Europe avait déjà fait la veille une préconisation en ce sens.
S'inquiétant d'un triplement du nombre de cas de variole du singe sur le continent, l'Organisation mondiale de la santé a appelé ce 1er juillet les pays européens à se mobiliser pour éviter une propagation plus large de la maladie.
La thèse du virus du Covid-19 échappé d'un laboratoire en Chine mérite de «plus amples recherches», estiment des experts nommés par l'OMS, qui insistent sur l'absence pour l'heure de preuves définitives sur l'origine de la pandémie.
Le risque est «réel» que le virus de la variole du singe s'installe dans les pays non endémiques, avec déjà 1 000 cas signalés, a fait savoir l'OMS. Pour l'heure, l'organisation «ne recommande pas la vaccination de masse contre la variole du singe».
L'Organisation mondiale de la santé a annoncé ce 5 juin le recensement de 780 cas de variole du singe dans 27 pays où le virus ne sévit pas de façon permanente. Aucun décès n'y a été pour l'heure signalé.
La politique zéro Covid prônée en Chine pour tenter de combattre la pandémie – qui suscite suscite une exaspération croissante des populations – «n'est pas soutenable» a affirmé le patron de l'OMS. Des propos censurés sur les réseaux sociaux chinois.
Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a regretté que tous les conflits n’attirent pas autant l’attention que l'Ukraine, en citant l'Afghanistan, le Yémen, la Syrie, ainsi que le Tigré, dont il est originaire.
Constatant un regain de contaminations au coronavirus, l'Organisation mondiale de la santé a estimé que certains pays européens, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni, avaient levé trop «brutalement» leurs mesures anti-Covid.
L'OMS a de nouveau fermement invité les pays riches à verser les 16 milliards de dollars manquants pour financer le plan ACT-A contre le Covid. Un dispositif créé par des agences sanitaires, la Banque mondiale et la fondation Bill et Melinda Gates.
Le directeur régional de l'OMS en Europe estime que grâce à la vaccination et à la moindre sévérité d'Omicron, l'Europe connaît un répit comparable à un «cessez-le-feu» qui pourrait conduire à la fin de la pandémie de Covid-19.
L'organisation mondiale de la santé annonce que la présence d'un sous-variant d'Omicron a déjà été détectée dans 57 pays. Cette mutation nommée BA.2 pourrait se révéler encore plus contagieuse que le variant sud-africain Omicron.
Le directeur général de l'OMS a jugé «prématuré» de crier victoire face au Covid-19, lors d'une conférence de presse le 1er février. S'il a demandé aux Etats de ne pas renouer avec les confinements, il a souligné la dangerosité du virus.
La scientifique en chef de l'OMS a déclaré qu'il n'y avait «pas de preuve à l'heure actuelle» que des enfants ou adolescents en bonne santé aient besoin de rappels anti-Covid-19. «L'objectif est de protéger les plus vulnérables», a-t-elle précisé.