«Les vaccins sont notre meilleure voie pour sortir de la pandémie [...] Ils sont aussi très efficaces pour limiter les infections. Néanmoins, le déploiement de ces vaccins est d'une lenteur inacceptable», a déclaré le directeur de l'OMS Europe.
S'exprimant sur le rapport rendu par une équipe de l'OMS après une visite en Chine sur l'origine du virus, le patron de l'agence de l'ONU a exprimé des doutes sur cette «évaluation», appelant à «de nouvelles missions avec des experts spécialisés».
Bruce Aylward, un sous-directeur général de l'OMS, a déclaré que «nous sommes en guerre contre le virus, pas les uns contre les autres». Des propos qui font suite à ceux d'Emmanuel Macron, qui avait évoqué une «guerre mondiale d'un nouveau genre».
Un responsable de l'Organisation mondiale de la Santé a annoncé que le coronavirus n'aurait pas disparu d'ici la fin de l'année. L'OMS souhaite par ailleurs que les soignants de tous les pays commencent à être vaccinés d'ici 40 jours.
Le système de distribution de vaccins contre le Covid-19 à destination des pays pauvres, est mis à mal par plusieurs pays riches qui tenteraient d'approcher directement les fabricants pour recevoir davantage de doses, selon le patron de l'OMS.
L'équipe d'experts l'Organisation mondiale de la santé envoyés a Wuhan, en Chine, pour enquêter sur l'origine du Covid-19 ont trouvé des indices qui pourraient permettre d'établir que l'épidémie circulait déjà fortement en décembre 2019.
Pour aider à la Guinée à faire face à la réapparition de l'épidémie d'Ebola, l'OMS entend déployer rapidement des moyens, dont des doses de vaccins. La dernière épidémie en Afrique de l'Ouest s'était achevée en 2016.
Peter Daszak, expert de l'OMS envoyé à Wuhan pour enquêter sur les origines de la pandémie, a déclaré qu'il ne fallait pas trop se fier aux renseignements américains : la fuite du virus provenant d'un laboratoire est jugée «hautement improbable».
Les experts déployés à Wuhan ont livré leurs conclusions sur les origines de la pandémie du Covid-19 à l'issue de leur mission. Ils privilégient l'hypothèse d'une transmission par l'animal, et jugent «improbable» une fuite en laboratoire.
Sur recommandation du Haut Conseil de la santé publique, Olivier Véran a déconseillé aux Français l'usage des masques artisanaux pour se protéger du Covid-19. L'Académie nationale de médecine juge un tel changement de recommandation inopportun.
Le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a cité l’exemple de l’un «des pays au revenu le plus bas du monde», auquel seules 25 doses de vaccin ont été attribuées.
En raison de la circulation en Europe d'une nouvelle variante plus contagieuse du Covid-19, l'Europe doit «faire plus», selon la direction régionale de l'Organisation mondiale de la Santé, qui décrit «une situation alarmante».
Le 31 décembre 2019, la Chine déclarait à l'OMS l'apparition d'une pneumonie d'origine inconnue. Un an plus tard, le coronavirus n'a pas fini de dérouter le monde entier. Retour sur les grands temps de l'épidémie en six chiffres.
L'Organisation mondiale de la santé ne cède pas à la panique après la découverte d'une nouvelle souche du coronavirus à la transmission plus élevée au Royaume-Uni. La situation «n'est pas hors de contrôle», affirme l'OMS.
Selon l'AFP, la branche européenne de l'Organisation mondiale de la Santé préconise le port du masque lors des réunions familiales de Noël et des fêtes de fin d'année, face à un «risque élevé» de reprise de l'épidémie début 2021.
L'OMS et le ministère italien de la Santé ont, selon The Guardian et le Financial Times, «conspiré» pour garder secret un rapport «accablant» de l'OMS, révélant la gestion «chaotique» de l'épidémie de Covid-19 en Italie lors de la première vague.
Un ancien candidat américain au prix Nobel de la paix a déposé auprès de la Cour pénale internationale une plainte contre le chef de l'OMS, accusé d'avoir supervisé «le meurtre et la torture» d'Ethiopiens quand il était ministre.
Dans une interview, un envoyé spécial de l'OMS a estimé que si les gouvernements européens ne mettaient pas en place les infrastructures nécessaires, une troisième vague de l'épidémie de coronavirus pourrait avoir lieu début 2021 en Europe.
Devenue un enjeu à la fois scientifique, sanitaire et géopolitique, cette compétition à l’échelle planétaire bat son plein en impliquant les principales puissances mondiales. Où en est-on dans cette recherche sensée mettre fin à la pandémie ?
La Russie a soumis à l'Organisation mondiale de la santé une demande de préqualification de son premier vaccin, Spoutnik V, contre le nouveau coronavirus.