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La thèse du virus du Covid-19 échappé d'un laboratoire en Chine mérite de «plus amples recherches», estiment des experts nommés par l'OMS, qui insistent sur l'absence pour l'heure de preuves définitives sur l'origine de la pandémie.
Le risque est «réel» que le virus de la variole du singe s'installe dans les pays non endémiques, avec déjà 1 000 cas signalés, a fait savoir l'OMS. Pour l'heure, l'organisation «ne recommande pas la vaccination de masse contre la variole du singe».
L'Organisation mondiale de la santé a annoncé ce 5 juin le recensement de 780 cas de variole du singe dans 27 pays où le virus ne sévit pas de façon permanente. Aucun décès n'y a été pour l'heure signalé.
La politique zéro Covid prônée en Chine pour tenter de combattre la pandémie – qui suscite suscite une exaspération croissante des populations – «n'est pas soutenable» a affirmé le patron de l'OMS. Des propos censurés sur les réseaux sociaux chinois.
Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a regretté que tous les conflits n’attirent pas autant l’attention que l'Ukraine, en citant l'Afghanistan, le Yémen, la Syrie, ainsi que le Tigré, dont il est originaire.
Constatant un regain de contaminations au coronavirus, l'Organisation mondiale de la santé a estimé que certains pays européens, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni, avaient levé trop «brutalement» leurs mesures anti-Covid.
L'OMS a de nouveau fermement invité les pays riches à verser les 16 milliards de dollars manquants pour financer le plan ACT-A contre le Covid. Un dispositif créé par des agences sanitaires, la Banque mondiale et la fondation Bill et Melinda Gates.
Le directeur régional de l'OMS en Europe estime que grâce à la vaccination et à la moindre sévérité d'Omicron, l'Europe connaît un répit comparable à un «cessez-le-feu» qui pourrait conduire à la fin de la pandémie de Covid-19.
L'organisation mondiale de la santé annonce que la présence d'un sous-variant d'Omicron a déjà été détectée dans 57 pays. Cette mutation nommée BA.2 pourrait se révéler encore plus contagieuse que le variant sud-africain Omicron.
Le directeur général de l'OMS a jugé «prématuré» de crier victoire face au Covid-19, lors d'une conférence de presse le 1er février. S'il a demandé aux Etats de ne pas renouer avec les confinements, il a souligné la dangerosité du virus.
La scientifique en chef de l'OMS a déclaré qu'il n'y avait «pas de preuve à l'heure actuelle» que des enfants ou adolescents en bonne santé aient besoin de rappels anti-Covid-19. «L'objectif est de protéger les plus vulnérables», a-t-elle précisé.
Combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n'est pas une stratégie viable, ont prévenu des experts de l'Organisation mondiale de la santé, réclamant aussi des vaccins qui préviennent mieux la transmission.
Selon les prédictions de la branche européenne de l'Organisation mondiale de la santé, au rythme actuel, plus d'un Européen sur deux aura été infecté par Omicron dans les six à huit semaines à venir.
L'OMS reste inquiète au sujet du nouveau variant Omicron, pourtant moins virulent que le variant Delta. Une responsable de l'organisation pense que ce variant pourrait en générer de plus dangereux.
Selon l'Organisation mondiale de la Santé, les systèmes de santé nationaux risquent l'effondrement face au «tsunami» causé par les variants Delta et Omicron du Covid-19.
Dans une interview à BFMTV, le professeur émérite de l'université d'Aix-Marseille déclare que «la troisième dose dure encore moins longtemps que les précédentes» et qu'en conséquence, le vaccin n'est selon lui «plus une arme» contre la pandémie.
Le directeur de l'Organisation mondiale de la santé a mis en garde, au cours d'un point de presse tenu le 22 décembre à Genève, contre l'illusion selon laquelle il suffirait d'administrer des doses de rappel pour mettre fin à la pandémie de Covid-19.
Dans LA GRANDE INTERVIEW, Ilya Petrenko reçoit Hans Kluge, directeur régional de l'OMS pourl'Europe
Le directeur de l'Organisation mondiale de la santé Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré le 20 décembre que son organisation s'engageait à faire de 2022 l'année marquant la fin de la pandémie.
Invité à définir en un mot les gens qui refusent le vaccin pour eux-mêmes et pour les autres, le porte-parole du Kremlin en a choisi deux : «Dangereux idiots». Le gouvernement russe, s'il appelle régulièrement à la vaccination, refuse de l'imposer.