VIDEO

Journaliste spécialiste de l'Amérique latine, Romain Migus analyse pour RT France les enjeux du «Sommet des Amériques», où le président mexicain ne se rendra pas en raison de l'exclusion par les Etats-Unis de Cuba, du Venezuela et du Nicaragua.
Alors que se tient à Los Angeles le «Sommet des Amériques», des milliers de migrants se sont élancés ce 6 juin depuis Tapachula, à la frontière du Guatemala, vers la frontière avec les Etats-Unis, située 3 000 kilomètres plus au nord.
Dénonçant la décision des Etats-Unis de ne pas convier Cuba, le Venezuela et le Nicaragua au «Sommet des Amériques», le président du Mexique Andrés Manuel Lopez Obrador a annoncé ce 6 juin qu'il n'y prendrait pas part.
S'insurgeant contre le refus des Etats-Unis d'inviter Cuba, le Venezuela et le Nicaragua, Andrés Manuel Lopez Obrador a annoncé qu'il pourrait boycotter le prochain sommet des Amériques prévu en juin à Los Angeles.
Le gouvernement mexicain a vivement réagi au vote d'une résolution du Parlement européen lui enjoignant d'assurer la protection des journalistes et des défenseurs des droits humains, dénonçant une «ingérence» profitant à ses opposants.
Les 15 pays du Conseil se pencheront une nouvelle fois en urgence sur la crise humanitaire née de l'offensive russe en Ukraine. Après cette session publique, des consultations à huis clos devraient avoir lieu, à la demande du Mexique et de la France.
Andres Manuel Lopez Obrador a déclaré qu'à rebours des Occidentaux, Mexico n'allait prendre aucune sanction économique contre Moscou, qui conduit une opération militaire en Ukraine.
Le président mexicain Lopez Obrador affirme son style. S'il compose avec les Etats-Unis sur leurs problématiques communes, il n'hésite pas à leur tenir tête sur certains dossiers. Washington, contrairement à ses habitudes, encaisse.
La fondatrice de l'entreprise française de mode a présenté ses excuses après une séance photo et une vidéo avec une dame âgée d'une communauté indigène qui a fait scandale au Mexique. Le gouvernement mexicain dénonce une «appropriation culturelle».
Dans un pays où les inégalités et la pauvreté déchirent le tissu social, la question de la violence entraine parfois des réactions désespérées
Le gouverneur du Texas Greg Abbott a annoncé que son Etat avait commencé à ériger son propre mur «anti-migrants» à la frontière avec le Mexique, fustigeant au passage le laxisme de l'administration Biden sur les questions migratoires.
L'administration Biden a fait savoir qu'aucun accord n'avait pu être conclu avec les avocats des familles qui avaient porté plainte après que des familles migrantes ont été séparées sous la présidence de Donald Trump.
17 personnes dont 13 policiers ont été blessées dans des violences à l'entrée sud de Mexico. Partis le 23 octobre de la frontière avec le Guatemala, les migrants voulaient se rendre à la basilique de Guadalupe, dans le nord de la ville.
Le Mexique a demandé aux Etats-Unis de réviser leur politique migratoire, au lendemain de la mort de 55 migrants en situation irrégulière dans un accident de camion dans le sud du pays.
Un des membres du gouvernement mexicain a estimé le 27 novembre que les réactions autour de l'apparition du variant Omicron étaient disproportionnées. Selon lui, le durcissement des restrictions sanitaires serait à ce titre superflu.
Au moins un policier a été blessé et 25 personnes ont été interpellées au Mexique dans de nouveaux heurts entre les forces de l'ordre et une caravane de migrants, quatre jours après la mort de deux étrangers en situation irrégulière.
Quelque 3 000 personnes sans papiers ont entamé une marche depuis le sud du Mexique jusqu'à la capitale pour demander une amélioration de leurs conditions de vie, certaines souhaitant poursuivre leur route jusqu'à la frontière des Etats-Unis.
Un arrêt de la justice mexicaine a demandé au gouvernement mexicain de vacciner les mineurs de 12 à 17 ans. Le gouvernement affirme vouloir examiner cette décision de justice mais il n'est pas contraint de s'y conformer.
Le 28 septembre, des centaines de personnes ont investi les rues de Mexico à l’occasion de la Journée internationale du droit à l’avortement. Au moins 34 individus ont été blessés lors de heurts avec la police qui tentait de disperser la foule.
Dans une lettre de démission adressée à Antony Blinken, l'émissaire américain en Haïti dénonce des expulsions «inhumaines» alors que les Etats-Unis sont touchés par une crise migratoire à la frontière avec le Mexique.