SIDERANT

Interrogé sur la ratification ce 3 octobre du Statut de Rome par le Parlement arménien, Dmitri Peskov a fait part de la désapprobation du Kremlin. Il s'est néanmoins dit confiant quant au maintien de l'alliance entre Moscou et Erevan.
Un soldat arménien a été tué ce 2 octobre et deux autres blessés, selon l'Arménie, tandis qu'une patrouille mixte russe et azerbaïdjanaise a essuyé des tirs dans le Karabagh, selon la Russie.
Réagissant à l'intervention de Bakou dans le Haut-Karabagh, Téhéran rejette catégoriquement tout changement géopolitique supplémentaire dans le Caucase. Téhéran est notamment préoccupé par le projet azerbaïdjanais du corridor de Zangezour.
Lors d’une conférence de presse à Sotchi, le chef de la diplomatie russe a exprimé l'intention de Moscou de travailler avec l'Arménie et l'Azerbaïdjan afin de stabiliser la situation dans le Haut-Karabagh, en dépit des accusations d'Erevan.
Le dirigeant de l'enclave du Haut-Karabagh, qui a capitulé face à l'Azerbaïdjan, a promis ce 2 octobre de rester dans la capitale de ce territoire disputé jusqu'à la fin des opérations de secours pour les victimes du conflit.
Une mission de l'ONU est arrivée dans le Haut-Karabagh, pour la première fois en trois décennies, a annoncé l'Azerbaïdjan au moment où la majorité de la population arménienne locale a quitté l'enclave après sa reprise par Bakou.
L'Azerbaïdjan réfute toute accusation de «nettoyage ethnique» dans le Haut-Karabagh et assure aux habitants de l'enclave qu'ils sont libres de partir ou de rester, a indiqué un conseiller du président à l'AFP.
Un soldat azerbaïdjanais a été tué par un tireur embusqué depuis les positions des forces armées arméniennes à la frontière entre les deux pays, a indiqué le ministère azerbaïdjanais de la Défense dans un communiqué immédiatement démenti par Erevan.
Le Haut-Karabagh est le 30 septembre presque entièrement déserté de ses habitants arméniens après la victoire éclair de Bakou, avec plus de 100 000 réfugiés ayant fui en Arménie.
La Russie décidera avec l'Azerbaïdjan de l'avenir de sa mission de maintien de la paix dans le Haut-Karabagh, a indiqué le Kremlin, après la victoire éclair de Bakou dans ce territoire disputé où Moscou avait déployé des forces depuis 2020.
Rouben Vardanian, ancien chef du gouvernement de la république autoproclamée du Haut-Karabagh, a été placé en détention provisoire par les autorités de Bakou. Inculpé par l’Azerbaïdjan pour financement du terrorisme, l'Arménie cherche à le rapatrier.
Dans un décret, le dirigeant du Haut-Karabagh a annoncé ce 28 septembre la dissolution de toutes les institutions «d’ici le 1er janvier 2024», une semaine après l'offensive victorieuse de l'Azerbaïdjan.
Bakou a indiqué ce 27 septembre avoir perdu 192 militaires dans son offensive la semaine précédente, tandis que les forces du Haut-Karabagh ont déclaré en avoir perdu 213.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan s'est rendu dans l'enclave azerbaïdjanaise de Nakhitchevan. Reçu par son homologue et allié Ilham Aliev, les deux hommes ont évoqué la construction d'un corridor gazier et l'inauguration d'une base militaire.
Les forces azerbaïdjanaises, en coopération avec les soldats de maintien de la paix russes, procèdent à un «désarmement» des combattants du Haut-Karabagh, a annoncé ce 23 septembre un porte-parole de l'armée azerbaïdjanaise.
Sous le contrôle des forces russes de maintien de la paix, les forces du Haut-Karabagh continuent à être désarmées. Des négociations avec Bakou, sur leur retrait de l’enclave, sont attendues ce 23 septembre.
Les autorités de Stepanakert ont annoncé négocier avec l'Azerbaïdjan le retrait de leurs troupes. Les forces azerbaïdjanaises viennent de remporter une victoire éclair dans le Haut-Karabagh.
Le cessez-le-feu se maintient ce 22 septembre au Haut-Karabagh, malgré plusieurs violations, après la capitulation des combattants de cette enclave du Caucase face à l'offensive éclair de l'Azerbaïdjan.
Le 21 septembre, le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit pour discuter des menaces contre la paix et la sécurité internationale concernant la situation en Arménie et en Ukraine.
Vivement contesté par son opposition, qui l'accuse d'abandonner le Haut-Karabagh, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a appelé l'Arménie à «apprécier la paix».