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Nommée par Lula, l'ancienne présidente du Brésil Dilma Rousseff a été élue à l'unanimité à la tête de la Nouvelle banque de développement (NBD), institution financière adossée au groupe des Brics et basée à Shanghai.
130 personnes accusées d'être impliquées dans l'assaut contre les lieux de pouvoir à Brasilia ont bénéficié d'une libération provisoire. Le juge de la Cour suprême a estimé qu'ils pouvaient répondre de leurs actes en étant en liberté surveillée.
Dans un communiqué commun, les gouvernements de l'Argentine, du Brésil, du Chili et du Mexique expriment leur «profonde inquiétude» devant la décision du gouvernement israélien de «légaliser» de nouvelles colonies en Cisjordanie.
Depuis les Etats-Unis, l'ex-président brésilien a exprimé son intention de retourner dans son pays alors qu'il fait l'objet d'une enquête par la Cour suprême brésilienne pour déterminer son rôle dans l'assaut des institutions nationales à Brasilia.
Un juge a annoncé que 464 personnes, sur les 1 406 soupçonnées d'avoir participé aux événements de Brasilia, seraient libérées. 1459 audiences ont eu lieu depuis le 8 janvier et l'action des partisans de l'ancien président dans des lieux de pouvoir.
Les autorités brésiliennes ont arrêté le 14 janvier un ex-ministre de Jair Bolsonaro. Elles accentuent la pression sur l'entourage de l'ancien président, visé par une enquête pour son rôle dans l'attaque violente contre les lieux de pouvoir.
Ce 8 janvier, des centaines de partisans de l'ancien président ont assailli plusieurs lieux de pouvoir à Brasilia. La police a tenté de les repousser. Certains sont parvenus à pénétrer dans le palais présidentiel, le Congrès et la Cour suprême.
Le président élu brésilien Lula a achevé la nomination de son futur gouvernement, à trois jours de sa prise de fonction. 37 ministres ont été choisis, bien plus que les 23 du gouvernement précédent, après de longues et difficiles négociations.
Prélude à son entrée en fonction le 1er janvier prochain, le président brésilien élu Lula a procédé à la nomination de 16 ministres, portant leur nombre à 21 sur les 37 qui composeront son gouvernement. Lula a par ailleurs critiqué son prédécesseur.
Sous écrous depuis plus de trois ans et demi, Julian Assange est menacé d'extradition vers les Etats-Unis, où il encourt la prison à vie. Balayée par les chancelleries occidentales, l'affaire semble regagner du terrain en Amérique latine.
Des milliers de partisans de l’ancien président brésilien Lula da Silva se sont rassemblés le 1er octobre dans la rue principale de Sao Paulo pour le soutenir à la veille de la présidentielle. Ce dernier a participé à la manifestation.
Dans une vidéo publiée sur Tik-Tok, le footballeur du PSG Neymar a affiché son soutien au président brésilien sortant, Jair Bolsonaro, appelant à voter pour lui lors de l'élection présidentielle qui aura lieu le 2 octobre au Brésil.
Le président brésilien a peu goûté la réception de son adversaire Luiz Inacio Lula da Silva à l'Elysée il y a quelques jours. Estimant qu'Emmanuel Macron a toujours été hostile envers lui, il a qualifié cette invitation de «provocation».
En tournée européenne, l'ancien président brésilien était ces derniers jours à Paris, où il a rencontré Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon et même Emmanuel Macron.
Le président brésilien a annoncé la création d'un programme concernant 16,9 millions de familles et remplaçant la Bolsa Familia de son prédécesseur et futur concurrent électoral Lula. Le montant plancher de cette aide est en discussion.
La justice brésilienne blanchit à nouveau Lula : un magistrat de la Cour suprême a annulé deux nouvelles procédures lancées contre l'ancien président brésilien par l'ex-juge Sergio Moro, déclaré «partial» en mars dernier.
Jair Bolsonaro a accueilli avec froideur l'annonce de l'annulation des condamnations de Lula, pointant notamment du doigt le lien du juge décisionnaire avec l'ancien président. Il espère que la Cour suprême reviendra sur la décision.
Un juge de la Cour suprême a annulé les condamnations au pénal de l'ancien président du Brésil, Luiz Inacio Lula da Silva, pour corruption. Le leader de la gauche brésilienne voit ses droits civiques rétablis à un an de l'élection présidentielle.
L'ex-président brésilien Lula a estimé devant la presse que Jair Bolsonaro avait simulé être atteint du virus dans le but de faire de la propagande pour l'hydroxychloroquine, au motif notamment qu'il aurait des intérêts dans la vente de ce médicament
Des ex-hauts responsables brésiliens pilonnent dans une tribune la «diplomatie idéologisée» et la «perte d'indépendance» de leur pays sous Bolsonaro. Ils lui reprochent notamment de s'aligner sur Washington et de froisser ses partenaires européens.