RIPOSTE

Selon des informations du Point, Elisabeth Borne aurait reçu un présent assez particulier sous la forme d'un maillot de football faisant référence à l'article de la Constitution utilisé à dix reprises pour mettre un terme aux débats parlementaires.
L'Assemblée nationale a rejeté ce 17 décembre la motion de censure déposée par l'alliance de gauche Nupes, entraînant l'adoption définitive du projet de budget de l’Etat pour 2023.
POLIT'MAG avec le chroniqueur François Cocq ainsi que nos invités Mornia Labssi, militante LFI-NUPES et inspectrice du travail, Fabrice Grimal, ancien candidat Gilet jaune à la présidentielle, et Mustapha Marrouchi, adjoint au maire UDI de Massy.
Après un nouveau rejet d’une motion de censure, Elisabeth Borne a eu recours à un sixième 49.3 pour faire adopter le budget de la Sécurité sociale. Cet énième passage en force du gouvernement ponctue deux jours de vives tensions au palais Bourbon.
Alors que les projets de motion de censure se multiplient au sein d'un hémicycle houleux, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot estime que son parti doit arrêter de voter les motions proposées par la NUPES, et tacle au passage Jean-Luc Mélenchon.
L'Assemblée nationale a largement rejeté le 4 novembre une nouvelle motion de censure déposée par les Insoumis contre le gouvernement, ce qui vaut adoption en première lecture du projet de budget de l'Etat pour 2023. Celui-ci passe au Sénat.
Alors que le 49.3 est enclenché sur l'ensemble du projet de budget 2023 en première lecture à l'Assemblée nationale, le Rassemblement national a annoncé qu'il ne déposera pas de nouvelle motion de censure. Il votera néanmoins celle de la LFI.
Le groupe RN à l'Assemblée nationale a annoncé son intention de voter la nouvelle motion de censure déposée contre le gouvernement par le groupe de gauche LFI dans un climat marqué par l'usage répété du controversé article 49.3 de la Constitution.
Au nouveau 49.3 dégainé par la Premier ministre sur le budget de la Sécurité sociale, les députés RN ont répondu par le dépôt d'une motion de censure, ainsi que les élus LFI – mais cette fois seuls à gauche.
La droite et le centre qui constituent une réserve d'élus nécessaire au camp présidentiel pour obtenir la majorité absolue à l'Assemblée, sont séduits par l'idée d'une alliance ponctuelle avec la macronie sur certains chantiers comme les retraites.
Elisabeth Borne a de nouveau engagé à l'Assemblée la responsabilité de son gouvernement via le 49.3, sur l'ensemble du projet de budget 2023 de la Sécurité sociale. La France insoumise déposera, seule à gauche, une motion de censure en réaction.
Jean-Luc Mélenchon assume le vote RN sur la motion de censure présentée par son camp, la Nupes. Il interpelle également les LR, en assurant que la Nupes pouvait voter l'une de leurs motions de censure. L'exécutif pourrait alors chuter.
Polit'Mag avec nos éditorialistes Alexis Poulin et Didier Maïsto, le chroniqueur Stéphane Tiki, et Amine Saha, conseiller municipal (ex PS) à La Courneuve et vice-président de l’Association des Élus de France.
En dépit du soutien apporté par Marine Le Pen et son camp, la motion de censure portée par la Nupes sur le projet de budget 2023 n'a pas été adoptée. Elle a recueilli 239 votes sur les 289 nécessaires.
La chef de file des députés RN Marine Le Pen a annoncé le 24 octobre à l'Assemblée que son groupe voterait en faveur de la motion de censure déposée par la Nupes «en des termes acceptables» contre le budget du gouvernement, en plus de la sienne.
Après l'échec de la motion de droite, celle déposée par la gauche a également fait chou blanc. Après ces deux tentatives infructueuses, l'hémicycle adopte ainsi en première lecture le projet de réforme des retraites, selon la procédure du 49.3.
L'Assemblée nationale a rejeté la motion de censure de la droite contre le gouvernement Philippe, qui a eu recours au 49.3 pour faire passer en première lecture le projet de réforme des retraites. Une seconde, déposée par la gauche, va être examinée.
Le Premier ministre a annoncé, le 29 février, le recours à l'article 49.3 sur le projet de loi de réforme des retraites. Pour défendre cette option, la majorité dénonce notamment les «manœuvres d'obstruction» des députés de gauche.
En pleine tourmente du Brexit, Theresa May échappe de peu à une motion de censure proposée par ses opposants politiques. Elle doit à présent proposer un plan B pour sauver le Brexit et sortir de la crise.
Nouvelle épreuve dans la crise des Gilets jaunes pour le gouvernement. Le Premier ministre va affronter ce 13 décembre la motion de censure de la gauche. Celle-ci n'a toutefois aucune chance d'aboutir, les députés la portant étant minoritaires.