Le président de l'Azerbaïdjan a inauguré le 12 avril un parc en hommage à la victoire de son pays dans le Haut-Karabagh en 2020. Photographié et entouré de casques de soldats arméniens morts, le chef d'Etat a déclenché la colère de l'Arménie.
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a annoncé le 28 mars qu'il allait quitter ses fonctions en avril afin de tenir des élections anticipées censées mettre fin à la crise que vit l'Arménie depuis la fin du conflit contre l'Azerbaïdjan.
Le chef du gouvernement a demandé à ses soutiens de montrer le 1er mars «la disposition du peuple à soutenir l'ordre démocratique et constitutionnel», alors que de son côté, le président Armen Sarkissian a refusé de révoquer le chef de l'armée.
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a fustigé le 25 février «une tentative de coup d'Etat militaire». L’homme politique va-t-il faire les frais de la défaite militaire de l’Arménie face à l'Azerbaïdjan dans le Haut-Karabagh en 2020 ?
Le Premier ministre Nikol Pachinian a fustigé «une tentative de coup d'Etat militaire» après l'appel à la démission de son gouvernement lancé par l'état-major des armées. Depuis, les deux camps manifestent dans les rues de la capitale.
Vladimir Poutine a reçu les dirigeants arménien et azerbaïdjanais à Moscou pour discuter de l'avenir du Haut-Karabagh. «La situation est maintenant calme dans la région», a estimé le président russe.
Emmanuel Macron s'est entretenu avec son homologue russe Vladimir Poutine au sujet de la situation dans le Haut-Karabagh à la veille d'une réunion tripartite entre Moscou, Erevan et Bakou.
Plusieurs centaines de vidéos montrant des crimes de guerre commis lors du conflit dans la région du Haut-Karabagh ont été diffusées sur des applications de messagerie. The Guardian et Amnesty international en ont authentifié et analysé certaines.
Des milliers de manifestants sont sortis dans les rues de la capitale arménienne ce 14 décembre pour réclamer la démission du Premier ministre Nikol Pachinian. Des interpellations ont eu lieu.
La Russie a signalé un «cas de violation du cessez-le-feu» dans le Haut-Karabagh malgré l'accord qui a mis fin aux combats dans la région en novembre.
Vladimir Poutine a salué le «courage» du Premier ministre arménien Nikol Pachinian, critiqué dans son pays pour avoir accepté un cessez-le-feu consacrant la victoire de l'Azerbaïdjan après six semaines de guerre au Haut-Karabagh.
La résolution du Sénat français demandant la reconnaissance de la république du Haut-Karabagh fait grincer des dents l'exécutif. Comment interpréter cette initiative ?
Les forces azerbaïdjanaises ont annoncé leur entrée dans le district de Latchin, troisième et dernier district rétrocédé par l'Arménie, près du Haut-Karabagh, conformément à l'accord de fin des hostilités signé le 9 novembre sous patronage russe.
Après la défaite subie par l'Arménie lors du conflit du Haut-Karabagh, le président arménien Armen Sarkissian a prôné des élections anticipées et la formation d'un gouvernement d'unité nationale pour surmonter la crise en cours.
Un millier de manifestants ont défilé à Erevan pour réclamer que soient recherchés plusieurs centaines de soldats portés disparus depuis la fin du conflit.
Le Sénat et le Conseil de Paris vont demander la reconnaissance de la République du Haut-Karabagh, alors même qu’un cessez le feu a été trouvé sous l’égide de la Russie entre Azerbaïdjanais et Arméniens... La France arrive-t-elle un peu tard ?
Le cessez-le-feu acté, son application est désormais en cours. L'aide humanitaire russe arrive actuellement sur le terrain. Mais la rétrocession de territoires comportant des sites religieux entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan suscite des craintes.
Quelques jours après le cessez-le-feu au Haut-Karabagh, la paix fragile négociée par Moscou après sept semaines d’intenses combats doit maintenant être consolidée et acceptée par les deux parties.
Dans le cadre de l'accord de paix signé entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, la Russie a commencé à mettre en place un centre d'intervention humanitaire dans la capitale du Haut-Karabagh, dans le but de garantir la sécurité des civils et des réfugiés.
Soupçonné d'avoir fomenté un complot dans le but d'assassiner le Premier ministre arménien et de prendre le pouvoir, le chef du parti d'opposition Patrie, Artour Vanetsian, a été arrêté. Son avocate dénonce une «persécution».