Le gouvernement palestinien basé à Ramallah a soumis ce 29 janvier sa démission au président de l'Autorité Mahmoud Abbas, sur fond de dissensions persistantes entre organisations palestiniennes.
Participant au hashtag viral #10yearchallenge qui accompagne la publication de deux photos, une prise il y a dix ans et une aujourd'hui, le Premier ministre israélien a décidé de publier des images à portée politique.
Ramallah, siège de l'Autorité palestinienne, est totalement bouclée après une attaque qui a tué deux Israéliens en Cisjordanie. Au moment où un calme précaire semble revenir sur Gaza, une flambée de violence embrase la Cisjordanie occupée.
L'ambassadeur du Qatar à Gaza a été autorisé par Israël à acheminer des millions de dollars pour venir en aide aux Palestiniens de Gaza. Cette initiative exceptionnelle a été critiquée par l'Autorité palestinienne et par des ministres israéliens.
Salmane El-Herfi, ambassadeur de la Palestine en France, est revenu pour RT France sur l'intervention de Mahmoud Abbas à la tribune des Nations unies. Pour lui, la politique menée par les Etats-Unis est un obstacle à la résolution du conflit.
Israël a lourdement bombardé Gaza dans la nuit du 8 au 9 août faisant trois morts dont une femme enceinte et son bébé de 18 mois. Le jour même, le Hamas avait également envoyé 180 roquettes qui n'ont fait aucun mort et quatre blessés.
En représailles à des tirs de roquettes provenant de Gaza le 29 mai dans la journée, l'armée israélienne a bombardé plus de 35 positions du Hamas et du Djihad islamique. Elle a répondu plus tard aux rumeurs de cessez-le-feu par de nouveaux raids.
Sans parvenir à se mettre d'accord sur une déclaration commune, le Conseil de sécurité de l'ONU, réuni en urgence, a déploré les affrontements à la frontière israélo-palestinienne qui ont fait 16 morts, s'inquiétant d'une possible escalade.
Interpellé à l'Assemblée nationale sur la question palestinienne, Jean-Yves le Drian a affirmé que la France comptait reconnaître l'Etat palestinien – au moment qui sera jugé «opportun» par Emmanuel Macron.
Le président américain a menacé les Palestiniens de leur retirer des millions de dollars d’aide s’ils ne participaient pas aux discussions de paix avec Israël sous l'égide de Washington. L'OLP a refusé de se plier à cette injonction.
A Bruxelles, le président de l'Autorité palestinienne a appelé les pays membres de l'Union européenne à reconnaître la Palestine comme un Etat indépendant. Le chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini l'a assuré du soutien de l'UE.
Le Conseil central de l'OLP a voté le 15 janvier en faveur de la suspension de la reconnaissance de l'Etat d’Israël, remettant en question les accords d'Oslo et créant une entrave supplémentaire au processus de paix déjà mal en point.
De la Syrie à la Corée du Nord en passant par l'Iran ou encore la Palestine, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a abordé les différentes crises internationales lors de sa conférence de presse du bilan 2017.
Le 22 décembre 2017, Emmanuel Macron a reçu le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Lors d'une conférence de presse, le président français a estimé que les Américains étaient «marginalisés» dans le dossier israélo-palestinien.
Dans un contexte tendu après la déclaration de Donald Trump reconnaissant Jérusalem comme la capitale d’Israël, le président de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas va être reçu par Emmanuel Macron.
La promesse de campagne de Donald Trump de déplacer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel Aviv à Jérusalem fait grincer des dents les pays de l'OCI. Cela impliquerait une reconnaissance de facto de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu.
L'accord entre le Hamas et le Fatah est synonyme d'espoir pour Gaza qui espère notamment une levée partielle du blocus égyptien. Mais la transition politique reste floue et les questions épineuses, comme les armes du Hamas, ne sont pas réglées.
Des dizaines de milliers de Palestiniens se sont rassemblés le 11 novembre à Gaza pour commémorer le 13e anniversaire de la mort de l'ancien dirigeant historique Yasser Arafat, signe d'amélioration des relations entre le Fatah et le Hamas.
Des affiches dénonçant le non-respect de l'engagement pris en 1917 par le Royaume-Uni de protéger les populations non-juives de Palestine, ont été bannies des transports londonniens. Le représentant de l’Autorité Palestinienne crie à la censure.
Le dirigeant britannique revient sur un des épisodes marquant de son passage au 10 Downing Street : le boycott du Hamas, vainqueur des élections législatives palestiniennes. Une erreur regrettable, postérieurement.