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Alors que l’Occident salue l’arrivée du chef du gouvernement d'union nationale Fayez al-Sarraj à Tripoli, les autorités non reconnues siégeant dans la capitale l’ont sommé de quitter la ville ou de «se rendre».
L’intervention occidentale va peut-être éliminer une fraction des djihadistes mais au profit d’autres djihadistes, estime le spécialiste de l’Afrique Bernard Lugan.