Au chaud pour l'hiver : Vladimir Poutine reçoit un cadeau surprise au Pérou (VIDEO)
L’histoire d’une femme péruvienne qui avait essayé d’offrir un pull au président russe, mais avait été interpellée et interrogée par la police, a connu une fin heureuse le 20 novembre quand une journaliste a transmis son cadeau à Vladimir Poutine.
Après la conférence de presse que Vladimir Poutine a tenue à l'issue du sommet de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC), il a reçu un cadeau insolite au terme d'un parcours mouvementé. Une femme prénommée Julia Castro avait essayé le 19 novembre d’offrir au chef d’Etat russe un pull fabriqué par sa propre petite entreprise, mais son élan de générosité s'était terminé par son interpellation par la police péruvienne. Cet incident a attiré l’attention des médias et des journalistes russes, qui ont décidé de l'aider.
«Je me suis rendu au sommet de l’APEC, mais la sécurité était omniprésente. J’avais apparemment choisi un mauvais moment, parce que de strictes mesures de sécurité avaient été prises en raison de la présence du président», a confié Julia Castro à la station de radio locale RPP, en regrettant la tournure prise par les événements.
Une journaliste s'est finalement chargée de remettre le présent au président russe.
Incident aérien au-desssus de la Suisse ? Poutine ne s’offusque pas
Lors d’une conférence de presse qui portait sur des questions économiques et politiques, le président russe a plaisanté sur un incident considéré comme une preuve supplémentaire des récentes tensions entre la Russie et l’Occident. Quand un journaliste a demandé à Vladimir Poutine son opinion sur la manœuvre potentiellement dangereuse des avions de chasse suisses envers un avion civil russe transportant la délégation russe vers le sommet de l’APEC à Lima, ce dernier a répondu avec un sourire : «Considérons ceci comme une escorte d'honneur.»
Trois avions de combat suisses avaient accompagné un avion officiel russe le 19 novembre. Certains passagers avaient exprimé leur préoccupation. Le ministère russe des Affaires étrangères avait alors demandé une explication officielle à la Suisse, et le ministère suisse de la Défense avait expliqué qu'il s'agissait d'un simple «contrôle de routine» de l’identité de l’avion.