ANALYSE

Sans faire spécifiquement référence au récent plan chinois de règlement du conflit en Ukraine, le président biélorusse a exprimé son soutien total à l'«initiative pour la sécurité internationale» de Pékin.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, tient une conférence de presse à l’issue de sa réunion avec le président biélorusse Alexandre Loukachenko ce 19 janvier à Minsk, en Biélorussie.
Selon le président biélorusse Alexandre Loukachenko, l'Ukraine préparerait une attaque sur son territoire, sur le modèle de ce qu'il s'est passé en Crimée. Face à ces menaces, il a annoncé un déploiement de troupes commun avec la Russie.
Le président biélorusse a jugé possible une fin des affrontements, à la condition que Kiev accepte de négocier avec Moscou des concessions territoriales. Selon lui, l'Occident a provoqué le conflit, qui pourrait dégénérer en guerre nucléaire.
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a affirmé ce 2 juillet que son armée avait abattu «environ trois jours» plus tôt des missiles tirés depuis l'Ukraine, dont les cibles se trouvaient en Biélorussie.
Les deux présidents se sont mis d'accord sur la nécessité pour la Biélorussie de bénéficier de missiles Iskander-M, qui peuvent transporter des ogives nucléaires, et ce en réponse à «des vols d'entraînement» effectués par des pays de l'OTAN.
Le président russe et son homologue biélorusse tiennent une conférence de presse conjointe. Ils doivent évoquer un large éventail de domaines dans le contexte de l'intervention militaire russe en Ukraine.
A l'occasion d'une rencontre avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko, le président russe a fait état de progrès dans les négociations en cours avec Kiev, qui ont lieu selon lui «presque quotidiennement».
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko aurait affirmé que le possible déploiement d'armes nucléaires, comme conventionnelles, dans le pays n'était pas à l'ordre du jour tant que «le peuple biélorusse n'est pas étranglé».
Les présidents russe et biélorusse donnent une conférence de presse conjointe à Moscou ce 18 février. Outre les relations entre les deux pays, les questions de sécurité en Europe, qui agitent l'agenda international, devraient être à l'ordre du jour.
Le président de la Biélorussie s'est dit prêt à déployer des «armes supernucléaires» sur son sol. «S'il n'y a pas de menaces de pays inamicaux envers la Biélorussie, il n'y aura pas besoin d'armes nucléaires ici pendant cent ans», a-t-il tempéré.
Le département d'Etat a ordonné le départ des familles des employés américains présents dans le pays en raison d'une activité militaire russe qualifiée d'«inhabituelle» et d'«inquiétante». Les voyages vers la Biélorussie sont fortement déconseillés.
Lors d'une allocution télévisée, le président biélorusse a affirmé que «des centaines de milliers de Biélorusses» défendraient leur terre au côté des forces russes en cas d'attaque directe contre la Biélorussie ou la Russie.
La justice biélorusse a condamné plusieurs opposants à des peines de prison allant jusqu'à 18 ans, notamment Sergueï Tikhanovsky, mari de la pasionaria de l'opposition Svetlana Tikhanovskaïa. Un jugement vivement dénoncé par l'Occident.
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a reconnu pour la première fois la péninsule de Crimée, rattachée en 2014 à la Russie continentale comme étant russe et assure y prévoir prochainement un voyage officiel.
Le chef d'Etat biélorusse, Alexandre Loukachenko, s'est adressé ce 26 novembre à des migrants dans un centre d'accueil non loin de la frontière avec la Pologne, où les tensions se sont accumulées ces dernières semaines.
Minsk travaille «activement» à faire rentrer chez eux les migrants campant à la frontière entre son pays et la Pologne, a affirmé le président biélorusse Alexandre Loukachenko, tout en soutenant que ces derniers ne souhaitaient pas partir.
Les autorités polonaises, soutenues par la Lituanie, ont dénoncé un nouvel afflux de migrants qui se dirigeaient ce 8 novembre depuis la Biélorussie vers leurs frontières. Le Premier ministre polonais a convoqué une réunion d'urgence.
Les présidents russe et biélorusse ont participé la réunion du Conseil suprême de l'Etat de l'Union entre leurs deux pays, à l'issue de laquelle ils ont signé un décret d'intégration approuvant des programmes en commun.
Ces deux pays ex-soviétiques se livrent une guerre économique et diplomatique sans merci. Critiques, menaces et accusations mutuelles : le regain de tension risque d'embraser toute la région. Pourquoi cette querelle entre Kiev et Minsk ?