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Lors d'un entretien téléphonique avec son homologue russe, le président chinois a souligné l'attachement de son pays aux question de «souveraineté» et de «sécurité» dans un contexte marqué par une crise diplomatique entre Moscou et les Occidentaux.
Intervenant au forum économique de Davos, le milliardaire a estimé que la Russie devait être défaite rapidement, le conflit ukrainien menaçant selon lui de faire disparaître la «civilisation». Il s'en est également pris à la Chine, alliée de Moscou.
Joe Biden a estimé que la Chine «flirtait avec le danger» et prévenu que Washington était prêt à défendre militairement Taïwan. La diplomatie chinoise a répliqué qu'il ne fallait pas sous-estimer sa détermination à «protéger sa souveraineté».
Pékin a vivement réagi à la visite d'une délégation parlementaire américaine sur l'île, demandant à Washington de ne pas soutenir sa volonté d'indépendance. Des exercices militaires à proximité de Taïwan ont également été organisés par la Chine.
Lors de sa première visite dans le pays depuis le début de l'offensive militaire en Ukraine, le ministre russe des Affaires étrangères a estimé que le partenariat noué avec Pékin permettrait de bâtir un ordre mondial plus «juste».
La diplomatie chinoise a vigoureusement dénoncé la «politique de confrontation» de l'OTAN, enfermée dans sa «mentalité de guerre froide et ses préjugés idéologiques». Pour Pékin, l'expansion des blocs militaires doit prendre fin.
Au premier jour des Jeux olympiques de Pékin et dans un contexte de tensons avec les Occidentaux autour de l'Ukraine, le président russe a salué le partenariat stratégique entre son pays et la Chine.
Dans une déclaration commune publiée ce 4 février, à l'occasion de la rencontre de Vladimir Poutine et Xi Jinping à Pékin, Moscou et Pékin affichent leur convergence sur plusieurs sujets, parmi lesquels l'extension de l'Alliance atlantique.
Le milliardaire hongro-étasunien a comparé le 31 janvier les Jeux olympiques de Pékin à venir avec ceux de 1936 à Berlin organisés par l'Allemagne nazie, y voyant un risque que la Chine utilise «ce spectacle comme propagande pour son régime».
Dans une conversation au ton amical avec son homologue chinois, le président russe Vladimir Poutine a loué la qualité de la relation entre la Chine et la Russie, fondée sur la «non-ingérence» et le «respect des intérêts de chacun».
Lors d'un entretien de plus de trois heures en visioconférence, le président chinois a mis en garde son homologue américain au sujet du soutien des Etats-Unis à Taïwan, ceux-ci s'opposant à toute tentative de «changer le statu quo» de l'île.
La diplomatie chinoise a mis en garde les Etats-Unis contre toute action pouvant être interprétée comme un soutien à «l'indépendance de Taïwan». De son côté, le département d'Etat américain a «exhorté Pékin à engager un dialogue significatif».
Quelques jours avant un sommet avec son homologue américain Joe Biden, le président chinois Xi Jinping a estimé que les relations entre la Chine et les Etats-Unis se trouvaient actuellement «à un moment historique critique».
Lors d'un discours attendu, Joe Biden a assuré devant l'ONU qu'il ne voulait pas d'une «nouvelle guerre froide», sans toutefois jamais nommer la Chine. Il a également défendu son attachement au multilatéralisme avec les alliés des Etats-Unis.
Une réunion au sommet le 17 août autour du président Xi Jinping a abouti à plusieurs décisions concernant une meilleure redistribution des richesses du pays, où les inégalités ont fortement augmenté ces dernières années.
La Chine a déclaré par la voix du ministre adjoint des Affaires étrangères que les Etats-Unis voyaient en Pékin un «ennemi imaginaire», lors d'une réunion avec la vice-secrétaire d'Etat américaine Wendy Sherman, en visite dans la région.
A l'occasion d'une réunion du Parti communiste chinois, le pays a annoncé autoriser les couples à avoir un troisième enfant. Face à un ralentissement démographique, le pays souhaite faire repartir son taux de natalité à la hausse.
Les présidents russes et chinois ont lancé la construction de quatre nouveaux réacteurs nucléaires russes en Chine. Vladimir Poutine a déclaré que les relations entre les deux pays avaient atteint «leur plus haut niveau dans l'histoire».
L'ex-président américain a critiqué la diplomatie de son successeur, pointant notamment le risque selon lui de «pousser la Chine et la Russie à s'allier, et à se renforcer mutuellement». Il a également dit réfléchir à une candidature en 2024.
Chefs d’Etats des deux pays du monde chinois, nos duellistes représentent deux visions différentes de l’avenir de leurs pays et semblent prêts à tout pour défendre leurs intérêts nationaux.