BRAS DE FER

En représailles aux critiques du pape François qualifiant le Nicaragua de «dictature grossière», le gouvernement de Daniel Ortega a fait savoir qu'il envisageait de suspendre ses relations avec le Vatican.
Le président du Nicaragua a entamé une procédure afin de demander aux parlementaires du pays d'autoriser l'entrée de troupes étrangères : la Russie, les Etats-Unis, le Mexique, le Venezuela, Cuba ou encore la République dominicaine sont concernés.
L'Organisation des Etats américains a dénoncé les résultats de l'élection présidentielle au Nicaragua qui, selon elle, manquerait de «légitimité démocratique». Managua dénonce une ingérence et une attaque contre le peuple nicaraguayen.
Selon des résultats partiels, le président sandiniste Daniel Ortega est reconduit à la tête du Nicaragua pour un quatrième mandat consécutif. Il a récolté environ 75% des voix, selon des résultats partiels.
Daniel Ortega brigue un quatrième mandat à la tête du Nicaragua. Sans surprise, il devrait remporter cette présidentielle. Quel est son bilan à la tête d'un pays marqué par l'emprisonnement d'opposants et la cible de pressions occidentales ?
Après l'arrestation de plusieurs opposants au gouvernement sandiniste accusés par celui-ci de «vendre la patrie à l'étranger», Washington a infligé de nouvelles sanctions à quatre proches du président nicaraguayen Daniel Ortega.
40 ans après la révolution sandiniste, le Nicaragua s’embrase de nouveau. La colère populaire se déverse dans la rue, mais qui est responsable des morts dans les violences ? Quel rôle ont les puissances étrangères dans cette situation explosive ?
Un rapport de la Commission interaméricaine des droits de l'homme sur la situation au Nicaragua fait état de 212 morts dans des manifestations et pointe la responsabilité exclusive du gouvernement. Des événements pourtant loin d’être aussi simples.