BRAS DE FER

La Corée du Nord a affirmé avoir testé un drone d'attaque nucléaire sous-marin capable de déclencher un «tsunami radioactif». Pyongyang accuse les Etats-Unis et la Corée du Sud d'être à l'origine de la détérioration de la sécurité régionale.
Alors que les Etats-Unis et la Corée du Sud multiplient les manœuvres conjointes, Kim Jong-un a supervisé des exercices militaires de deux jours simulant une contre-attaque nucléaire contre Washington et Séoul.
La Corée du Nord affirme avoir lancé un missile Hwasong-17, un tir présenté comme une riposte aux exercices militaires «frénétiques» américano-sud-coréens, alors que Séoul et Washington organisent actuellement des exercices militaires conjoints.
Pyongyang a demandé à l'ONU d'agir pour faire cesser les manœuvres militaires conjointes des Etats-Unis et de la Corée du Sud.
La Corée du Nord a effectué quatre tests de missiles de croisière, tirés vers la mer, a annoncé l'agence officielle nord-coréenne KCNA, ajoutant que l'exercice démontrait «la posture de guerre» de la force nucléaire de Pyongyang.
Pour la deuxième fois en 48 heures, la Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques intercontinentaux en représailles aux manœuvres aériennes conjointes entre Séoul et Washington. Les deux engins sont tombés en mer du Japon.
L'agence publique nord-coréenne a confirmé que Pyongyang avait effectué un «exercice surprise» en tirant un missile Hwasong-15 en mer du Japon, et ce, à quelques jours d'exercices militaires américano-sud-coréens qui s'annoncent sous haute tension.
La Corée du Nord a fait savoir qu'elle répondrait avec force aux nouveaux exercices conjoints entre Séoul et Washington. Pyongyang considère ces manœuvres militaires comme des répétitions en vue d'une future invasion.
A l'approche d'une importante parade militaire, l'armée nord-coréenne a déclaré qu'elle allait étendre et intensifier ses exercices militaires en vue de «la préparation à la guerre», selon les médias publics.
La Corée du Nord a accusé les Etats-Unis et la Corée du Sud d'entraîner la péninsule vers une «confrontation totale» après la tenue d'exercices militaires conjoints impliquant des bombardiers lourds au-dessus de la mer Jaune.
La Chine a décidé de suspendre la délivrance de visas court séjour aux voyageurs sud-coréens après l'imposition de restrictions sanitaires par Séoul pour les voyageur en provenance de Chine continentale. Elle les juge «discriminatoires».
La Corée du Sud a accusé Pyongyang d'avoir fait voler «plusieurs» drones à la frontière. Séoul a déployé des hélicoptères de combat ainsi que des avions de chasse, et procédé à des coups de semonce.
«Idiots», «chiens», «larbins» : Kim Yo-jong, la sœur de Kim Jong-un, a violemment critiqué la politique pro-américaine des dirigeants sud-coréens qui s'apprêtent à sanctionner Pyongyang en raison des récents essais de missiles balistiques.
La Corée du Nord a une nouvelle fois promis de réagir très fermement aux exercices conjoints des Etats-Unis et de la Corée du Sud, alors que les tirs de missiles et les déploiements d'avions de combats se sont multipliés ces dernières semaines.
La Corée du Nord a lancé quatre missiles de courte portée vers la mer Jaune, a déclaré l'armée sud-coréenne, après une série record de tirs de missiles par Pyongyang cette semaine. La tension monte encore d'un cran entre les deux pays.
L'armée sud-coréenne a annoncé ce 4 novembre avoir déployé des avions furtifs après avoir détecté la mobilisation de 180 avions de combat nord-coréens, dans l'espace aérien de la Corée du Nord.
Après de nouvelles salves de missiles de Pyongyang, dont l'un est tombé à proximité de la frontière, Séoul a répliqué en effectuant à son tour des tirs. La Corée du Sud a évoqué une invasion de fait et a promis une réponse «sévère».
Un mouvement de foule a semé la panique à Séoul lors des festivités d'Halloween. Les autorités ont fait état d'au moins 153 morts et 134 blessés alors que 2 642 manquent à l'appel. Le président sud-coréen a annoncé l'ouverture d'une enquête.
Un nouveau missile a été tiré par Pyongyang, qui évoque une «contre-mesure» prise en réaction à des tirs d'artillerie de Séoul. La Corée du Sud a elle accusé son voisin d'avoir violé une «zone tampon» par des bombardements.
La Corée du Nord a poursuivi ses tests de lancements de missiles, avec deux nouveaux tirs le 12 octobre, selon les médias nord-coréens. Les tirs, qui ont parcouru 2 000 km au-dessus de la mer Jaune, ont été supervisés par Kim Jong Un.