Lors du congrès du Parti des travailleurs, le chef d'Etat de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a promis de renforcer son «arsenal de guerre nucléaire» et fait savoir que son pays devait construire «l'armée la plus puissante».
Kim Jong-un a estimé que les Etats-Unis étaient «le plus grand ennemi» de la Corée du Nord et que son comportement vis-à-vis de celle-ci ne changerait pas avec Joe Biden. Il a également annoncé un nouveau plan pour se doter d'un sous-marin nucléaire.
Dans la la course présidentielle américaine Joe Biden et Donald Trump se livrent une bataille sans merci. Les deux candidats ont des visions diamètralement opposées du positionnement des Etats-Unis sur l’échiquier mondial.
La Corée du Nord a montré un missile balistique intercontinental géant lors d'un imposant défilé militaire. Le président Kim Jong-un a par ailleurs assuré à la foule qu'aucun cas de Covid-19 n'était recensé dans le pays.
Quelques semaines après la démission de Shinzo Abe, le nouveau Premier ministre vient de prendre les rênes du pays. Ancien bras droit d’Abe, il hérite d’un bon nombre de défis en interne comme à l'international. Comment va-t-il s'en sortir?
Le dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a fait amende honorable après qu'un Sud-Coréen a été tué dans les eaux territoriales du pays, affirme Séoul. Cet épisode intervient alors que les relations entre les deux Corées sont au point mort.
Du fait de méthodes décriées aussi bien dans le domaine nucléaire que sur le plan des droits de l'homme, Pyongyang fait face à une hostilité ouverte sur la scène internationale, qui semble imprégner la couverture médiatique étrangère du pays.
Dans sa tentative de décrédibiliser son adversaire démocrate à la présidentielle, Donald Trump assure que les dirigeants de puissances étrangères rivales des Etats-Unis «rêvent» de Joe Biden à la Maison Blanche.
S'exprimant sur une possible réélection en novembre, le président américain a expliqué vouloir aboutir à la signature d'accords avec Téhéran et Pyongyang. Soulignant ses succès avec la Corée du Nord, il a ajouté vouloir renégocier avec l'Iran.
Lors des cérémonies du 67e anniversaire de l'armistice de Panmunjeon, le leader nord-coréen a défendu l'idée d'un «arsenal nucléaire de dissuasion efficace et sûr», permettant de garantir, selon lui, la «sécurité nationale [...] pour l'éternité».
Pyongyang annonce officiellement son premier cas suspecté de coronavirus et déclenche l'urgence maximale sur son territoire. Le porteur du virus serait un ancien transfuge venu à la nage de la Corée du Sud, et mis en cause dans une affaire de viol.
Mike Pompeo n'a visiblement pas apprécié les propos que lui a prêtés John Bolton dans son livre à charge contre Donald Trump. Dans un communiqué, il qualifie ces allégations de «mensonges» et l'auteur du livre de «traître».
Selon l'agence sud-coréenne Yonhap, une explosion a été entendue et de la fumée observée à Kaesong, ville frontalière nord-coréenne. Selon Séoul, la Corée du Nord aurait détruit le Bureau de liaison inter-coréen qui s'y trouve.
Des tirs en provenance de Corée du Nord ont touché un bâtiment sud-coréen dans la zone démilitarisée, provoquant une riposte graduée. Il s'est agi de tirs accidents, selon Séoul et Washington.
Le dirigeant nord-coréen a effectué sa première apparition en public depuis le 11 avril 2020. Durant presque trois semaines, l'absence de Kim Jong-un a favorisé le développement des rumeurs les plus folles.
Près de deux semaines après sa dernière apparition filmée, la Corée du Sud affirme que Kim Jong-un est vivant et en bonne santé, contredisant ainsi les récentes spéculations sur la mort du dirigeant nord-coréen.
La formation présidentielle a remporté haut la main les élections législatives en Corée du Sud. Un retournement de situation pour Moon Jae-in, désormais loué pour sa gestion de la crise du Covid-19.
Près de 260 millions de chrétiens auraient été persécutés en 2019 en raison de leurs croyances. Un chiffre révélé dans un rapport de l'ONG Portes ouvertes, et qui est en augmentation par rapport à 2018.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a annoncé la fin du moratoire sur les essais nucléaires et de missiles balistiques intercontinentaux et promis une action «sidérante» contre les Etats-Unis. Washington a toutefois réagi avec modération.
Défi pour l’économie mondiale, la guerre commerciale entre Séoul et Tokyo représente aussi une réelle menace pour la sécurité régionale. Où en est-on aujourd’hui, près de trois après le début des tensions ?