SIDERANT

L'ambassadeur saoudien non-résident pour les territoires palestiniens arrivera à Ramallah le 26 septembre pour présenter ses lettres de créance à Mahmoud Abbas. Une arrivée qui s'inscrit dans un contexte de rapprochement israélo-saoudien.
Dans une interview à Fox News, Mohammed ben Salmane est revenu sur la politique saoudienne. Le prince héritier a notamment évoqué le dossier de la normalisation des relations avec l'Etat hébreu et la question du nucléaire à l'échelle régionale.
Les pourparlers de cinq jours à Riyad entre les représentants des Houthis et l'Arabie saoudite ont été qualifiés de «positifs» par les deux parties, bien qu'aucune avancée tangible n'ait été annoncée pour mettre fin à huit ans de guerre au Yémen.
Dans le cadre d'une réunion de l'Unesco, une délégation israélienne de quatre hauts fonctionnaires s'est rendue à Riyad, une première depuis la création de l'Etat hébreu en 1948. Les deux pays entretiennent tout de même des relations officieuses.
Dans cet épisode de l’Échiquier Mondial, Xavier Moreau et son invité Roland Lombardi étudient la politique ambitieuse du prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane.
Le président russe s'est entretenu au téléphone avec Mohamed ben Salmane. Les deux hommes sont notamment revenus sur l'adhésion de l'Arabie saoudite aux BRICS et le choix commun de baisser la production pétrolière.
L'Arabie saoudite et la Russie, deux des trois plus grands pays producteurs d'or noir, ont décidé de réduire une nouvelle fois leur production jusqu'à fin 2023. Riyad opère une coupe d'un million de barils par jour et Moscou de 300 000.
La normalisation des relations entre Israël et l’Arabie saoudite sous l’égide de Washington n’est dans l’intérêt de personne aujourd’hui, soutient Robert Inlakesh. Analyse.
Dans un contexte d’inflation généralisée, le carburant renoue avec le pic de février : le sans-plomb 98 dépasse la barre des 2 euros. Le gouvernement a annoncé son refus de remettre le chèque carburant au goût du jour.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé que l’Argentine, l’Egypte, l’Ethiopie, l’Iran, l’Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis rejoindraient les BRICS le 1er janvier 2024.
En tournée en Arabie saoudite, le chef de la diplomatie iranienne a rencontré Mohammed ben Salmane, le prince héritier du royaume. Les deux dirigeants ont évoqué le développement des relations bilatérales et l'importance de l'unité du monde musulman.
Hossein Amir Abdollahian, le chef de la diplomatie iranienne, est en déplacement à Riyad pour sanctuariser la normalisation entre les deux pays. L'Arabie saoudite et l'Iran veulent renforcer leurs relations sécuritaires, économiques et commerciales.
Suite à la réunion les 5 et 6 août en Arabie Saoudite d'un sommet dédié au conflit en Ukraine, la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova a dénoncé les propositions ukrainiennes et rappelé les principes préalables à tout accord de paix.
En visite dans le Golfe, Recep Tayyip Erdogan a signé avec l'Arabie saoudite un contrat pour la vente de plusieurs drones Akinci. La Turquie a déjà vendu ses avions sans pilote au Koweït, au Qatar et aux Emirats arabes unis.
En difficulté sur le plan économique, Erdogan se rend en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis ainsi qu'au Qatar et compte sur leurs investissements massifs. Cette tournée est également l'occasion de tourner la page des tensions avec le Golfe.
Riyad prolongera sa réduction de production de pétrole d'un million de barils et Moscou réduira ses exportations de 500 000 barils par jour au mois d'août. Cette énième coupe vise à augmenter les prix de l'or noir, actuellement en berne.
Le chef de la diplomatie israélienne espère une normalisation avec l'Arabie saoudite d'ici mars 2024. Pour Riyad, un accord avec l'Etat hébreu est conditionné au règlement du problème palestinien et à l'obtention d'une industrie nucléaire civile.
Abou Dabi et Doha ont officiellement annoncé la réouverture de leurs ambassades respectives, enterrant de fait une brouille de six ans. Les deux pays du Golfe étaient opposés sur la majorité des dossiers régionaux.
Près de 3 milliards de dollars d'armes israéliennes ont été vendues aux pays arabes, soit un quart du total des ventes. Le Maroc et les Emirats arabes unis sont notamment intéressés par l'industrie de défense de l'Etat hébreu.
D'après le Washington Post, le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane aurait menacé les Etats-Unis d'une crise économique en raison des brouilles sur les questions pétrolières. L'alliance entre les deux pays semble s'effriter.