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Riyad s'associe à l'Organisation de coopération de Shanghai avec le statut d'observateur. Cette instance régionale dont font partie Moscou et Pékin vise à renforcer les partenariats économiques, politiques et militaires entre les pays membres.
Peines de mort en Arabie saoudite, emprisonnements en Egypte, exactions israéliennes ou encore conflit en Ethiopie, l'ONG Amnesty international regrette le «deux poids, deux mesures» de l'Occident comparé à son activisme en Ukraine.
Le roi Salmane d'Arabie saoudite a invité le président iranien Ebrahim Raïssi suite à un accord rétablissant d'ici deux mois les relations diplomatiques entre les deux pays, après des pourparlers en Chine.
Cherchant à devenir un «hub» international, le Royaume saoudien annonce la création de Riyadh Air qui vise la desserte de 100 destinations dans le monde d’ici 2030. Selon le communiqué officiel, elle sera dotée d’une «flotte d'avions de pointe».
A l'issue de pourparlers en Chine, l'Iran et l'Arabie saoudite ont annoncé le rétablissement de leurs relations diplomatiques après plus de sept ans de rupture. Les deux pays restent toutefois en désaccord sur plusieurs dossiers régionaux.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue saoudien, Faisal bin Farhan Al Saud, tiennent une conférence de presse à l'issue de leurs pourparlers. Ils devraient évoquer la coopération entre les deux pays.
Bachar el-Assad a été reçu en grande pompe par le sultan Haïtham ben Tariq. Fidèle à sa politique non-interventionniste, Oman n’a jamais cessé, même au cœur du conflit qui a ravagé la Syrie, de militer pour un retour de Damas dans le giron arabe.
Invoquant la «dignité» et «l'espoir» des Palestiniens, le chef de la diplomatie saoudienne a écarté toute officialisation des relations avec Tel Aviv tant que ceux-ci ne disposeraient pas de leur propre Etat.
Au forum économique mondial de Davos, le ministre saoudien des Finances a fait savoir que son pays était prêt à dédollariser une partie de ses échanges commerciaux. Les discussions avaient notamment avancé sur ce sujet avec la Chine.
Au cours d'une conférence de presse à Beyrouth, le chef de la diplomatie iranienne a fait savoir que Téhéran voulait maintenir le dialogue avec Riyad en vue d'une normalisation. Les deux pays n'ont plus de relations officielles depuis 2016.
Des milliers de partisans des Houthis se sont rassemblés à Sanaa le 6 janvier pour exprimer leur opposition aux sanctions américano-saoudiennes et émiraties contre les responsables houthis. Des drapeaux israéliens et américains ont été brûlés.
L'année écoulée, le prince héritier saoudien a été tour à tour conspué, sermonné et mis au ban par les Occidentaux puis courtisé à l'aune des difficultés énergétiques. MBS a su réinvestir l'échiquier mondial en jouant des différentes alliances.
La récente visite du président chinois Xi Jinping en Arabie saoudite est un signe : réaliste, l'empire du Milieu s'immisce là où l'Occident recule, car trop obsédé par le conflit ukrainien. Une analyse de Roland Lombardi.
Le président chinois est en tournée à Riyad du 7 au 9 décembre. Suivant une logique «win-win» («gagnant-gagnant»), Pékin fidélise son principal pourvoyeur d’hydrocarbures et le Golfe diversifie ses alliances en se détachant de Washington.
En raison d'une immunité judiciaire, la plainte d'un juge américain contre le prince héritier d'Arabie saoudite a été classée sans suite. Mohammed ben Salmane est pourtant accusé d'avoir orchestré l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi.
Les pays producteurs de pétrole de l'Opep+ ont maintenu ce 4 décembre leur quotas de production dans un climat très incertain, à la veille de l'entrée en vigueur de nouvelles sanctions visant le brut russe.
Alors que le Liban est sans président depuis le 31 octobre, les partis politiques nationaux n'arrivent pas à se mettre d'accord sur un candidat, les aspirants à la magistrature suprême devant se plier à certaines exigences locales et régionales.
L'Iran hausse le ton contre l'Arabie saoudite, accusée de mener des actions déstabilisatrices depuis le début des manifestations dans le pays. Téhéran pointe notamment du doigt l'ingérence du média Iran International, qui serait financé par Riyad.
John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, affirme que des manifestants en Iran ont saisi des armes aux Bassidji et en reçoivent depuis le Kurdistan irakien. Cette région autonome est alliée des Etats-Unis et d'Israël.
Le G7 demande aux pays producteurs de pétrole d'augmenter leur production pour faire baisser les prix et empêcher ainsi les gains économiques de la Russie. Le groupe entend également plafonner le prix des hydrocarbures russes.