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L'Insoumis Jean-Luc Mélenchon entretient «une stratégie de déstabilisation de notre société» en multipliant «les affrontements», a accusé sur Radio J le patron du MoDem, plaidant pour «l'ordre» face à «ceux qui voudraient obtenir le chaos».
«La première consigne, c'est que chacun et chacune garde son sang-froid mais ne se laisse intimider d'aucune façon», a lancé Jean-Luc Mélenchon à Marseille, dénonçant un président jouant «la stratégie de la paralysie, de la provocation et du chaos».
Lors d'un meeting à Montpellier, Jean Luc Mélenchon a averti que la France insoumise «ne baissera pas le ton» et continuera son opposition contre la réforme des retraites. Il a également mis en garde les députés de la Nupes.
Le chef de file des insoumis a mis en garde contre la possibilité pour la France de livrer à l'Ukraine des chars et des avions de combat. Il appelle pour sa part à multiplier les efforts afin de permettre un retour au dialogue avec la Russie.
Interrogé sur l'affaire Quatennens après deux heures de débat sur la réforme des retraites, Mélenchon s'est insurgé contre ce qu'il a qualifié de «plaisir malsain à voir souffrir un jeune député». L'Insoumis a ensuite quitté le plateau de BFM TV.
La proposition de loi portée par les socialistes pour lutter contre la précarité étudiante n'a pas été adoptée, la majorité et les Républicains ayant battu le rappel de leurs troupes pour contrer l'addition des voix de la gauche et du RN.
Les comptes de campagne des candidats présidentiels ont été approuvés par la commission nationale, mais certains ont reçu des sanctions. Notamment Emmanuel Macron pour utilisation du compte de l'Elysée et Eric Zemmour pour son émission sur CNews.
A l'appel de plusieurs organisations syndicales, une marche aux flambeaux s'est tenue dans la soirée du 26 janvier à Paris pour s'opposer à la réforme des retraites voulue par le gouvernement. Jean-Luc Mélenchon était présent dans le cortège.
Le chef de file de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a été relaxé après une plainte en diffamation déposée à son encontre par l'ancien premier président de la Cour des comptes François Logerot.
Lors de la manifestation du 21 janvier, le leader des Insoumis s'en est pris au chef de l'Etat, qu'il a accusé de vouloir réduire le temps libre dont disposent les Français à l'issue de leur carrière au profit du règne de la marchandise.
Opposés au second tour pour prendre la tête du parti, Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol ont revendiqué tour à tour la victoire en s'accusant réciproquement d'irrégularités, voire de violences à l'encontre de militants lors du vote.
A la veille des mobilisations contre la réforme du gouvernement, le leader de LFI a préconisé l'instauration d'une taxe sur les plus fortunés du pays, dont les richesses n'ont cessé de croître selon un rapport d'Oxfam qu'il a mis en avant.
Alors qu'il s'exprimait sur la situation au Brésil, le secrétaire général de Renaissance a pointé du doigt LFI qui, selon lui, a eu «des tentations de remettre en cause la légitimité des élus». Une sortie qui a provoqué l'ire de Jean-Luc Mélenchon.
Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, en visite à l'hôpital de Cayenne, a dénoncé les «bavardages inutiles et méprisants pour les gens» d'Emmanuel Macron qui a dévoilé son plan face à la crise du système de santé.
Des militants de La France insoumise et de la Nupes ont signé une tribune dans Le Monde demandant l'exclusion définitive d'Adrien Quatennens. Condamné à quatre mois de sursis pour violences conjugales, le député du Nord avait refusé de démissionner.
Manifestement sceptique sur la version dépeignant un criminel raciste isolé dans l'attaque contre les Kurdes à Paris, le chef des insoumis dit ne pas croire au «hasard» et réclame une saisine du parquet antiterroriste.
Plusieurs figures du mouvement ont critiqué le manque de démocratie interne après la présentation d'une nouvelle «coordination» chapeautée par Manuel Bompard. Sans nier les désaccords, ce dernier appelle à laver son linge sale en famille.
L'idée que le RN puisse reprendre une proposition des Insoumis sur la réintégration du personnel médical non vacciné déchaîne la gauche. La Nupes précise qu'il n'y a «pas d'accord» et Jean Luc Mélenchon annonce retirer le «texte usurpé par le RN».
Plusieurs figures de la coalition de gauche ont jugé impossible le retour de Quatennens dans l'hémicycle après les déclarations de son épouse mettant en cause «des violences physiques et morales» sur plusieurs années. LFI en appelle à la justice.
Alors que les projets de motion de censure se multiplient au sein d'un hémicycle houleux, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot estime que son parti doit arrêter de voter les motions proposées par la NUPES, et tacle au passage Jean-Luc Mélenchon.