BRAS DE FER

L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy s'est exprimé le 23 août sur TF1. Il a suscité un tollé à gauche en dénonçant un «procès systématique en extrême droite».
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé qu'il voulait dissoudre le parti politique Civitas. Cette procédure, régulièrement mise en œuvre depuis six ans, fait suite à des propos controversés d’un intervenant lors d’une université d’été.
En assimilant le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) à «l’extrême droite», Jean-Luc Mélenchon s’est attiré de vives critiques de la gauche comme de la droite.
Le gouvernement d’Elisabeth Borne a été visé par une 17e motion de censure ce 12 juin. La France insoumise, à l’origine de ce vote de défiance, n’est pas parvenue à rassembler les 289 voix nécessaires pour le faire tomber.
La terrible attaque au couteau qui a eu lieu ce 8 juin dans la matinée à Annecy a suscité de vives réactions des personnalités politiques françaises. Le drame a rapidement laissé la place aux invectives.
Alors que Jean-Luc Mélenchon évoquait une possible fracture au sein de la Nupes, Olivier Faure croit encore en cette union des gauches. La France insoumise met notamment en doute la cohésion du groupe à l'approche des élections européennes.
Alors que le ministre des armées Sébastien Lecornu présentait ce 22 mai son projet de loi de programmation militaire, La France insoumise a publié en début d’après-midi un contre-projet résolument protecteur des entreprises stratégiques.
L'Insoumis Jean-Luc Mélenchon entretient «une stratégie de déstabilisation de notre société» en multipliant «les affrontements», a accusé sur Radio J le patron du MoDem, plaidant pour «l'ordre» face à «ceux qui voudraient obtenir le chaos».
«La première consigne, c'est que chacun et chacune garde son sang-froid mais ne se laisse intimider d'aucune façon», a lancé Jean-Luc Mélenchon à Marseille, dénonçant un président jouant «la stratégie de la paralysie, de la provocation et du chaos».
Lors d'un meeting à Montpellier, Jean Luc Mélenchon a averti que la France insoumise «ne baissera pas le ton» et continuera son opposition contre la réforme des retraites. Il a également mis en garde les députés de la Nupes.
Le chef de file des insoumis a mis en garde contre la possibilité pour la France de livrer à l'Ukraine des chars et des avions de combat. Il appelle pour sa part à multiplier les efforts afin de permettre un retour au dialogue avec la Russie.
Interrogé sur l'affaire Quatennens après deux heures de débat sur la réforme des retraites, Mélenchon s'est insurgé contre ce qu'il a qualifié de «plaisir malsain à voir souffrir un jeune député». L'Insoumis a ensuite quitté le plateau de BFM TV.
La proposition de loi portée par les socialistes pour lutter contre la précarité étudiante n'a pas été adoptée, la majorité et les Républicains ayant battu le rappel de leurs troupes pour contrer l'addition des voix de la gauche et du RN.
Les comptes de campagne des candidats présidentiels ont été approuvés par la commission nationale, mais certains ont reçu des sanctions. Notamment Emmanuel Macron pour utilisation du compte de l'Elysée et Eric Zemmour pour son émission sur CNews.
A l'appel de plusieurs organisations syndicales, une marche aux flambeaux s'est tenue dans la soirée du 26 janvier à Paris pour s'opposer à la réforme des retraites voulue par le gouvernement. Jean-Luc Mélenchon était présent dans le cortège.
Le chef de file de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a été relaxé après une plainte en diffamation déposée à son encontre par l'ancien premier président de la Cour des comptes François Logerot.
Lors de la manifestation du 21 janvier, le leader des Insoumis s'en est pris au chef de l'Etat, qu'il a accusé de vouloir réduire le temps libre dont disposent les Français à l'issue de leur carrière au profit du règne de la marchandise.
Opposés au second tour pour prendre la tête du parti, Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol ont revendiqué tour à tour la victoire en s'accusant réciproquement d'irrégularités, voire de violences à l'encontre de militants lors du vote.
A la veille des mobilisations contre la réforme du gouvernement, le leader de LFI a préconisé l'instauration d'une taxe sur les plus fortunés du pays, dont les richesses n'ont cessé de croître selon un rapport d'Oxfam qu'il a mis en avant.
Alors qu'il s'exprimait sur la situation au Brésil, le secrétaire général de Renaissance a pointé du doigt LFI qui, selon lui, a eu «des tentations de remettre en cause la légitimité des élus». Une sortie qui a provoqué l'ire de Jean-Luc Mélenchon.