SIDERANT

La Russie a adopté début septembre une loi introduisant, dans certaines régions, un régime juridique expérimental de finance islamique.
Une journaliste d'investigation russe travaillant pour le journal indépendant Novaïa Gazeta a été hospitalisée après avoir été passée à tabac en Tchétchénie.
Ce 28 juin, à l'occasion du premier jour de l'Aïd el-Kebir, le président russe a adressé ses vœux aux musulmans de la Fédération de Russie, en particulier à ceux au front, saluant le «sens moral et spirituel profond» de cette fête.
Maria Zakharova, la porte-parole de la diplomatie russe, a fait savoir que le Vatican s'était excusé de ses propos sur les minorités russes. Le pape avait notamment accusé les Tchétchènes et les Bouriates d'être «les plus cruels» en Ukraine.
Le dirigeant tchétchène a réagi aux déclarations de François sur la «cruauté» des Tchétchènes. Selon Ramzan Kadyrov, ce sont les préceptes de l'islam qui guident les engagés en Ukraine, combattant avec «honneur» et dans le «respect» de l'ennemi.
La Russie a exprimé son «indignation» après des propos du pape François sur le rôle présumé de minorités ethniques russes dans le conflit en Ukraine.
Dans une vidéo de la Garde nationale d'Ukraine, des membres du bataillon Azov – une milice néo-nazie intégrée aux forces ukrainiennes – trempent des balles dans du porc à l'attention des combattants qui pourraient être déployés par la Tchétchénie.
Le chef de la République russe de Tchétchénie a affirmé que ces hommes étaient «des volontaires qui sont prêts à partir pour n'importe quelle opération spéciale à tout moment». Ils ne seront toutefois envoyés en Ukraine qu'avec l'aval de Moscou.
L'Allemagne a annoncé l'expulsion de deux diplomates russes, après que le tribunal de Berlin a mis en cause les autorités russes dans le meurtre d'un Géorgien issu de la minorité tchétchène. La Russie voit dans ces décisions des actes politiques.
Dans un entretien, le père d'Abdoullakh Anzorov – le terroriste islamiste ayant décapité Samuel Paty – glorifie l'acte de son fils. Il estime que ce dernier a «défendu l’honneur de tous les Tchétchènes et de tous les musulmans du monde».
Une enquête pour apologie du terrorisme a été lancée après qu'un mineur tchétchène a pris pour cible la jeune Mila : Le Point révèle que le suspect est placé sous contrôle judiciaire, l'équivalent d'un «pass terrorisme» pour cette dernière.
Alors que le parquet national antiterroriste (Pnat) a ouvert une enquête préliminaire, quatre personnes «d'origine tchétchène» ont été interpellées ce 26 mai en Alsace. Agés de 16 à 18 ans, ces jeunes sont soupçonnés d'avoir préparé un attentat.
La Cour de cassation doit rendre sa décision sur l'invalidation par la Cour nationale du droit d’asile du retrait du statut de «réfugié» par l'Ofpra à un Russe multirécidiviste, entre autres condamné pour apologie publique d'un acte de terrorisme.
La porte-parole de la diplomatie russe a qualifié les nouvelles sanctions introduites par le Royaume-Uni de «sans fondement» et «politiquement biaisées», tout en affirmant que la Russie se réservait «le droit de décider d’une réponse adéquate».
Si Emmanuel Macron a bénéficié de nombreux soutiens en Europe pour sa défense du droit à la caricature après la décapitation de Samuel Paty par un terroriste islamiste, certains ne décolèrent pas, tel le mufti de Tchétchénie ou encore Ramzan Kadyrov.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin doit rencontrer son homologue russe, Vladimir Kolokoltsev à Moscou. Une étape pour «se débarrasser d'un certain nombre de fichés S venant de Russie», estime Pierre Conesa interrogé par RT France.
Si le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov condamne l'acte terroriste, il a exhorté la France «à ne pas provoquer les musulmans». La Russie affirme pour sa part que l'assaillant n'avait plus de liens avec le pays depuis 2008.
Réagissant à l'interpellation d'individus d'origine tchétchène soupçonnés d'avoir voulu venger une agression à Saint-Dizier, le ministre de l'Intérieur a estimé que le fait de bénéficier de l'asile en France n'autorisait pas à «mettre le bordel».
Washington a annoncé de nouvelles sanctions contre le dirigeant tchétchène, accusé de «violations grossières» des droits humains, ainsi que les membres de sa famille. Ramzan Kadyrov a répondu à sa manière, sur les réseaux sociaux.
Le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, s'est exprimé à propos des heurts survenus à Dijon et impliquant la communauté venue de la République russe. Il a démenti des troubles intercommunautaires et critiqué l'action des «autorités locales».