Le gouvernement français a examiné un projet de loi officialisant la restitution d'un sabre historique au Sénégal, et de 26 objets du patrimoine au Bénin, saisis pendant la colonisation.
La zone euro n’est pas seule à faire l'objet d'une controverse sur sa politique financière. Avant même que l'eco ne devienne une réalité, partisans et opposants d’une annulation de la dette africaine s’opposent au sein de la CEDEAO.
Interrogé par la commission de la culture du Sénat, l'ancien président du Musée du Quai Branly-Jacques Chirac, Stéphane Martin, a critiqué les conclusions du rapport Savoy-Sarr demandé par Emmanuel Macron, avant d'indiquer ses propres préconisations.
L'agence française de développement médias (CFI), est sous le feu des critiques après avoir, dans une lettre adressée au ministre béninois de la Justice, reproché à un journaliste d’avoir manqué de «déontologie» en relayant les propos d’un magistrat.
Le ministre de la Culture, Franck Riester, a annoncé que la France restituerait 26 œuvres d’art spoliées au Bénin lors de la colonisation française. Ce projet est néanmoins conditionné au vote d’une nouvelle loi sur le patrimoine.
Le gouvernement béninois ordonne à l'ambassadeur de la mission de l'Union européenne, Oliver Nette, de quitter le pays d'ici décembre. Il estime que ce diplomate «s'intègre beaucoup trop dans les affaires intérieures». L'UE demande des explications.
Au cours de ces dernières années, les pays ouest-africains ont, pour la plupart, enregistré un taux de croissance économique dépassant la barre des 5%. Pour autant son impact réel sur la réduction des inégalités sociales reste faible.
Selon les révélations de Georges Malbrunot, le président américain aurait alerté son homologue français dans la nuit du 9 au 10 mai, et aurait ainsi déclenché l'opération décidée par Paris... sans préciser qu'une otage appartenait à la CIA.
Où en est la lutte contre le djihadisme dans la ceinture sahélienne ? Le géopolitologue Alexandre Del Valle dresse un portrait inquiétant de la région et des effets mitigés qu'y ont eu les différentes missions françaises.
Emmanuel Macron a présidé l'hommage aux deux soldats d'élite tués au Burkina Faso à l'hôtel des Invalides à Paris. Les deux commandos de marine reçoivent à titre posthume le titre de Chevaliers de la Légion d'Honneur des mains du chef d'Etat.
Une enquête a été confiée à la DGSI, ainsi qu'à la Sous-direction antiterroriste, après l'enlèvement et la séquestration de deux Français au Bénin, libérés lors d'une opération ayant coûté la vie à deux membres des forces spéciales françaises.
Jean-Yves Le Drian a estimé que la mort de deux soldats au Burkina Faso aurait pu être évitée si les touristes français enlevés au Bénin ne s'étaient pas rendus dans une zone «considérée depuis pas mal de temps comme une zone rouge». Qu'en est-il ?
L’activiste panafricaniste Kemi Séba a été expulsé de Côte d’Ivoire le 26 mars. Pourfendeur du franc CFA et critique de longue date du président ivoirien, le militant devait tenir une conférence «contre le néocolonialisme» à Abidjan.
D'après RFI, le Mouvement 5 Etoiles a confirmé avoir reçu l'activiste anti-franc CFA en septembre 2018. Kémi Séba affirme pour sa part avoir joué un rôle décisif dans la formulation des critiques du gouvernement italien à l'encontre de la France.
A la suite d'une attaque de pirates au large de Cotonou, le principal port du Bénin, six marins russes ont été enlevés. Des diplomates s'emploient à les libérer, mais aucune demande n'a pour l'instant été formulée par les assaillants.
KillASon, rappeur, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Le président français a décidé de faire un geste symbolique à l'égard du Bénin. Le pays exigeait que la France lui restitue des œuvres culturelles, prises durant la colonisation. Emmanuel Macron a accepté la demande béninoise.
L’activiste panafricaniste Kémi Séba a été interdit d’entrée sur le territoire togolais, où il avait prévu d'animer un meeting organisé par un collectif d’artistes opposé au président du pays, Faure Gnassingbé.
Le polémiste Kémi Séba a confié que l'ancien footballeur Nicolas Anelka, des joueurs encore en activité comme Demba Ba, ainsi que des artistes participaient au financement de son association Urgences panafricanistes, qui lutte contre le franc CFA.