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Samantha Ramsamy reçoit le journaliste d’investigation et géopoliticien Patrick Mbeko pour débriefer le documentaire "Congo : la malédiction du Coltan" et apporter son éclairage sur les enjeux et les conflits dans cette région du monde.
A l’approche de l’élection présidentielle au Venezuela, les tensions politiques sont vives dans le pays. Pendant ce temps, l’économie est dans un triste état et la pression internationale ne contribue pas à alléger la crise.
Forcés de travailler dans les mines, les Congolais bénéficient peu des richesses naturelles que possède leur pays. RTDoc part en quête de témoignages pour mieux comprendre ce pays dans une perspective à la fois intime et historique.
Le cyclisme est le seul moyen de survivre pour une partie de la jeunesse de Goma, ville congolaise menacée par un volcan et minée par la criminalité. RT mène l'enquête sur les espoirs de ces jeunes sportifs.
Dominique Strauss-Kahn, ancien président du Fonds monétaire international, conseillerait le président de la République du Congo depuis plusieurs semaines, via sa société de conseil établie au Maroc.
S'en prenant une nouvelle fois au président du Venezuela en l'espace de quelques jours, Manuel Valls s'est encore frotté à la réponse cinglante des internautes, qui lui ont rappelé ses contacts passés avec des chefs d'Etat ne faisant pas l'unanimité.
Emmanuel Macron a annoncé le 28 mai, en la saluant, la libération d'un Français qui avait été enlevé début mars dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC)
Le virus Ebola est de retour en République démocratique du Congo (RDC). Trois personnes sur les 19 cas suspects déjà recensés par l'Organisation mondiale de la Santé ont perdu la vie. La RDC a déjà fait face à sept épidémies d'Ebola par le passé.
Cinq personnes, dont un Français, ont été kidnappées à la mine d’or congolaise de Namoya, dans l’est de la République démocratique du Congo. D'après un responsable de l'entreprise Banro, un groupe armé inconnu est à l'origine de cette attaque.
Une vidéo diffusée sur internet montre des membres présumés de l'armée congolaise en train d'exécuter des civils désarmés dans la région du Kasaï traversée par un mouvement de rébellion. Paris dénonce des «agissements inacceptables».
Au moins 50 personnes ont été tuées dans le sud de la République Démocratique du Congo (RDC) dans des inondations provoquées par des pluies torrentielles et le débordement d'une rivière la nuit a appris l'AFP le jeudi 29 décembre.
Compte tenu de l'augmentation des tensions politiques en République démocratique du Congo, les autorités belges ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays mais n'ont pas obtenu l'autorisation d'y dépêcher un avion pour les évacuer.
La proposition d'un députée belge d'adapter les cours d'histoire en fonction de l'origine des élèves a créé un tollé sur Twitter. Elle s'est depuis rétractée, même si la ministre de l'Enseignement semblait ouverte à l'idée.
Des violences éclatent entre manifestants et forces de l'ordre alors que le gouvernement vient d'annoncer le report des élections. Selon la constitution, le président sortant Joseph Kabila est obligé de quitter ses fonctions à la fin de l'année.
Déjà condamné en juin 2016 par la Cour pénale internationale à 18 années de prison, Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable de subornation de témoins afin d'obtenir son acquittement dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
Un responsable de la société civile locale a fait savoir qu'au moins dix personnes avaient été tuées dans la nuit du 9 au 10 octobre dans des affrontements entre l'armée congolaise et des présumés rebelles ougandais à Beni, dans l'est de la RD Congo.
Pour rester au pouvoir malgré des manifestations de masse en République démocratique du Congo, le président Joseph Kabila utilise son dernier atout : se dire seul garant de la sûreté du pays, explique le spécialiste de l'Afrique Bernard Lugan.
Alors que la capitale de la République démocratique du Congo est le théâtre de violentes émeutes contre le président, les Etats-Unis ne semblent pas tenir beaucoup au maintien au pouvoir de Joseph Kabila, qu'ils poussent vers la sortie.
Les violences qui opposent la police aux manifestants à Kinshasa ont fait au moins 17 morts dont trois policiers. L'un des fonctionnaires de police a même été brûlé vif. Le président en exercice Joseph Kabila est de plus en plus contesté.
L’explosion de la violence au Gabon suite aux résultats de l’élection présidentielle remportée par le président sortant sont en grande partie la conséquence de la politique irréfléchie des gouvernements français, selon le député européen Louis Aliot.