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Lors du sommet de l'OTAN, le président des Etats-Unis a été interrogé sur les prix élevés du carburant aux Etats-Unis et dans le monde entier. Cela durera, selon lui, tant que les Etats-Unis n’auront pas atteint leur but en Ukraine.
Le projet des dirigeants du G7 de plafonner les prix du pétrole russe pourrait provoquer une flambée des prix selon le ministre russe de l’Energie. Une analyse partagée par des experts indépendants qui évoquent une «recette pour un désastre».
En dépit des apparences que ses dirigeants ont tenté de donner, le G7 s'est révélé plus faible que jamais, victime de ses propres mesures contre la Russie qu'il ne parvient pas à isoler et désarmé face à l'émergence des BRICS.
Le président vénézuélien souhaite que les acteurs économiques de l'Hexagone réinvestissent dans son pays, alors que la France, confrontée à la crise énergétique, cherche à diversifier ses approvisionnements.
Jusque dans le camp démocrate, le projet de visite du président américain en Arabie saoudite est déploré. Il n’aurait aucun des effets attendus sur les cours du pétrole responsables de l’inflation, à quelques mois des élections de mi-mandat.
La hausse des prix de l’énergie, provoquée par la reprise de l’activité économique au sortir des mesures de confinement, puis par les sanctions occidentales contre la Russie, a provoqué un effondrement de la balance commerciale française.
Les prix des carburants ont une nouvelle fois dépassé la barre symbolique des deux euros la semaine dernière. Ces prix élevés risquent de perdurer au regard de la nouvelle poussée des prix du baril après l'embargo européen sur l'or noir russe.
Le vice-Premier ministre russe chargé de l'Energie Alexandre Novak a estimé que les Européens seraient les premiers à être affectés par les sanctions antirusses, et notamment par l'embargo décidé par l'Union européenne pour des raisons «politiques».
Les pays producteurs de pétrole ont décidé ce 2 juin d'un accroissement des volumes d'or noir pour l'été 2022, espérant stabiliser des marchés toujours orientés à la hausse sur fond de conflit en Ukraine et d'embargo européen sur le pétrole russe.
Le groupe des pays exportateurs de pétrole a préservé ses rapports avec la Russie en refusant d'augmenter largement sa production de pétrole pour faire face à la montée des prix et au possible embargo sur le pétrole russe que pourrait décider l'UE.
Les cours du baril de brut se sont envolés sous l'effet de la présentation d'un projet d'embargo de l'Union européenne sur les importations russes. Un facteur qui s’ajoute à la faiblesse des réserves américaines de produits pétroliers.
A l'initiative des transporteurs routiers, des manifestations violentes ont eu lieu contre l'augmentation des prix du carburant, conduisant le gouvernement de gauche de Pedro Castillo à décréter un couvre-feu dans plusieurs villes, dont la capitale.
Moscou a annoncé que le CPC, canal majeur pour l'approvisionnement mondial en pétrole avait été endommagé par une tempête en Mer Noire. Il est détenu majoritairement par des sociétés russes, kazakhes et américaines.
Ce 23 mars, le prix du baril de pétrole est repassé au-dessus de la barre des 120 dollars, après une brève accalmie. Cette hausse intervient alors que les pays occidentaux envisagent d'instaurer un embargo sur l'achat du pétrole russe.
Alors que les ministres des Affaires étrangères et de la Défense de l'UE sont à Bruxelles pour examiner de nouvelles sanctions contre la Russie, le Kremlin a estimé qu'un potentiel embargo européen sur le pétrole russe frapperait «tout le monde».
Plusieurs voix écologistes, comme Sandrine Rousseau ou Réseau action climat, appellent les Français à limiter leur consommation d'énergie pour faire face à la flambée des prix, notamment en baissant le chauffage ou leur vitesse sur l'autoroute.
L'UE envisage de suivre la position des Etats-Unis qui souhaitent imposer un embargo sur le gaz et le pétrole russes, tout en restant «unie» sur la question. L'Allemagne avait annoncé ne pas pouvoir se passer des importations d'énergie fossile russe.
Le vice-Premier ministre russe Alexandre Novak a averti le 7 mars sur les «conséquences catastrophiques» que provoquerait un embargo occidental sur les hydrocarbures russes. Selon lui, l'or noir pourrait ainsi atteindre les 300 dollars.
La rumeur d’un embargo occidental sur le pétrole russe a provoqué une nouvelle hausse des prix de l'or noir et une chute des marchés boursiers mondiaux. Dans le sillage du pétrole et du gaz, les cours des métaux s’envolent.
Alors qu'un embargo sur le secteur énergétique russe est envisagé par l'Occident, le ministre de l'Economie a estimé que la population pourrait être amenée à réduire sa consommation, pour compenser un choc majeur sur les prix.