L'entreprise énergétique a vu son bénéfice net ajusté chuter de 66% l'année dernière à cause de la pandémie de Covid-19 «qui a fortement affecté la demande mondiale», et de la crise du pétrole, a expliqué son PDG Patrick Pouyanné le 9 février.
Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés se sont mis d'accord sur une augmentation de leur production de 500 000 barils par jour en janvier, contre près de 2 millions initialement prévus.
Un homme a été tué lors d'une manifestation contre la pénurie d'essence dans une ville de l'est du Venezuela, qui a donné lieu à de violents affrontements avec l'armée, a annoncé 26 juillet le procureur général.
Alors que 70% de sa population est étrangère, le Koweït entend réduire la part de sa main-d'œuvre venue d'ailleurs. L'objectif étant de pallier la chute des revenus du pétrole due à la pandémie de Covid-19.
Alors que les signaux économiques sont au rouge en Algérie, le président a procédé à un remaniement ministériel partiel qui concerne particulièrement les secteurs clés de la finance et de l'énergie.
Confrontés à une demande déprimée par la pandémie du Covid-19, les pays de l'Opep et leurs alliés ont acté le prolongement en juillet de la réduction historique de production à laquelle ils s'astreignent depuis le 1er mai.
L'Opep et ses partenaires, dont la Russie, se retrouvent ce 6 juin afin de donner suite à leur accord de réduction de la production de pétrole, censée aider un marché déprimé par la pandémie.
Coronavirus, écroulement du prix du pétrole, guerre au Yémen : face à l'une des pires conjonctures économiques de son histoire, le royaume saoudien annonce un triplement de la TVA et la fin des allocations mensuelles à ses citoyens.
Le président russe estime que la stabilisation du marché mondial de l’énergie passe par des «efforts conjoints […] comme le récent accord OPEP +». Vladimir Poutine s'est aussi dit préoccupé par la résistance du secteur énergétique russe.
Des prix du pétrole négatifs, l’incroyable s’est produit avec la chute jusqu’à -37 dollars du baril de brut américain. Comment en est-on arrivé là ? Peut-on l’expliquer par la crise du coronavirus ? Le secteur pétrolier peut-il s’en relever ?
Avec la chute des cours du pétrole, les prix à la pompe reculent en France, mais dans une moindre mesure, à cause du poids des taxes. Les écologistes eux, craignent un retour en force de la voiture pour les transports individuels.
En raison de l'effondrement de la demande, le baril de pétrole coté pour une livraison en mai a terminé pour la première fois sous la barre des zéro dollar à la bourse de New York, le 20 avril. Mais dès le lendemain, le cours du baril a rebondi.
A la fin d'une séance infernale, le baril de pétrole coté à New York pour livraison en mai a terminé pour la première fois sous les zéro dollar, les investisseurs et spéculateurs étant prêts à payer pour s'en débarrasser faute de stockage.
L’accord de réduction de la production de pétrole de la fin de semaine n’a pas relancé les cours du brut. Avec ses coûts de production élevés l’industrie américaine de pétrole et du gaz de schiste est aujourd’hui en faillite.
Cette semaine dans C'est Cash, Olivier Delamarche et Estelle Farge reviennent sur une des principales conséquences économiques de la pandémie du Covid-19 : la crise du secteur pétrolier.
Les pays producteurs de pétrole ont conclu un accord sur une baisse mondiale historique de la production, de près de 10 millions de barils par jour, qui devrait entrer en vigueur le 1er mai. Conséquence de la crise du Covid-19, la demande a chuté.
L'Arabie saoudite organise une conférence exceptionnelle des pays producteurs de pétrole pour tenter d'enrayer la crise du marché énergétique, sur fond d'épidémie. Un accord entre Moscou et Riyad sur une réduction de la production est en vue.
Les Etats-Unis semblent envisager la levée de sanctions contre le groupe pétrolier russe. Ce revirement coïncide avec les tentatives du président américain d’enrayer l’effondrement des cours du brut, mortel pour l’industrie pétrolière américaine.
Les présidents russe et américain ont évoqué la chute des cours du brut lors d’une conversation téléphonique. Ils estiment que l’effondrement des cours n’est pas dans leur intérêt et ils ont chargé leurs ministres d’entamer des négociations.
Sourde aux appels de la diplomatie américaine à «rassurer les marchés énergétiques et financiers», l’Arabie saoudite a confirmé son intention d’augmenter sa production de pétrole brut. Des sénateurs américains parlent de «guerre économique».