RIPOSTE

La Russie, par la voix de son ministère de la Défense, a annoncé la livraison gratuite d'armes au Gabon dans le but de contribuer à la lutte contre contre les braconniers et à la préservation des éléphants du pays.
Une tentative de coup d'Etat a été avortée ce 7 janvier à Libreville, au Gabon. Le chef du commando qui a appelé le peuple à se «lever» depuis le siège de la Radio-Télévision gabonaise (RTG) a été arrêté. Deux putschistes ont été tués.
À l’occasion de la diffusion du documentaire «Les gardiens des mers», Samantha Ramsamy reçoit Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, branche de l’ONG internationale connue pour sa lutte contre la pêche illégale.
Pour protéger les océans, le mouvement Sea Watch utilise des tactiques musclées contre les chalutiers. Certains pays les qualifient de pirates, tandis que d'autres coopèrent avec le groupe. RT prend la mer pour découvrir leur mission extraordinaire.
Deux ressortissants danois ont été blessés, dont l'un gravement, le 16 décembre à Libreville dans une attaque au couteau perpétrée par un Nigérien disant agir «en représailles aux attaques contre les musulmans».
Pour empêcher des lycéens de monter dans un minibus, un gendarme à jeté une grenade lacrymogène dans le véhicule, donnant lieu à une scène de panique. L'incident a été filmé par un témoin et diffusé sur les réseaux sociaux.
Huit parachutistes belges et des militaires français ont eu une violente altercation dans une boîte de nuit à Libreville, au Gabon, dans la nuit du 29 au 30 septembre. Une enquête a été ouverte à leur encontre au Gabon, en France et en Belgique.
Il est vilipendé parce qu’il maintiendrait les pays qui l’utilisent dans une relation de dépendance vis-à-vis de la France. Pourtant, le franc CFA résiste depuis plus de 70 ans aux appels à son remplacement. RT France a tenté de savoir pourquoi.
S'en prenant une nouvelle fois au président du Venezuela en l'espace de quelques jours, Manuel Valls s'est encore frotté à la réponse cinglante des internautes, qui lui ont rappelé ses contacts passés avec des chefs d'Etat ne faisant pas l'unanimité.
Le gouvernement gabonais a dénoncé l'enquête par un juge d'instruction français sur d'éventuels crimes contre l'humanité perpétrés lors des violences post-électorales au Gabon après la victoire controversée d'Ali Bongo à la présidentielle de 2016.
L'ancien dirigeant français est dans le viseur d'un collectif d'ONG qui lui reprochent d'avoir engagé la France dans des opérations de déstabilisation de plusieurs pays africains, parmi lesquels le Gabon, la Guinée équatoriale et surtout la Libye.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déclaré avoir ouvert une enquête sur la crise post-électorale au Gabon, à la demande du gouvernement.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimaba a prêté serment, mardi 27 septembre, pour un deuxième septennat, quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, qui a rejeté la requête de son rival Jean Ping.
L'ex-président de la République a eu droit à un concert de huées lors de son passage dans la ville de Tourcoing. En fin de journée, ce sont des étudiants gabonais qui sont venus troubler son meeting, à Marcq-en-Baroeul.
L'opposant gabonais Jean Ping a saisi la Cour constitutionnelle pour contester le résultat de la présidentielle remportée par le président sortant Ali Bongo, prévoyant «une instabilité durable et profonde» si la cour ne lui donne pas raison.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a déclaré qu'il n'avait «pas exercé ni déclenché la violence» post-électorale dans son pays, mettant en cause son rival Jean Ping, dans un entretien à l'AFP.
Internet a été partiellement rétabli le matin du 5 septembre à Libreville, après une coupure totale de cinq jours, soit depuis l'annonce de la réélection contestée du président Ali Bongo Ondimba.
Un millier de manifestants ont réclamé samedi à Paris la «reconnaissance de l'élection démocratique» de l'opposant Jean Ping à la présidentielle au Gabon et la fin de la «folie sanguinaire» du président sortant proclamé vainqueur, Ali Bongo.
Le principal adversaire au président sortant gabonais Ali Bongo a déclaré lors d'une conférence qu'il était désormais le nouveau chef de l'Etat, tandis qu'à Paris la classe politique française réagit aux troubles qui secouent Libreville.