Entretien avec le célèbre réalisateur sur les liens entre la Serbie et la Russie, l'avenir de cette dernière et l’obsession occidentale de la destruction.
On ne présente pas Emir Kusturica, le réalisateur d’Arizona Dream et d’Undergroud, qui se décrit lui-même comme « le mauvais garçon des Balkans et de l’Europe occidentale ».
Dans cette interview, il parle du poids potentiel des artistes dans la société contemporaine, avant de faire part de ses réflexions sur l’histoire du XXe siècle et la spiritualité.
C’est principalement sur l’avenir de la Russie que se concentre son propos : saura-t-elle conserver son âme face aux prétentions destructrices de l’Occident ?