Les socialistes déshonorent la France en arrêtant un général patriote

Ce «deux poids-deux mesures» pratiqué par la gauche dans ses actions répressives était jusqu’ici incompréhensible. Il devient maintenant insupportable pour une grande majorité de Français silencieux.

Depuis deux jours cet homme est devenu le symbole d’une France humiliée par le pouvoir socialiste. Il s’agit du général de corps d’armée - l’un des plus hauts grades de l’armée française – Christian Piquemal. Cet ancien commandant de la légion étrangère, qui a été le collaborateur militaire de trois Premiers ministres a été arrêté le 6 février à Calais, lors d’un rassemblement contre la colonisation de cette ville par des flux de migrants de plus en plus importants. Non seulement, il a été placé en garde à vue, comme un vulgaire voleur de poules, mais il devait passer devant le Tribunal de Boulogne-sur-mer, le 8 février, en comparution immédiate. Très fatigué et éprouvé par la violence qu’il a subie lors de son arrestation et sa garde-à-vue, il a été hospitalisé le 8 février au matin. Et son procès n’aura lieu que dans trois mois.

Le prétexte de son arrestation et de celle de quatre autres individus tient uniquement à sa présence lors d’une manifestation organisée à Calais par le mouvement Pegida. Une manifestation qui avait été interdite dans le cadre de l’état d’urgence. Les gendarmes ont choisi d’interpeller l’ancien commandant en chef de la Légion étrangère car ils estiment qu'il a eu un rôle important dans l’organisation de ce rassemblement. Mais ceux qui ont donné de tels ordres n’ont pas mesuré que derrière cet homme, ce sont des millions de Français patriotes qui allaient se sentir visés, attaqués, voire persécutés.

L’arrestation et le traitement infamant réservé à un officier général qui a servi son pays avec rigueur, droiture et loyauté ne fait qu’ajouter une goutte d’eau au vase déjà bien rempli de la colère des Français

Le grand écrivain et penseur français du XVIIème siècle, Blaise Pascal a écrit : «La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique». Cette force utilisée contre un général bardé de décorations et qui a servi la France apparaît d’autant plus injuste et tyrannique qu’il y a quelques jours, des «no-borders», et autres soutiens de migrants, avaient manifesté à Calais en toute impunité, allant même jusqu’à défigurer la statue du Général de Gaulle devant le regard impassible des forces de l’ordre. Et samedi dernier, au moment même où un général de corps d’armée se faisait arrêter sous prétexte qu’il montrait son attachement à l’identité française, des écologistes et des nihilistes de tous bords saccageaient le centre-ville de Rennes pour protester contre le projet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, situé entre Nantes et Rennes. Bien sûr, pas un seul d’entre eux n’a été arrêté.

Ce «deux poids-deux mesures» pratiqué par la gauche dans ses actions répressives était jusqu’ici incompréhensible. Il devient maintenant insupportable pour une grande majorité de Français silencieux. Il y a quelques mois déjà, un général de gendarmerie s’était vu muté en Guyane après une audition restée célèbre devant les députés. Audition au cours de laquelle il avait exprimé le ras-le-bol de ses troupes qui passaient leur temps à arrêter des voyous aussitôt relâchés en vertu du laxisme pénal de la justice socialiste. L’arrestation et le traitement infamant réservé à un officier général qui a servi son pays avec rigueur, droiture et loyauté ne fait qu’ajouter une goutte d’eau au vase déjà bien rempli de la colère des Français. La France qui s'honorait d’être le pays des droits de l’homme et des libertés publiques n’est plus, aujourd’hui, que le pays des droits des minorités et des interdits permanents.

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