Dans ce 5e numéro de Russia 2018, Gregory Petitjean reçoit l’ancien international marocain Ismaël Triki. Au programme analyse et décryptage de deux équipes africaines : le Maroc et l'Egypte.
A J-64, Ismaël Triki revient sur les chances des «Aigles de Carthage» et des « Pharaons» lors de la prochaine Coupe du Monde en Russie (14 juin -15 juillet).
Pour Ismaël Triki, ancien international marocain, la participation du Maroc à la Coupe du monde est «une excellente chose. C'est important pour le pays que notre équipe puisse participer à cette événement. Cela faisait trop longtemps que nous n'arrivions plus à nous qualifier. Le foot au Maroc est une véritable institution».
Avec deux participations à la Coupe du monde en 1994 et 1998 , Ismaël Triki connaît l'importance d'un tel événement. Pour lui, «le match contre l'Iran va être primordial. Il ne faudra pas se louper car derrière on va affronter l'Espagne et le Portugal. Le groupe du Maroc est très relevé mais je reste persuadé que l'on peut passer et faire une belle Coupe du monde. Avec les joueurs qui composent cette équipe, le Maroc en a les moyens».
Dans la deuxième partie de l'émission, c'est l'équipe d'Egypte qui est décortiquée par Ismaël Triki. Et une fois de plus, l'ancien joueur de Bastia estime que cette équipe africaine «possède des joueurs avec des qualités formidables, aussi bien sur le plan physique que technique. S'il devait en avoir un à mettre en évidence, forcement je vais vous parler de Mohamed Salah».
Pour l'ancien défenseur, «Mohamed Salah marche sur l'eau en ce moment. Il réussit des choses incroyables avec Liverpool. Et s'il parvient à conserver son niveau avec l'Egypte, ils peuvent faire très mal aux autres équipes».