Dans La Grande Interview, Katia Pecnik reçoit Sandrine Bouchait, présidente de l'Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF).
Sandrine Bouchait, présidente de l’Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF) estime que «les familles ne sont pas suffisamment prises en charge par le gouvernement. Il faut un meilleur accompagnement des familles qui sont des victimes collatérales. Aujourd’hui cet accompagnement est quasi inexistant ».
A travers son expérience personnelle elle explique : « qu’il faut que la priorité soit mise sur la formation et l’éducation des policiers, du personnel hospitalier ou de simples citoyens ».
Dans le même temps, Sandrine Bouchait, dont la sœur est décédée, explique que : « le grenelle mise en place par le gouvernement n’est qu’une opération de communication mais que dans les faits rien ne bouge».
Pour la présidente de l’Union Nationale des Familles de féminicide, le combat ne fait que commencer car : « le gouvernement ne peut plus ignorer les violences faites aux femmes ».