«Comment va-t-on faire avec le PS en 2017 ?» : l’interdiction de la fessée déchaîne internet
Alors que la fessée est officiellement interdite par le Code civil français depuis peu, les internautes se sont posé la question, avec humour, de l'impact que cela aurait sur leur sexualité... et sur la prochaine élection présidentielle de 2017.
«Depuis le 22 décembre, la fessée est interdite. Comment on va faire avec les socialistes en 2017 ?», s'est interrogé un internaute sur le réseau social Twitter, après que l'annonce de l'interdiction légale de la fessée en France, introduite le 22 décembre dans le Code civil, a circulé sur la toile.
Depuis le 22 décembre la fessée est interdite
— fernandez (@tarmo13013) 30 décembre 2016
Comment on va faire avec les socialistes en 2017? pic.twitter.com/9ljnWz04vs
Le dessinateur Bidu a été particulièrement inspiré par ce fait d'actualité, dont il a sorti une caricature dans laquelle il s'interroge sur les punitions qui pourront désormais être données aux enfants qui ne sont pas sages. «Ils ont rien dit pour les congélateurs», lance une mère visiblement débordée, dans son dessin.
DESSIN: La fessée désormais interdite: quelles punitions maintenant? pic.twitter.com/ghECl8ngAs
— BIDU-Dessinateur (@BIDUDessinateur) 30 décembre 2016
Pour d'autres internautes, la principale interrogation soulevée par cette annonce n'était pas vraiment l'éducation mais plutôt... leur vie sexuelle.
La fessée aux enfants est interdite, ok on prend note!
— Le Male de Mère (@CileMDM) 30 décembre 2016
Et dans un couple, ça reste autorisé?#questiondujour 🤓🤐🤔🤗
«Et dans un couple, ça reste autorisé ?», s'est ainsi demandé un internaute, alors qu'un autre remarquait que le Code civil ne comprenait «aucun alinéa concernant la levrette claquée».
La fessée est officiellement interdite depuis hier. Aucun alinéa concernant la levrette claquée. 😕
— Gromouk (@Gromouk) 30 décembre 2016
Si vous êtes adepte de la fessée (et quel que soit l'usage que vous en faites), rassurez-vous ; la mesure est avant tout symbolique, puisque la loi ne prévoit aucune sanction pénale particulière.