Ces journalistes français qui dénoncent le traitement médiatique sur Alep

Ces journalistes français qui dénoncent le traitement médiatique sur Alep© REUTERS/Omar Sanadiki Source: Reuters
La mosquée Umayyad à Alep
Suivez RT en français surTelegram

Alors que la défense russe a annoncé le 16 décembre que la libération d’Alep était «accomplie», la polémique enfle autour de la manière dont les médias occidentaux informent sur la bataille. Certains journalistes parlent même de désinformation.

La guerre sur le terrain et sur les ondes. Depuis le début du conflit syrien en 2011, la bataille de l’information fait rage. Les images chocs, tweets et autres témoignages ont envahi journaux télévisés, flashs radio, colonnes de journaux et le web.

En savoir plus : La libération d'Alep est accomplie, selon la Défense russe

La bataille d’Alep semble avoir cristallisé les tensions. Alors que la majorité des médias occidentaux ont pris le parti de dénoncer «les crimes» des armées syrienne et russe, certains grands noms du journalisme ont décidé d'amener de la contradiction à cette version.

En savoir plus : L'«OSDH» : un seul individu, dans une maison en brique, quelque part au Royaume-Uni

Parmi les derniers exemples en date, on peut nommer Frédéric Pons. Ce spécialiste des questions de défense, ancien casque bleu désormais journaliste et enseignant était l’invité d’Yves Calvi sur LCI. Selon lui, il y a «un peu de vrai et beaucoup d'intoxication et de désinformation» dans le traitement médiatique mainstream de la situation à Alep. Il affirme notamment qu’un certain nombre d’images présentées comme venant d’Alep ont été «manipulées».

Le célèbre journaliste André Bercoff s’est quant à lui ému de la «désinformation hallucinante» à propos d’Alep sur le plateau de France Info. Il s’en est notamment pris à l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), source d’un nombre important de médias occidentaux. Il a notamment rappelé que l’organisme ne se résume qu’à une seule personne résidant dans la région de Birmingham.

Le directeur-adjoint de l'information de France 2, Etienne Leenhardt, a pour sa part précisé à David Pujadas sur le plateau du journal de 20 heures qu’un grand nombre de «rebelles» avaient été supplantés par «des combattants islamistes de plus en plus radicaux».

Auteur: The Boss

Raconter l'actualité

Suivez RT en français surTelegram

En cliquant sur "Tout Accepter" vous consentez au traitement par ANO « TV-Novosti » de certaines données personnelles stockées sur votre terminal (telles que les adresses IP, les données de navigation, les données d'utilisation ou de géolocalisation ou bien encore les interactions avec les réseaux sociaux ainsi que les données nécessaires pour pouvoir utiliser les espaces commentaires de notre service). En cliquant sur "Tout Refuser", seuls les cookies/traceurs techniques (strictement limités au fonctionnement du site ou à la mesure d’audiences) seront déposés et lus sur votre terminal. "Tout Refuser" ne vous permet pas d’activer l’option commentaires de nos services. Pour activer l’option vous permettant de laisser des commentaires sur notre service, veuillez accepter le dépôt des cookies/traceurs « réseaux sociaux », soit en cliquant sur « Tout accepter », soit via la rubrique «Paramétrer vos choix». Le bandeau de couleur indique si le dépôt de cookies et la création de profils sont autorisés (vert) ou refusés (rouge). Vous pouvez modifier vos choix via la rubrique «Paramétrer vos choix». Réseaux sociaux Désactiver cette option empêchera les réseaux sociaux de suivre votre navigation sur notre site et ne permettra pas de laisser des commentaires.

OK

RT en français utilise des cookies pour exploiter et améliorer ses services.

Vous pouvez exprimer vos choix en cliquant sur «Tout accepter», «Tout refuser» , et/ou les modifier à tout moment via la rubrique «Paramétrer vos choix».

Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre «Politique de Confidentialité»

Tout AccepterTout refuserParamétrer vos choix