Le ministre des Armées Florence Parly vient d'annoncer la mort au Mali de Djamel Okacha, un des chefs djihadistes les plus puissants du Sahel, neutralisé au cours d'une opération de grande envergure par les militaires français.
Selon un bilan de l'ONU encore provisoire, au moins 10 Casques bleus ont été tués et 25 autres blessés lors d'une attaque terroriste perpétrée dans la matinée du 20 janvier contre une base de l'ONU dans le nord du Mali.
Malgré le renoncement des autorités, plusieurs milliers de personnes ont manifesté fin décembre au Mali afin de protester contre un projet de manuel scolaire d’éducation sexuelle, pourtant avorté, qui devait traiter de la question de l’homosexualité.
Une attaque a fait 37 morts le 1er janvier dans un village peul du centre du Mali. Selon l'ONU, les violences intercommunautaires qui se sont multipliées au cours de ces quatre dernières années ont fait 500 morts en 2018.
Documents officiels à l’appui, le site américain d'investigation The Intercept affirme que la présence militaire américaine en Afrique tend à se renforcer. Une affirmation qui contredit le discours officiel du Pentagone.
Assa Traoré, membre du Comité Adama, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Lors d’un entretien exclusif accordé à trois médias français dont RT France, Sergueï Lavrov a révélé la remarque déroutante que lui avait faite Laurent Fabius, alors ministre des Affaires étrangères, quant à l’intervention française au Mali en 2013.
La Chine tisse des relations de plus en plus étroites avec l’Afrique subsaharienne, mais quels sont les vrais objectifs de Pékin et quelles conséquences cette percée aura-t-elle sur la scène internationale ?
Sur la route de l'exil vers l'Europe, l'Algérie accueille bon gré mal gré des milliers de réfugiés subsahariens. Parmi les réfugiés se trouvent des homosexuels persécutés dans leur pays. Nous sommes allés à leur rencontre à Alger.
Sébastien Pétronin, le fils de la dernière otage française, enlevée par des djihadistes au Mali, souhaite se rendre sur place pour la voir. C'est une nouvelle vidéo de sa mère lui proposant de venir qui l'a convaincu de prendre ce risque.
Deux jours après l’annonce des résultats provisoires du second tour de l’élection présidentielle au Mali, les partisans de l'opposant Soumaïla Cissé ont protesté ce 18 août à Bamako contre la réélection du président Ibrahim Boubacar Keïta.
Après une élection mouvementée, Ibrahim Boubacar Keïta a été reconduit dans ses fonctions à la présidence du Mali. Le nouveau mandat de ce dirigeant fragilisé se dessine dans un contexte très différent, marqué par le terrorisme, note André Bourgeot.
Le président malien sortant, Ibrahim Boubacar Keïta, a été réélu pour un nouveau mandat de cinq ans avec 67,17% des voix au second tour, contre 32,83% pour son rival Soumaïla Cissé.
Le 12 août, les Maliens ont été appelés aux urnes pour départager les deux candidats présents au second tour de l’élection présidentielle. Un scrutin marqué par une participation faible et de nouvelles violences dans plusieurs endroits du pays.
Bakari Traoré, spécialiste des questions géopolitiques du Sahel, est revenu pour RT France ce 12 août sur le second tour de l'élection présidentielle malienne. Pour lui, malgré l’accalmie, le pays demeure exposé à une recrudescence des violences.
Alors que l'opposition dénonce des tentatives de fraude, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta fait figure de favori en ce jour de second tour de l'élection présidentielle. Un important dispositif de sécurité a été déployé dans tout le pays.
Le président sortant du Mali Ibrahim Boubacar Keïta a dominé le premier tour, recueillant 41,42% des suffrages. Il devance largement son principal opposant Soumaïla Cissé, qui en récolte 17,8%. Le second tour opposera les deux hommes le 12 août.
Pays en proie à la violence djihadiste et aux conflits intercommunautaires, le Mali sombre depuis plusieurs années inéluctablement dans le chaos. Est-il possible aujourd’hui de sortir du cercle vicieux des hostilités ?
Huit millions de Maliens étaient appelés aux urnes le 29 juillet dans le cadre de l’élection présidentielle. Si le déroulement du scrutin s’est déroulé dans le calme dans le sud du pays, des violences ont été observées dans le nord et le centre.
Alors que le premier tour de l’élection présidentielle débute ce 29 juillet au Mali, Mahamadou Cissé, porte-parole en France du parti d'opposition URD, estime que les Maliens souhaitent l’alternance politique à la tête du pays.