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Des milliers de personnes se sont réunies à Tunis pour commémorer le 12e anniversaire de la révolution qui a renversé l’ancien dirigeant Ben Ali et manifester contre l'actuel président, Kaïs Saïed. Des affrontements ont éclaté avec la police.
Face à une inflation de près de 9% et des pénuries sur de nombreuses denrées alimentaires, des centaines de Tunisiens ont manifesté dans les rues de Tunis, dénonçant les «folles hausses des prix».
Le président tunisien a annoncé le 6 février la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature, accusé de partialité. Le Conseil a rejeté sa dissolution et assuré qu'il continuerait de siéger.
Le président tunisien Kaïs Saïed met en garde contre une tentative d'assassinat qui le viserait, mais pourrait aussi cibler des hauts fonctionnaires. Des menaces qui émaneraient d’après lui de ses opposants.
Le bilan de l'incendie au siège du parti islamiste tunisien Ennahda est d’un mort et dix-huit blessés, dont deux dirigeants. Le drame se serait déclaré, selon les médias, après l’immolation d’un militant du parti. Reportage de Bacem Chebbi.
Des milliers de manifestants se sont mobilisés devant le Parlement tunisien pour protester contre Kaïs Saïed, qui assure les pleins pouvoirs depuis le mois de juillet. Ils dénoncent notamment un «coup d'Etat» orchestré par leur président.
Les autorités tunisiennes ont annoncé avoir découvert un tunnel creusé à proximité de la résidence de l’ambassadeur de France, située dans le quartier de La Marsa au nord de la capitale. Une enquête a été ouverte.
Le président tunisien avait suspendu les activités parlementaires le 25 juillet dernier. Il a annoncé une prochaine réforme de la Constitution qui fera l'objet d'un référendum. Une annonce froidement accueillie par l'opposition.
Plusieurs ONG ont exprimé leur inquiétude après le coup de force du président Kaïs Saïed, qui s'est octroyé les pleins pouvoirs le 25 juillet. Une démarche que de nombreux acteurs à l'intérieur du pays jugent pourtant constitutionnelle.
Quelques heures après des manifestations dénonçant la mauvaise gestion des affaires de l'Etat, le président tunisien a démis de ses fonctions Hichem Mechichi en invoquant l'article 80 de la Constitution.
La députée Abir Moussi a été frappée à deux reprises dans l'enceinte du Parlement par des élus islamistes, alors qu'elle s'opposait à un accord financier entre la Tunisie et le Qatar. La deuxième agression a nécessité l'intervention d'un médecin.
Ancien finaliste de la présidentielle tunisienne, Nabil Karoui a été hospitalisé après avoir entamé une grève de la faim. Il proteste contre sa détention jugée «illégale» dans le cadre d'une enquête pour blanchiment d'argent et fraude fiscale.
Dans de nombreuses villes à travers le monde et en particulier en Europe, comme Londres ou Berlin, des mobilisations pro-palestiniennes ont eu lieu ce 15 mai alors que le Proche-Orient s'embrase.
Une émission de caméra cachée diffusée en Tunisie fait appel à des comédiens pour simuler de graves réactions au vaccin contre le Covid-19, le but étant d'effrayer une personnalité publique. L'OMS a appelé à suspendre cette émission.
Le parti Ennahdha a accusé le président Kais Saied de s'approprier des pouvoirs et d'avoir des tendances «autoritaires». Dans un discours prononcé le 18 avril, le chef de l'Etat avait indiqué qu'il était le seul chef des forces «armées et civiles».
Un avion d'Air France a livré le premier lot du vaccin russe Spoutnik V à l’aéroport de Tunis dans le cadre de la campagne nationale de vaccination tunisienne devant débuter le 13 mars.
Près de 2 000 manifestants ont protesté le 6 février à Tunis contre la politique sécuritaire du gouvernement. Cette journée de mobilisation a coïncidé avec le 8e anniversaire de l’assassinat de Chokri Belaïd, farouche opposant aux islamistes.
Alexandre Roubtzoff (1884-1949) a dressé tout au long de sa vie un portrait fascinant de son pays d’adoption : la Tunisie.
A la suite du meurtre médiatisé d'une jeune femme à Tunis, le président de la Tunisie, Kais Saied, a pris position pour la fin du moratoire sur la peine de mort dans son pays et expliqué souhaiter que la sentence capitale soit appliquée.
Le président tunisien Kaïs Saïed a déclaré à l’occasion de l'anniversaire du Code du statut personnel que l'Etat n'avait «pas de religion» mais il s'est ensuite opposé à l'égalité homme-femme dans l'héritage, qui ne serait pas conforme au Coran.