SIDERANT

Après l’invitation au Parlement d’un vétéran SS ukrainien, ovationné par Trudeau, les députés et la délégation de Zelensky, des voix appellent à faire la lumière sur le passé du Canada, qui a accueilli en grand nombre d'anciens nazis après 1945.
Vent de panique sur Ottawa après une découverte pour le moins embarrassante : le vétéran ukrainien invité lors de la visite de Zelensky faisait en réalité partie de la tristement célèbre division SS Galicie, connue pour ses nombreux massacres.
A l'occasion de la réunion du Comité «Victoire» dédié à la mémoire des victimes de la Seconde Guerre mondiale, Vladimir Poutine a souligné la contradiction entre les origines juives de Zelenski et le culte public rendu au criminel Bandera en Ukraine.
Le 31 mai, plusieurs centaines de manifestants de la mouvance antifa sont descendus dans les rues de Berlin par solidarité envers quatre de leurs militants condamnés à une peine de prison pour avoir attaqué violemment des adversaires politiques.
Le tribunal administratif de Berlin a tranché en faveur d’une interdiction des drapeaux russes et soviétiques dans la capitale allemande, lors des célébrations de la victoire contre le nazisme. Les drapeaux ukrainiens sont quant à eux autorisés.
Dans un article sur Stepan Bandera, France Info s'est penché sur la commémoration en Ukraine de cette figure nationaliste ayant collaborée avec l'Allemagne nazie. Arno Klarsfeld, entre autres, s'est étonné de termes employés par le média.
Il ne peut y avoir «aucune nuance» en ce qui concerne la glorification du collaborateur nazi Stepan Bandera en Ukraine, a mis en garde le Premier ministre polonais, alors que le parlement ukrainien vient de célébrer l'anniversaire de sa mort.
La diplomatie russe s'est en particulier offusquée de l'opposition de l'Allemagne, du Japon et de l'Italie à une résolution adoptée par l'ONU qui enjoint de lutter contre l'apologie du nazisme ou du néonazisme.
Une vaste opération de la police allemande au sein de groupuscules d'extrême droite a conduit au démantèlement d'une cellule projetant des attentats, et qui visait notamment le Bundestag, la chambre basse du Parlement, a indiqué le parquet.
Annulant la décision de première instance, la haute juridiction ukrainienne a jugé que l'emblème de la division «Galicie», responsable de massacres pendant la Deuxième guerre mondiale, ne pouvait être assimilé à un signe d'appartenance au nazisme.
La France, l'Ukraine ou encore l'Allemagne ont voté contre un projet de résolution présenté par la Russie, qui proposait de lutter contre le néonazisme. Le camp occidental y voyait une tentative de Moscou de justifier son intervention en Ukraine.
Le commandant en chef de l'armée ukrainienne Valeri Zaloujny est-il un partisan du nazisme ? Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnalités ont relevé une svastika sur un bracelet qu'il arbore. Ses partisans évoquent un simple emblème païen.
Selon le site d'investigation The Grayzone, la présidence ukrainienne a retiré de ses réseaux sociaux un cliché du déplacement à Izioum. La cause ? Derrière Zelensky figurait un membre de sa garde rapprochée arborant un écusson d'inspiration nazie.
L'ambassadeur d'Ukraine au Kazakhstan a appelé à «tuer autant de Russes que possible» afin que leurs enfants aient moins à le faire. Pour la diplomatie russe, les «nazis de Kiev» parlent désormais ouvertement de «nettoyage ethnique».
Employant notamment le terme d'«holocauste», alors qu'il était en déplacement en Allemagne, le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a comparé les actions d'Israël en Palestine à celles qu'a commises le IIIe Reich à l'encontre des juifs.
La Russie a vivement condamné le 11 août la déclaration du Parlement letton la qualifiant d’«Etat soutenant le terrorisme», tout en accusant Riga d'entretenir des liens ambigus avec le bataillon néonazi ukrainien Azov.
«En Hongrie, ces expressions et ces phrases représentent un point de vue culturel, civilisationnel» : Viktor Oban a défendu ses propos sur son opposition à la société «multi-ethnique» et sa crainte que le peuple hongrois ne devienne une «race mixte».
Dans un article sur la situation en Ukraine, l’agence de presse a diffusé plusieurs photographies illustrant les conséquences des combats sur la population. L'une d'entre elles montre, sans commentaire, un «habitant» de Kharkov tatoué d’une svastika.
Quelques jours avant la célébration du jour de la Victoire, l'ambassadeur de Russie en France a déposé une gerbe de fleurs devant le monument honorant les morts soviétiques ayant combattu le nazisme aux côtés des membres de la Résistance française.
Berlin a saisi la Cour internationale de justice contre l’Italie, arguant que Rome, au détriment du droit international et des accords passés, permettait aux victimes italiennes de crimes nazis de continuer à réclamer des réparations à l'Allemagne.