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Dans un article sur Stepan Bandera, France Info s'est penché sur la commémoration en Ukraine de cette figure nationaliste ayant collaborée avec l'Allemagne nazie. Arno Klarsfeld, entre autres, s'est étonné de termes employés par le média.
Il ne peut y avoir «aucune nuance» en ce qui concerne la glorification du collaborateur nazi Stepan Bandera en Ukraine, a mis en garde le Premier ministre polonais, alors que le parlement ukrainien vient de célébrer l'anniversaire de sa mort.
La diplomatie russe s'est en particulier offusquée de l'opposition de l'Allemagne, du Japon et de l'Italie à une résolution adoptée par l'ONU qui enjoint de lutter contre l'apologie du nazisme ou du néonazisme.
Une vaste opération de la police allemande au sein de groupuscules d'extrême droite a conduit au démantèlement d'une cellule projetant des attentats, et qui visait notamment le Bundestag, la chambre basse du Parlement, a indiqué le parquet.
Annulant la décision de première instance, la haute juridiction ukrainienne a jugé que l'emblème de la division «Galicie», responsable de massacres pendant la Deuxième guerre mondiale, ne pouvait être assimilé à un signe d'appartenance au nazisme.
La France, l'Ukraine ou encore l'Allemagne ont voté contre un projet de résolution présenté par la Russie, qui proposait de lutter contre le néonazisme. Le camp occidental y voyait une tentative de Moscou de justifier son intervention en Ukraine.
Le commandant en chef de l'armée ukrainienne Valeri Zaloujny est-il un partisan du nazisme ? Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnalités ont relevé une svastika sur un bracelet qu'il arbore. Ses partisans évoquent un simple emblème païen.
Selon le site d'investigation The Grayzone, la présidence ukrainienne a retiré de ses réseaux sociaux un cliché du déplacement à Izioum. La cause ? Derrière Zelensky figurait un membre de sa garde rapprochée arborant un écusson d'inspiration nazie.
L'ambassadeur d'Ukraine au Kazakhstan a appelé à «tuer autant de Russes que possible» afin que leurs enfants aient moins à le faire. Pour la diplomatie russe, les «nazis de Kiev» parlent désormais ouvertement de «nettoyage ethnique».
Employant notamment le terme d'«holocauste», alors qu'il était en déplacement en Allemagne, le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a comparé les actions d'Israël en Palestine à celles qu'a commises le IIIe Reich à l'encontre des juifs.
La Russie a vivement condamné le 11 août la déclaration du Parlement letton la qualifiant d’«Etat soutenant le terrorisme», tout en accusant Riga d'entretenir des liens ambigus avec le bataillon néonazi ukrainien Azov.
«En Hongrie, ces expressions et ces phrases représentent un point de vue culturel, civilisationnel» : Viktor Oban a défendu ses propos sur son opposition à la société «multi-ethnique» et sa crainte que le peuple hongrois ne devienne une «race mixte».
Dans un article sur la situation en Ukraine, l’agence de presse a diffusé plusieurs photographies illustrant les conséquences des combats sur la population. L'une d'entre elles montre, sans commentaire, un «habitant» de Kharkov tatoué d’une svastika.
Quelques jours avant la célébration du jour de la Victoire, l'ambassadeur de Russie en France a déposé une gerbe de fleurs devant le monument honorant les morts soviétiques ayant combattu le nazisme aux côtés des membres de la Résistance française.
Berlin a saisi la Cour internationale de justice contre l’Italie, arguant que Rome, au détriment du droit international et des accords passés, permettait aux victimes italiennes de crimes nazis de continuer à réclamer des réparations à l'Allemagne.
La diplomatie russe a répondu aux protestations de l'Etat hébreux après que ce dernier a condamné les propos de Sergueï Lavrov sur des origines juives supposées d'Adolf Hitler, en évoquant des exemples de collaboration entre des juifs et les nazis.
Le régiment Azov est une unité de volontaires aux références nazies, accusée de nombreuses violations des droits de l'Homme. Pourtant, intégrée à la Garde nationale ukrainienne, elle demeure légitime pour recevoir l'aide militaire destinée à Kiev.
Ainsi que le rapporte l'agence de presse TASS, le président russe a signé une loi punissant le fait de mettre sur un pied d'égalité l'Union soviétique et l'Allemagne nazie. La Russie entend ainsi s'opposer aux tentatives de «déformer l’histoire».
Selon une enquête de Radio Canada basée sur l'analyse d'écussons perceptibles sur des photos officielles de soldats, des instructeurs militaires canadiens auraient formé des membres du bataillon néonazi Azov, contrairement aux engagements du pays.
Amazon a mis en vente sur son site différents articles aux couleurs et logotypes du régiment Azov, une organisation ukrainienne paramilitaire d'obédience néonazie, placée depuis 2014 sous le commandement du ministère de l'Intérieur de l'Ukraine.