BRAS DE FER

Kim Jong-un a visité ce 15 septembre au matin des usines aéronautiques à Khabarovsk, poursuivant son déplacement exceptionnel en Russie.
Se rendant en Russie à l'invitation de Vladimir Poutine, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un est arrivé au cosmodrome Vostotchny le 13 septembre pour découvrir les technologies spatiales russes.
Le Kremlin a annoncé la visite prochaine en Russie de Kim Jong-un, le président de la République populaire démocratique de Corée.
Le président russe Vladimir Poutine a prôné ce 15 août le renforcement de la coopération avec Pyongyang, dans un message de félicitations au dirigeant nord-coréen Kim Jong-un à l'occasion de la Journée de la Libération, a indiqué le Kremlin.
Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou est en visite à Pyongyang à l'occasion du 70e anniversaire de la victoire de 1953.
Kim Jong-un a demandé à ses troupes d'accroître la production de «matériel nucléaire militaire» et de se préparer à en faire usage «n'importe où et n'importe quand» alors que les Etats-Unis et la Corée du Sud ont mené des exercices dans la région.
Alors que les Etats-Unis et la Corée du Sud multiplient les manœuvres conjointes, Kim Jong-un a supervisé des exercices militaires de deux jours simulant une contre-attaque nucléaire contre Washington et Séoul.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a ordonné à son armée d'intensifier ses manœuvres militaires en vue d'une «guerre réelle», lors d'un exercice de tirs de missiles auquel a assisté sa fille, a rapporté ce 10 mars l'agence coréenne KCNA.
L'agence publique nord-coréenne a confirmé que Pyongyang avait effectué un «exercice surprise» en tirant un missile Hwasong-15 en mer du Japon, et ce, à quelques jours d'exercices militaires américano-sud-coréens qui s'annoncent sous haute tension.
La Corée du Nord a fait savoir qu'elle répondrait avec force aux nouveaux exercices conjoints entre Séoul et Washington. Pyongyang considère ces manœuvres militaires comme des répétitions en vue d'une future invasion.
A l'approche d'une importante parade militaire, l'armée nord-coréenne a déclaré qu'elle allait étendre et intensifier ses exercices militaires en vue de «la préparation à la guerre», selon les médias publics.
La Corée du Nord a accusé les Etats-Unis et la Corée du Sud d'entraîner la péninsule vers une «confrontation totale» après la tenue d'exercices militaires conjoints impliquant des bombardiers lourds au-dessus de la mer Jaune.
D'après le média NK News, les habitants de la capitale nord-coréenne ont été confinés et doivent se soumettre à des prises de température. Le Covid-19, que le pays a affirmé avoir «vaincu» en août 2022, n'est pas mentionné.
Dénonçant les «manœuvres militaires inquiétantes des Etats-Unis et d'autres forces hostiles» dans un contexte de tensions accrues, le dirigeant nord-coréen a appelé à poursuivre le renforcement de la force militaire de Pyongyang.
L’Agence centrale de presse coréenne (KCNA) a fait savoir le 16 décembre que la Corée du Nord avait testé avec succès «un moteur à combustible solide de forte poussée» avec l'objectif de développer une nouvelle arme stratégique.
Le dirigeant nord-coréen a organisé une cérémonie pour célébrer le lancement d'un nouveau missile intercontinental. A cette occasion, il a réaffirmé son engagement dans le nucléaire militaire et assuré vouloir bâtir «la plus forte armée du monde».
Xi Jinping a écrit à Kim Jong-un pour lui proposer de coopérer pour «accélérer la paix» dans le monde. «Le monde, l'époque et l'histoire sont en train de changer d'une façon sans précédent», a expliqué le dirigeant chinois.
«Idiots», «chiens», «larbins» : Kim Yo-jong, la sœur de Kim Jong-un, a violemment critiqué la politique pro-américaine des dirigeants sud-coréens qui s'apprêtent à sanctionner Pyongyang en raison des récents essais de missiles balistiques.
La Corée du Nord a une nouvelle fois promis de réagir très fermement aux exercices conjoints des Etats-Unis et de la Corée du Sud, alors que les tirs de missiles et les déploiements d'avions de combats se sont multipliés ces dernières semaines.
Un nouveau missile a été tiré par Pyongyang, qui évoque une «contre-mesure» prise en réaction à des tirs d'artillerie de Séoul. La Corée du Sud a elle accusé son voisin d'avoir violé une «zone tampon» par des bombardements.