Tokyo a accusé la Corée du Nord d'avoir lancé deux missiles balistiques en mer du Japon. Un tir qui aurait eu lieu peu après le déplacement à Séoul du secrétaire d'Etat et du secrétaire à la Défense des Etats-Unis.
Une scène insolite s'est produite à la frontière de la Corée du Nord où des diplomates russes ont dû rejoindre leur pays par un moyen très particulier. Ils ont du en effet dû pousser eux-même le chariot ferroviaire qui servait à les transporter.
Lors du congrès du Parti des travailleurs, le chef d'Etat de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a promis de renforcer son «arsenal de guerre nucléaire» et fait savoir que son pays devait construire «l'armée la plus puissante».
Kim Jong-un a estimé que les Etats-Unis étaient «le plus grand ennemi» de la Corée du Nord et que son comportement vis-à-vis de celle-ci ne changerait pas avec Joe Biden. Il a également annoncé un nouveau plan pour se doter d'un sous-marin nucléaire.
La Corée du Nord a montré un missile balistique intercontinental géant lors d'un imposant défilé militaire. Le président Kim Jong-un a par ailleurs assuré à la foule qu'aucun cas de Covid-19 n'était recensé dans le pays.
Quelques semaines après la démission de Shinzo Abe, le nouveau Premier ministre vient de prendre les rênes du pays. Ancien bras droit d’Abe, il hérite d’un bon nombre de défis en interne comme à l'international. Comment va-t-il s'en sortir?
Le dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a fait amende honorable après qu'un Sud-Coréen a été tué dans les eaux territoriales du pays, affirme Séoul. Cet épisode intervient alors que les relations entre les deux Corées sont au point mort.
Du fait de méthodes décriées aussi bien dans le domaine nucléaire que sur le plan des droits de l'homme, Pyongyang fait face à une hostilité ouverte sur la scène internationale, qui semble imprégner la couverture médiatique étrangère du pays.
Dans sa tentative de décrédibiliser son adversaire démocrate à la présidentielle, Donald Trump assure que les dirigeants de puissances étrangères rivales des Etats-Unis «rêvent» de Joe Biden à la Maison Blanche.
Lors des cérémonies du 67e anniversaire de l'armistice de Panmunjeon, le leader nord-coréen a défendu l'idée d'un «arsenal nucléaire de dissuasion efficace et sûr», permettant de garantir, selon lui, la «sécurité nationale [...] pour l'éternité».
Pyongyang annonce officiellement son premier cas suspecté de coronavirus et déclenche l'urgence maximale sur son territoire. Le porteur du virus serait un ancien transfuge venu à la nage de la Corée du Sud, et mis en cause dans une affaire de viol.
Le dirigeant nord-coréen a effectué sa première apparition en public depuis le 11 avril 2020. Durant presque trois semaines, l'absence de Kim Jong-un a favorisé le développement des rumeurs les plus folles.
Près de deux semaines après sa dernière apparition filmée, la Corée du Sud affirme que Kim Jong-un est vivant et en bonne santé, contredisant ainsi les récentes spéculations sur la mort du dirigeant nord-coréen.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a annoncé la fin du moratoire sur les essais nucléaires et de missiles balistiques intercontinentaux et promis une action «sidérante» contre les Etats-Unis. Washington a toutefois réagi avec modération.
A quelques jours d'une entrevue sur le nucléaire convenue entre les Nord-Coréens et les Américains, un nouveau tir de missile balistique a été effectué par Pyongyang, qui procède régulièrement à des manœuvres avant les négociations.
Donald Trump s'en est violemment pris à la France, en raison du projet de celle-ci de taxer les géants du web américain, les GAFA. François-Bernard Huyghe, directeur de recherche à l'IRIS, nous livre son analyse.
Le président américain Donald Trump est entré à pied en Corée du Nord ce 30 juin, pour quelques pas historiques avec le dirigeant de ce pays, Kim Jong-un. Les deux chefs d'Etat se sont serré la main, devant la presse, sur la ligne de démarcation.
Un groupe baptisé « Tyrans », comprenant des imitateurs des chefs d’État américain et nord-coréen a fait ses débuts à Osaka le 27 juin, jour de l'ouverture du G20 dans la même ville.
Selon des informations du Wall Street Journal, il existerait «un lien» entre l'agence de renseignement américaine et le demi-frère du dirigeant nord-coréen, dont l'assassinat en 2017 avait fait le tour du monde.
Entre menaces et apaisement, le président américain ne cesse depuis son élection d'alterner les déclarations contradictoires à l'égard de l'Iran. Ce discours, déstabilisant, est la marque de fabrique de son approche des relations internationales.