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L'armée sud-coréenne a fait état d'une salve de tirs depuis la capitale nord-coréenne le 25 mai, dont «un missile balistique intercontinental présumé», peu après le départ de la région du président américain, qui a réaffirmé son soutien à Séoul.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a ordonné le 12 mai des mesures de confinement à l'échelle nationale après que le pays a annoncé avoir détecté son tout premier cas de Covid-19 depuis le début de la pandémie.
Pour Kim Jong-un, la Corée du Nord doit poursuivre le développement de son arsenal afin de disposer d'une «force militaire écrasante qu'aucune puissance au monde ne peut provoquer».
Les médias publics de Corée du Nord ont vanté ce 24 avril le «pouvoir invincible» des forces armées du pays «que le monde ne peut ignorer», à la veille d'un important anniversaire militaire.
La Corée du Nord a procédé au tir d'essai d'un nouveau système d'armement qui augmentera l'efficacité de ses «armes nucléaires tactiques», selon les médias officiels nord-coréens.
L'agence de presse nord-coréenne KCNA a confirmé que le projectile tiré le 24 mars était un missile balistique intercontinental. Kim Jong-un a assuré que son pays était prêt à mener un combat de longue haleine contre les «impérialistes américains».
Le projectile tiré le 24 mars par la Corée du Nord, suspecté d'être un missile balistique intercontinental, est tombé dans la zone économique exclusive maritime du Japon, a annoncé le ministère de la Défense nippon.
Pyongyang a assuré le 31 janvier avoir procédé avec succès au tir d'essai de son plus redoutable missile depuis 2017, officiellement pour tester sa capacité à protéger la région de «l'hostilité» des Etats-Unis. Washington appelle au dialogue.
Pour le chef d'Etat nord-coréen, les Etats-Unis sont la «cause profonde» de l'instabilité dans la région. Pyongyang ne semble pas convaincu par les déclarations de l'administration Biden qui affirme ne pas avoir d'intentions belliqueuses.
L'agence de presse nord-coréenne a annoncé que le pays avait réalisé un essai de ce type de missile naviguant à une vitesse plusieurs fois supérieure à celle du son. Le même jour, la Corée du Sud inaugurait son troisième sous-marin lanceur d'engins.
Pyongyang a affirmé avoir effectué avec succès des tirs d'essai d'un nouveau missile de croisière longue portée, se félicitant de disposer de cette «arme de dissuasion». Le Pentagone s'inquiète quant aux «menaces» sur la communauté internationale.
Alors que les relations semblaient au point mort entre les deux Corées, les canaux de communication vont être rétablies après treize mois de suspension, a annoncé l'agence de presse nord-coréenne KCNA le 27 juillet.
Dans un communiqué diffusé le 2 mai, le ministère nord-coréen des Affaires étrangères a dénoncé «une politique hostile» envers son pays de la part de l'administration Biden. En réponse, il a annoncé devoir «prendre les mesures qui s'imposent».
Tokyo a accusé la Corée du Nord d'avoir lancé deux missiles balistiques en mer du Japon. Un tir qui aurait eu lieu peu après le déplacement à Séoul du secrétaire d'Etat et du secrétaire à la Défense des Etats-Unis.
Une scène insolite s'est produite à la frontière de la Corée du Nord où des diplomates russes ont dû rejoindre leur pays par un moyen très particulier. Ils ont du en effet dû pousser eux-même le chariot ferroviaire qui servait à les transporter.
Lors du congrès du Parti des travailleurs, le chef d'Etat de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a promis de renforcer son «arsenal de guerre nucléaire» et fait savoir que son pays devait construire «l'armée la plus puissante».
Kim Jong-un a estimé que les Etats-Unis étaient «le plus grand ennemi» de la Corée du Nord et que son comportement vis-à-vis de celle-ci ne changerait pas avec Joe Biden. Il a également annoncé un nouveau plan pour se doter d'un sous-marin nucléaire.
La Corée du Nord a montré un missile balistique intercontinental géant lors d'un imposant défilé militaire. Le président Kim Jong-un a par ailleurs assuré à la foule qu'aucun cas de Covid-19 n'était recensé dans le pays.
Quelques semaines après la démission de Shinzo Abe, le nouveau Premier ministre vient de prendre les rênes du pays. Ancien bras droit d’Abe, il hérite d’un bon nombre de défis en interne comme à l'international. Comment va-t-il s'en sortir?
Le dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-un, a fait amende honorable après qu'un Sud-Coréen a été tué dans les eaux territoriales du pays, affirme Séoul. Cet épisode intervient alors que les relations entre les deux Corées sont au point mort.