Aujourd’hui comme hier, les sœurs de la miséricorde secourent les blessés, les malades et les nécessiteux. Au front ou à l’hôpital, elles pansent les plaies de l’âme et du corps.
Irina, Marina, Evguénia, Tatiana… Architecte, assistante sociale ou maîtresse d’école, elles ont senti un jour le besoin de se dévouer. De ne pas rester les bras croisés devant la souffrance des réfugiés ou des blessés.
Après une formation médicale accélérée, elles se sont engagées dans des confréries de sœurs de la miséricorde. Inspirées par leur foi chrétienne, elles suivent l’exemple des premières infirmières russes pendant la guerre de Crimée ou celui de la famille impériale pendant la Première Guerre mondiale.
Soigner, aider soutenir, consoler, redonner espoir et écouter : en 2025, comme en 1854 ou en 1915, telle est la mission des sœurs de la miséricorde.