Après l’annonce, le 10 juin, de la «fin de l'opération [militaire française] Barkhane en tant qu'opération extérieure» (telle qu'elle existait depuis 2014), le Premier ministre malien a accusé Paris d’avoir abandonné son pays «en plein vol» à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 25 septembre. Une sortie qui n’a pas été du goût de la ministre française des Armées Florence Parly, laquelle a répliqué, deux jours plus tard : «S'essuyer les pieds sur le sang des soldats français, c'est inacceptable.»
Retour en vidéo sur la séquence difficile que connaissent actuellement les relations franco-maliennes.